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tengo john – vert pastel lyrics

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quand on se fuit, ça donne ça
besoin de ceci, besoin de ça
mes forces s’amenuisent, loin de toi
j’sais pas combien de fois, je me souviens de ça
mon âme se fige, pardonne moi
ton élixir m’empoisonnera
j’attend, je suis loin de toi
et ça coûte rien de croire, que tu t’souviens de moi
hey, j’écris des lettres et des cartes postales
mi amor, je suis enfermé dans la nostalgie
très peu social, sauf en cas de [?]
je te le promet, je t’emmènerai en australie
qu’ils aillent au diable, on s’ra sur un zodiac
visitera les zones [?], et même les forêts d’amazonie

je t’en ai fait la promesse
ce sera l’ascenseur émotionnel
tant, l’histoire sensationnel
je t’emmène pour une voyage exceptionnel

malgré nos différences [?]
la peur s’est brisée en deux
ça me sidère ce désire, ta robe est si belle en bleue
t’es ma sirène, une myriade de chimères
mais si près du risque, a mon avis, j’ai sous-estimé l’enjeu
c’était si prétentieux, cet avenir très chanceux
je l’imaginait aussi [?] qu’une fresque de michelangelo

han, je veux t’appartenir
sans, savoir que dire
quand ma voix me dit:
“lance-toi, parle-lui !”

t’es ma pénélope (x2)
on s’est aimé
on s’est freiné
chacun à peiné l’autre

c’est le destin
ou peut-être la distance
qui [?] nous esquinte
[?] de l’existence
mesquin
nous mène à l’épuis-m-nt
[?] mon destin
j’aurai ton talisman

xristina, t’es comme un missile
j’nous vois déjà en sicile
seuls au bord d’une piscine
contemplant la vue, du haut du gratte-ciel
ça me rappel tes yeux couleur pastel

quand on se fuit, ça donne ça
besoin de ceci, besoin de ça
mes forces s’amenuisent, loin de toi
j’sais pas combien de fois, je me souviens de ça
mon âme se fige, pardonne moi
ton élixir m’empoisonnera
j’attend, je suis loin de toi
et ça coûte rien de croire, que tu t’souviens de moi

tu mettais ton vernis
[?] vermeil
et le temps, le dernier
rien n’est éternel
flirt avec l’interdit
triste comme l’âme de verlaine
je revois ce récit
comme une peinture de vermeer

faut que j’me munisse de [?], tant désiré
j’me sens comme ulysse, attiré par le chant des sirènes
j’en entend des dizaines, [?] si réel
pendant que ce suspend le temps, et que je suis censé filer

j’fais que m’enfoncer dans la nuit noire
au fond je m’étais forcé d’y croire
pourquoi personne sait cette histoire, transitoire ?
j’ai tourné en rond dans l’immensité
dévoile moi entièrement ton ident-té
les battements de mon cœur n’font que s’intensifiés
je t’offrirai les plus belles fleurs en grande quant-té

jolie rousse aux yeux clairs
ta beauté provoque des secousses et envoi des éclaires
sa lumière m’a aveuglée, bien sûr que tu veux plaire
le rouge de ta bouche contraste avec ton grand cœur de pierre
je le sais
t’a joué avec mes sentiments
j’ai traîné en ville, j’avais envie d’en venir au silence
tu m’apparaît comme évidence
mais t’es la seule fille en qui je puise la délivrance

le regard vers le ciel
parfois j’veux qu’tu reviennes
il aurait sûrement fallu qu’un dimanche je te retienne
tu le sais, en rêvant de fenice et en flânant dans la vallée
j’imaginais venise, mais le serpent lâche son venin

xristina, t’es comme un missile
j’nous vois déjà en sicile
seuls au bord d’une piscine
contemplant la vue, du haut du gratte-ciel
ça me rappel tes yeux couleur pastel

quand on se fuit, ça donne ça
besoin de ceci, besoin de ça
mes forces s’amenuisent, loin de toi
j’sais pas combien de fois, je me souviens de ça
mon âme se fige, pardonne moi
ton élixir m’empoisonnera
j’attend, je suis loin de toi
et ça coûte rien de croire, que tu t’souviens de moi

hey…



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