almeida - iceberg lyrics
[paroles de iceberg]
[intro : tag]
là c’est almeida, iceberg… iceberg…
hey c’est qui lui ? c’est ricky frère ! haha
[one shot]
pas les mêmes chances
pas les mêmes sources
pas la même bourse
pas le même chemin
parler d’oseille plus de baratin
parlons français parle plus latin
je connais ceci, cesser ce cirque
je n’ai pas d’assoc l’intérêt rend nocif
je compte plus les bosses
je compte plus les fosses
les pieds dans la sauce
j’en deviens agressif
les yeux vers les cieux, je marche seul pour comprendre
des récits des lettres, je fais plus qu’un dessin
jamais en dépendre, jamais redescendre
y’a pas d’innocent
ici personne n’est saint
on opère ils essayent, le maillot on essore
je suis tout le temps en éveille
le sommeil nous dessert
je compte pas sur vous
vous suivez la foule
en vrai sans les sous vos “llessa” sont déserts
je suis pas là pour ça, j’ai grandi dans violence
confronté aux miens
jalousie au volant
j’écris pour me taire, éviter de blesser
une langue revolver provoquant des décès
tu sais rien tu mitonnes
je sais que tu sais qu’on sait
personne m’impressionne
ma force elle se conserve
je me fous de vos conseils
tu sais rien tu constates
je me sens jamais coincé
pour passer on sait s’tape
je suis de l’époque des gstar
des 4 sur une vespa
la misère j’ai vesqui
on s’en sort on reste pas
marqué par la “testree”
le pestu a détruit
des avenirs en dents de scie
la fierté rend têtu
souvent entêté
m’en fiche de vos rt
le monde va mal, je me pose devant arté
besoin d’être seul et je rédige mes essais
pour passer un seuil, je dégage les accès
je suis seul face à eux et jugé de “toutpar”
il juge car il craint, qu’on lui laisse la petite part
pas sincère, tu dis pas
tu critiques par seum
égoïste et vicieux mais bon c’est les hommes
je dois aimer, c’est dur
pardonner aussi
et les gens qui “césu” je peux pas les sentir
toi tu rages on s’en tire
on ramasse au centuple
déçu par mes proches
coups de couteau je me suis tu
loin de vous je me situe
appuie là j’sens plus rien
tu masque tes méfaits et tu juges ton prochain
dans nos cœurs tant de déchets
regarde toi déjà
va ôter toutes tes chaînes
on verra si t’es chaud
moi j’ai mal je le dis
ils ont souillé mon cœur
je peux leur rendre tous les coups
mais je crains l’créateur
on connais l’délateur
je vise la tête donc j’avance
de ma vie j’suis l’auteur car mes choix créent la danse
j’attends plus rien je fonce
trouve la rose dans les ronces
méditation trouve réponse dans l’errance
notre alliance on l’a rompt
trahison crée des doutes
tu reviens quand sa paie
tu néglige quand c’est roots
tant de bâtons dans mes roues
emis par mes proches
dos tourné ils médisent et p+ssent dans mes bottes
fais le tri dans tes potes
le temps crée l’écart
toujours fidèle au poste je sais qui sont mes gars
d’être massif on se vente
j’m’écartais pour comprendre
leurs soutien c’est du vent
j’ai fini sur le ventre
dans passé composé c’est ma vie que j’raconte
tout est réel pas d’fiction pas de conte
je pourrais vous faire du sale
vous ouvrir le crâne
vous verrez qui est qui
mais bon à quoi ça sert ?
j’préfère juste m’écarter
m’en aller sans tarder
réussite n’est pas loin
j’ai fini d’vous parler
la haine rend taré, mon cœur vaut des carats
grandi dans un carré
en guerre comme des “paras”
je t’emmène en balade car j’ai su m’évader
j’oublie mes balafres mais elles restent dans mes pensées
plus large horizon, j’calcule pas sourire jaune
je vais vers guérison
où la paix elle rayonne
comme simba j’ai ma lionne
son soutien vaut de l’or
on s’écarte de la zone
on fonce dans le confort
sacrifices et travail
te plains pas en y allant
vie ou mort se pouvoir détiens ta langue
je me torture l’esprit
mais j’m’aère en vous parlant
je relate que nos vies
c’est réel c’est un talent
café noir on s’allonge
posé dans mon salon
je suis béni je le sais
mon sauveur est très bon
sisi c’est très bien
mon silence les répond
moi je marche pour but
que le salut se répande
dépend pas des hommes
dépends pas des sommes
sème et récolte deux fois plus qu’on te donne
aller retour dans l’essonne pour projet des minots
big up à manno on sait qui sont les hommes
une esquisse avant l’œuvre
on s’prépare avant l’heure
je fais la diff je fais le job c’est reel avouez leur
tu nous masques on te voit
chacun son vécu
pour les miens j’prends cette voix
ils sont tous convaincus
mes récits mon recul
j’écris et c’est repu
bavure policière, racistes nous répugnent
je connais mon histoire
j’dit non à leur “réput”
a dieu soit la gloire, leur justice elle me dégoûte
mes récits mon recul
j’écris et c’est repu
bavure policière, racistes nous répugnent
j’connais mon histoire
j’dit non à leur “répute”
a dieu soit la gloire, leur justice elle me dégoûte…
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