aladin 135 - nia lyrics
[paroles de “nia”]
[couplet unique]
j’suis dans ma rue, j’fais un petit teh, c’lui qui fait tousser
le temps passe vite, j’regarde mes p’tits frères, ils ont bien poussé
j’suis dans ma rue, j’fais un petit teh, celui qui fait tousser
le temps passe vite, j’regarde mes p’tits frères, ils ont bien poussé
tromper la vie grâce à ces moments qui sont si mauvais
j’ai fait du bien mais j’fais du mal ouais parfois ça m’arrive
pardon mon dieu, j’suis comme ces âmes, une caresse sur la terre
c’que j’leur disais hier, c’est dommage ils l’ont compris sur le tard
j’ai pas changé mais l’cerveau a grandi, j’attends toujours la vague qui dans mon cœur éteindra l’incendie
donne+leur l’amour, donne+leur la paix, ils la cassent en deux
j’aime bien tes courbes, quand tu danses, t’es pas saccadé
tu l’es pas tant même si souvent t’as l’air sûre de toi
tu te sers de moi, quand y a l’orage, je te sers de toit
allez souris à l’arrière de la kia, avant la nuit toutes ses blessures elle maquilla
elle danse le mia, elle m’regarde elle est nia, elle s’dit parfaite, quand elle faute, elle fait que nier
ça casse la play, dans la te+sui les rideaux sont fermés
un bloc de draille, un peu d’quali et la magie opère
quand j’parle en vrai, j’avoue ça m’fait mal mais qui peut faire mieux ?
c’est l’rap des miens, celui qui t’faut, celui qui toque aux portes
une étoile ne peut pas s’arrêter de briller, tu peux m’trouver mais j’suis pas là sur le cala
j’les entends, l’impression qu’leur vision est brouillée
viens pas m’chanter toutes tes salades, tu rends malade
j’suis bien solo quand j’m’envole, quand je prends le volant
sur mon âme, y a pas de voile, de ton cœur, je suis le voleur
toi+même connais+tu ta valeur, mon reuf si tu peux pas t’lever alors ferme les yeux et voilà
j’suis dans la voie lactée, sur terre j’ai mal à la tête, j’viendrai ap même si j’suis invité à la fête
tu m’connais, j’repère l’ennemi à la cavera, croise+moi sur paname en te+smar ou en panamera
c’est léger, plus jeune, j’avais d’jà les clés d’la mairie et dans paname la nuit, on fréquentait plusieurs qg
l’esprit ailleurs ma p’tite m’disait : “c’est quand que t’atterris ?”, j’m’envoie en l’air à deux quarante dans un putain d’q7
merci la vie pour le passé, pour le futur qu’arrive, les bonnes rencontres et les mauvaises, c’est laisser sur l’carreau
on parle pas trop mais on écoute comme mon p’tit reuf karim
à quarante piges, on s’ra sûrement que deux, trois dans l’carré
[outro]
ça vient d’chez nous
paris sud
aladhyde
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