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aladin 135 - missiles à 16 ans lyrics

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[couplet unique]
souvent des pensées dramatiques me montent à la tête
j’mets des pans-m-nts à ma vie, mais j’monte faire la fête
des pensées futiles m’habitent, dépenser sa vie la nuit
et voir ses sous partir pour la verte
donc conscient qu’j’ai d’l’empathie pour ma peine, j’suis constant
j’ai vu en partie ma veine s’dégrader alors ma haine
c’est qu’j’me force à m’égarer dans les pavés de cette ville où j’traîne
taffer le rap, c’est bien la nuit, jamais d’ennuis, j’m’enferme
quand mes pensées me dévisagent, mon amour
j’vais pas m’planter dans les virages, ma ligne de conduite est bonne
j’espère que mon plan b ira et pendant que les condés braillent
seul dans ma bulle, j’ai fondé là, toutes mes pensées schizophrènes
j’suis ce jeunot qui vit au rêve de toutes ces idées qui sommeillent
lunatique et bipolaire dans ce climat si polaire
mon âme est si glacée, ma mémoire s’est effacée, observateur
je vois toutes ces vies gâchées, peut-être que j’observe à tort
si le rap fait prendre du poids alors je suis obèse à mort, aladin, n crew
j’m’en fous d’l’oseille, bande de conn-sses matérialistes
un son posé le flow est pas total mais t’inquiète ma ‘teille arrive
un regard satanique et ça arrive, ouais, p-sse la tise
que j’-n-lyse ma sale vie d’gros con hypocrite
fils d’héros comme hippolyte, je fuis les faux depuis que nos vies plaisent aux filles
et que ma rime fait taire l’office à toutes ces vies pas trop dociles
j’ai vu des gens perdre la boule, devenir fébriles
et ainsi s’redessiner, moi, j’suis maboule et j’fais style
alors ma belle, j’me déshabille ma vie c’est un dessin miné, parfois j’suis indécent
je sais, j’ai peur d’finir en psychiatrie avec deux-trois mecs sur le dos, check
une pet-te fille qui m’anime mais c’est l’amour qui tue le fou
alors j’veux une femme dynamique, bordel qui m’apaise
mais qui arrête une dynamite pendant que se consume la mèche
t’as d’la teq’, t’inquiètes on est là, des rebonds et des la
j’te fais frémir le faciès, mon ami, à mon avis
tu sais la vie, c’est pas trop colorée mais quand c’est animée
j’arrive à être moi et franc, j’vis dans l’délire mononoké
avec le film en noir et blanc, j’suis sûrement pas h0m-logué
mais aujourd’hui, moi, j’ôte les gants
est-ce que tu m’suis si j’te dis qu’j’ai un côté maléfique ?
que mes gènes étaient allergiques à l’amour ? j’l’ai -ssez dit
ce s’ra dur mais j’apprécie, si tu pars, tu m’affaiblis
j’ai un regard -ssez gris mais j’donnerai d’l’amour à mes fils
j’veux pas qu’tu partes en amérique, même amnésique, j’t’oublierai pas
le pilon est à mes gars ce que mon amour est à toi
dans l’amour d’un homme, y’a peu d’amitié qui résonne
t’es à mes pieds et tu t’étonnes mais tu t’entoures que de tes proches
j’te vide les poches avec ma vie, t’es désemparé
moi, j’défends ma vraie équipe et j’vois même pas les gens parler
c’est un pt-t son pour mes écorchés vifs
mes rois et mes reines à fleur de peau, y’a trop d’écorces au fil
trop d’faux amis qui t’flinguent dans l’dos
j’attends qu’on m’dise : “tu pèses c’est officiel”, pour
changer le monde, mon but est de brancher les ondes
pour que les chambres d’hôpital ressemblent à celles du sofitel
j’aiguise mes rimes à l’opinel, -ssume ma vie de beau minable
mais j’veux pas finir solitaire, mes potes me font rêver
et peuvent même endormir ma peine, en gros ce sont mes somnifères
avec eux je profite, j’erre dans les rues de paname xiii
on met des cerveaux sous civières et de notre vaisseau, j’suis si fier
ton rap : il pue la mort donc je l’appelle cimetière
on est déter’ et bien trop forts, on envisage pas les “si je perds”, y’a pas de “si je perce”
fais ta musique et ferme ta gueule, tous ces pédés te font la bise que si tu buzzes
moi, j’avance seul et j’vous la mets avec ma feuille
mets pas ta mise sur moi, j’suis pas un produit marketing
en ce moment, j’suis hors de moi alors j’fais du rap athlétique
j’abats les types avec mon gros joint d’cannabis et t’as pas vu mais j’-n-lyse
j’ai beaucoup d’chatte : jolies phases à double sens
les dolipranes me coupent le ventre parce que je suis mieux quand j’suis mal
je suis attristé par l’homme qui est une critique ambulante
infatigable dans ses mots, c’est pas juste physique l’endurance
quand tu penses au pourquoi du comment, tu vois que l’homme a peur de son prochain
donc fait de tout geste une offense
et l’éloquence s’est étoffée et j’ai au sang des veines dont j’suis trop fier
et les trophées pour mes projets sont bien trop faibles
j’suis pas trop frêle pour ce domaine artistique
j’veux de l’oseille et j’en aurai, moi, j’veux pas finir à l’ibis

[outro]
c’est ma mystique part-tion, j’ai des missiles à seize ans
et j’m’immisce dans la chanson quand j’ai des mimiques de souffrance
c’est ma mystique part-tion, j’ai des missiles à seize ans
et j’m’immisce dans la chanson quand j’ai des mimiques de souffrance
c’est ma mystique part-tion, j’ai des missiles à seize ans
et j’m’immisce dans la chanson quand j’ai des mimiques de souffrance
c’est ma mystique part-tion, j’ai des missiles à seize ans
et j’m’immisce dans la chanson quand j’ai des mimiques de souffrance



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