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4tours - jamais lyrics

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[paroles de “jamais”]

[intro]

4tours

[couplet 1 : nino]

pas très souvent à l’école, pourtant j’suis bourré d’talent
et pour avoir des talles j’monterais sur le premier plavon
y’a les condés à plat ventre, y’en a qui vendent et qui s’ventent
oublie pas qu’y’a quelques années ta mères te portait dans l’ventre
maintenant ça pense qu’aux descentes, t’es pas d’ici on t’descend
et j’t’assure pour mes potos j’viendrais faire couler le sang
quand ça t’appellеs le sang, derrière ton dos riеn qu’ça jacte
j’suis pas chaud dans l’rap en vrai j’ai juste trouvé la fente
été, hiver au tieks, ça s’battait pour pièces
ça allait au grec, chacun mettait sa petite pièce
ça le tapait à sec, pour mes potes moi je saigne
un mec d’autre part, ma gueule ça le tabassait
mélange de tabasco, mais dit moi tu baise qui (baise qui)
on descend chez vous, et vous dansez le tchilili
et moi j’lui tire la langue, en voyant que tu m’envies
et sur ma vie, ces batards ouais ils ont trop du vice

[refrain : nino]
la rue c’est chan+mé, c’est la triste réalité
difficile d’y mettre les pieds mais encore pire de la quitter (c’est encore pire ma gueule)
la vente de gue+dro, les vols à l’arraché
on s’arrête jamais vu qu’dans les poches y’a des lovés (on s’arrête pas, on s’arrête pas)
la rue c’est chan+mé, c’est la triste réalité
difficile d’y mettre les pieds mais encore pire de la quitter (de la quitter gros)
la vente de gue+dro, les vols à l’arraché
on s’arrête jamais vu qu’dans les poches y’a des lovés

[couplet 2 : charo]

en descente, tu descends gros pour te faire descendre
et les descentes de porc pas besoin de t’faire un dessin
c’est pas la rue qui t’choisi nan c’est juste ton destin
entre le rap ou la vente de stup j’suis encore indécis
en bas du bat’ j’tire la coche+sa, y’a plus rien qui peut m’choquer (gros)
des frères j’en ai plus trop car la plupart j’les ai cochés
détaille la quête comme un boucher si y’a des trous remet l’bouchon
et l’ient+cli un peu fâché car des fois y’a plus d’pochton
cagoulé ganté, ça casse ton pavillon
on est dans l’rap pour l’million, pas pour plaire à cendrillon
mes sentiments dans l’cendrier, bas les couilles d’être mignon
avec nino on fait la paire et les jaloux [?] (la pierre ma gueule)
ça ramasse plus d’bâton maintenant c’est le métal qui t’accueil
tu veux ton dix fait la queue, dans la cour t’avais des lacunes
pe+pom chargé vide la caisse, depuis minot à la tess
gants t+max 530 un brolique gare à tes fesses
dans ma cité ça roule des perches, [?] [shlass?] ceux qui parlent trop car c’est des pd
le rap c’est contour donc j’suis obligé d’le couper
vas+y arrête d’appeler laisse moi terminer mon couplet
pt’être que des gros bras et s’étendes comme une poupée
j’ai besoin d’une seule bastos car j’sais qu’j’vais pas t’louper
en cellule comme une guetteur, j’ne+tour comme une toupie
plus tranquille j’fais mon tp en esquivant les képis
dans l’bar igo, c’est par la que j’trouve l’inspi
ma bécane est débridée donc on m’di qu’jsuis trop deuspi
et pour tous les fumés il m’faut un automatique
sur l’rain+té j’suis posé avec tout les gars d’ma clique
j’préfère rouler un deux+feuille que de rouler une pelle
j’préfère ramasser une paye que de jouer à la play
j’préfère toute ma peine que d’poucave un poto
on est tous solidaires y’a pas d’coupe d’couteaux dans l’dos
[refrain : nino]

la rue c’est chan+mé, c’est la triste réalité
difficile d’y mettre les pieds mais encore pire de la quitter (c’est encore pire ma gueule)
la vente de gue+dro, les vols à l’arraché
on s’arrête jamais vu qu’dans les poches y’a des lovés (on s’arrête pas, on s’arrête pas)
la rue c’est chan+mé, c’est la triste réalité
difficile d’y mettre les pieds mais encore pire de la quitter (de la quitter gros)
la vente de gue+dro, les vols à l’arraché
on s’arrête jamais vu qu’dans les poches y’a des lovés

[outro]

bas ouais



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