arthurito - new york, grosse doudoune, clip en noir et blanc lyrics
[paroles de “new york, grosse doudoune, clip en noir et blanc” ft. tmm]
[intro : dj wolfo & bigflo]
(dj wolfo)
grosse doudoune, noir et blanc, new york, faire que des barrz
[couplet 1 : arthurito]
j’me sens comme à new york dans un clip en noir et blanc
j’veux une carriere, pas rester toute ma vie sur le banc
tant pis si ça marche pas, j’ai toujours un autre plan
j’finis mon verre de rouge et j’me sers un verre de blanc
crois pas qu’j’m’invente une vie dans mes sons
tous les soirs je retombe dedans et j’m’arrete que quand la bouteille n’est plus qu’un tesson, yeah
dans le casque j’monte le son
et j’raffale sur la prod comme un smith & wesson
j’ai des potes qui font maths sup
jcrois que je déprime comme mastu
tous mes tracks sont cultes, tout ces haineux m’insultent
meme pas j’les calculs et j’smoke le cactus
j’rap j’suis dans les temps, comme jason j’suis dans l’étant
j’le fais en détente j’lave mon linge et j’l’étends
j’fume l’indus, j’fume une indus
met le son à fond au fond du bus
trop d’appels, j’casse ma puce
ciao bye, merci a+
[pont : joueur du grenier & gabzy2tmm]
par exemple, je déteste le rap, je déteste le rap, vraiment je, je… je déteste le rap, tout ce qui est rap, et un peu hip+hop/rnb je déteste le rap, vraiment je sais qu’j’aime pas, j’comprends qu’on aime, y’a pas d’problèmes, mais j’aime pas, j’aime pas le rap
yeah
j’n’ai rien contre les gens qui aiment le rap, karim adore le rap
ayo, ayo
[couplet 2 : gabzy2tmm]
doudoune north face pour aller à la plage
à la base, j’voulais ramener tout l’flouze à la casa
smoke la za californienne, en fin d’compte chuis qu’un, camer qu’à la dalle
j’écoute canada et j’coule tout ton cortège sous le macadam
j’t’apprends à rapper, et direct après, j’t’apprends à chanter
l’argent m’a changé
l’agent m’a chargé, de claquer correctement le tarpé de ces tass+pé
mais honnêtement, j’suis pas fait pour
nuits assez courtes, j’fuis pas mes doutes
bientôt le feat avec westside gunn
j’bédave seul
et là, je smoke une strain qui me permet d’rester zen quatre heures
et je dois rendre ce truc sûr pour la daronne
donc j’te susurre ces paroles
j’veux qu’ce truc dur jusqu’à ma mort
j’lache que des barrz, comme b00ba en 2002
deux p’tites beuh dans mon back+bois, j’me sens comme un demi+dieu
sur ma tête pose la couronne car j’suis le roi des cancres
et là j’me sens comme à new york dans un clip en noir et blanc
[outro]
(dj wolfo)
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