10akadix - profiler lyrics
ce n’est qu’un prototype je roule un autre type de produit force aux homies force aux notes de nos
mélodies que je kiffe mais le hop hip fait comme il veut et rend ça exhaustif force aux autres
force au centre de notre réseau qui mène au spliff. hein! profite pendant je prodigue ç’t’ep
auto+produit. beuh+erre au boz, puis, trouvant monocorde ç’qu’ils font sauter loin des cordes
comme la théorie, ça ne t’laisse qu’un job : l’egotripe. jah bless! et n’oublie pas le texte
j’f’rai des sauts, b et haut. technique du kick météore je vrille tel(le) link, ç’qui t’anihile
dans l’inepsie souligne la merde de vivre à la faveur de la nuit ce qui m’anime a la lueur
d’une brûlure d’uranium comme ur+n+s canardeur de fat rimes unanimes auxquelles tu t’adonnes
comme une armure laquelle se larde comme avec une fat(e) lame pas de wack jouable dans le casque du
baladeur rapaces de classe a ballaffre à la lame de rasoir. sache que l’on ne ravive pas l’ter
avec la salive la d’où le factuel donne à notre mental un seve célèbre qui fait que l’on s’élève
derroge à des règles ce que l’on minimise les “fils deup” font l’élloge d’affaires d’chimères
pour l’estimer ils finissent crisés tu monte tout n’est que rise risée tandis qu’ensuite hauts sont
les risques de glisser dans une indéfinie infinie brise qui n’cesse de défiler là où
l’on vit résignés sur résines et la où il est si vrai qu’signer rendrair si niais. risibles
et divisés jusqu’à s’briser et voir défiler le stix. misez sur 10 breee. mixez
et puis écrivez dans ç’qui n’est qu’évidence. ils s’étirent en méprisant le pire de l’existence
c’est triste comment peut+on en moins de nonante secondes relever les défis et en gobant ce monde
dans sa compréhension r’monter le menton dans les son. tacite avait raison de ne pas stresser que
toussote le réseau ça me rassure car dans le rayon sonne la montée des gars d’en face tel
un tisserand de rimes de hauts ressorts je rappe à la barbe de cette horrible strophes donc j’les
enfonce mais non man tu ne t’étends pas qu’à ces temps+ci j’les envie pas si limitrophe à
l’ostracisme et si à 16 ans t’es monté dans le son sache que le p’tits microbes tombent à leurs tours
dans une prose à kicker le temps d’un 16 duquel on finit gonflé au fond que dans l’refrain
n’est pas forcément ce que l’on pèse en somme on s’paume on fait aux autres ce que l’on somme de ne
pas faire re+fré parfaire la haine de l’auditeur outch! mais qui n’a jamais jacté de profiteurs
ou appelé nos lyrics le teurf saute d’humeur prose d’une heure comme un soliste skunké gros j’ammeute
la zeuf comme le programmeur ça va pas s’calmer une grosse fureur tah des dbz taïron prose
acqueuse mais je fais le reste j’te l’accorde je relance tot v’là l’verse rince les zeuf qui
restent profilées comme profiler masque l’onirique bluff en creux
d’oeil solicite une t’neur en fruit prolifique stupeure regarde de ce tas d’vie émaner la
lumière sur des mécanismes tapant su l’heure super tu vérifies qu’mes rap soient établis
sur le tableau je suis weedé au pur nike ta dep’ de monarchie je m’inoccule plus de bobs askip nos
traces sont pas sur les portable ou sur le phone portable mais dans un réseau d’art autarcique
appelle+moi 80 ou 10 ou au pire m’appelle pas j’agresse l’art puis t’oublies que nous ausssi
ça péra comme si le rôle du capitalisme machine à biff était voisin je vois que ça déteint je les
trouve de comique à pérave tout ogive d’amiral va pas s’éteindre rouille sans huile jusqu’à
l’arrimage shoof nous osciller tandis que dans le nuage ça s’acclimate fouille tout os puis
ronge goute aux follies mais ne multiplie pas de visions retourne à la base aux bases
reconnaître sa prédestination élimination délimitations revient ne pas périr comme
sans trop de pérégrination fout les out des prisons l’atmosphère dans laquelle nous
révisions lésion intra+cutanuée dans l’oreille que nous rêvions d’installer sur une année comme
un impact dans le pur acier du cuirrassé de la place tiananmen mais en vérité sans ces
clichés le reste du terme sdénoue puis pour en méditer une fresque tu te bousilles
l’ouïe juusqu’à en fermer l’écoutille tu stresses
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