bastard prod - 100 comme un chien lyrics
[couplet 1 : 10vers]
élevé dans l’enceinte d’une arène on tient
la peau sur les os puisqu’on a rien sans rien
j’préfère la serrer car le coup de ceinture m’rappelle mon père
j’kiffe cette chienne de vie, j’suis qu’un chien de nuit
enragé, pour voir qu’on m’enchaîne une après-m’ entière
j’préfère barouder à l’air libre, j’traîne la patte sans paumer
nique leur cuillère en or, j’ai mon pétard dans le gosier
dès le départ sans taulier pour c’public averti
qu’on m’laisser savourer ma merde, au pire xxx sans grogner
j’viens d’la rue d’en bas, j’suis qu’une cr-pule dans ce rap
de plus, sans str-ss ni paillette j’gratte et les facture s’ent-ssent
des faits d’armes j’en connais, entre les putes, la cr-sse
comme ju je m’en tape, moi j’resterai c’clébard sans collier
j’ai les mêmes traits d’humour, j’aurais pu faire du lourd, du sale
j’reste à ma place, loin de la brousse et si près du gouffre
j’connais les risques, les fins de mois serrées, la cavale
j’préfère être le prince de ma rue que le roi de la savane
[couplet 2 : abrazif]
seul dans une cage, plutôt dressé qu’à la savane
dans c’cas vouloir la vie du lion serait rêver, pas la savate
ravi qu’ce cœur batte la chamade au moindre appel d’un xxx
grand n’attends pas qu’on lâche la valve, on noie la peine dans [l’eau mais gars ?]
100 jours comme un chien sans dieu, ni laisse, ni maître
moi j’y vis là près des miens tandis que si peu l’estimaient
mais blasés combien restent inertes ou brisés par des grammes d’acide ?
mais faut que l’mal xxx ou grisé par l’empreinte facile
programmés comme tout félin l’est à rugir
trop xxx à cramponner, mon cœur xxx l’état du givre
et si ta plainte est abusive, que t’es déçu d’ta place au cirque
t’avais cru le trône acquis mais les plus grands s’écrasent aussi
c’est pour mes chiens, mon équipe, ceux dont je rapperais 100 fois la vie
qui forgent ma trempe, mon éthique, transforment ma rime en squale avide
déçu qu’au final une bonne action vire en clé d’bras
ce son c’est pour les gars qui s’battent en lion, vivent en clébard
[refrain : furax]
entre sa gamelle et son panier, sent pas les coups
le chien s’est régalé sans gagner, s’en bat les couilles
blessé, stressé,après s’étouffe le dernier cri d’un homme agressé
mon choix écoute, coupe, [ça va les sons xxx ?]
pour nous la boue, la route ça valait son-pri
j’entends “qu’est-ce tu veux manger ? reste allongé, d’accord ?”
j’ai fais mes 100 jours, tout va changer, le reste a rongé la corde
[couplet 3 : sendo]
corbeau seul, chien famélique ou lionnes comme nos sœurs
rien, rien ne flatte mes lignes, je bouillonne dans ce corps osseux
la merde colle aux seufs, légionnaire des chaines aux chevilles
moche vie, amer, les chiots naissent des chiennes au chenil
les poches vides, je sens l’amiante, les tuyaux, la gnôle
l’agneau, le sang et la viande sur l’étui de nos laguioles
pas d’police, tout rentre ici, épatés mes oncles
applaudissent le tour en tricycle des pâtés de maison
des plâtrés de mes sons restent comme pire et morose
les mots rossent et l’padré estropie les molosses
la vie d’roi ? des miettes ma pauvre, les fauves rugissent
ravi d’voir derrière la porte les forces du g.i.r
chien à lousetou ou héroïnomane aux maldives
je viens là où ce tour c’est dire aux man notre mal vivre
plus vite que les balles, plus vite que les braconniers
public le collier gratte c’clébard que les bras cognés
[couplet 4 : furax]
ça rendra pas la rando sûr, ça fait des gens dociles
marcher dans la merde, ça rampe aussi, ça fait les jambes aussi
l’dilemme : en faire 100 comme un chien, l’ami élevé que l’on savata
ou un comme un lion, la vie rêvée selon zavatta
ici le roi d’la jungle vend bien sa farine
enfin ça varie, l’voilà geindre en plein safari
ou dans le fond d’un cirque, le fouet c-sse, celui d’un gars bourré airs sauté
j’ai fais mon choix quand je l’ai vu p-sser d’un tabouret au cerceau
pour moi ce sera les clebs en bas et [la fille cite ?] des marques
[des pes-tri, des paquets de 100 barres ?] et la visite démarre
hier xxx venu chanter “à boire” à ce cri sale
celui d’un chiot entre la cuillère et la poêle, à ceux qui savent
un jour ou sans, pas d’mensonges dans tous les cas les corps sautent
donc mon soc’, y’a d’mon sang dans tous les cane corso
j’appris l’humilité à visiter l’enfer, j’habite au 30
brise l’humidité, à méditer chapiteaux tremblent
[refrain : furax]
entre sa gamelle et son panier, sent pas les coups
le chien s’est régalé sans gagner, s’en bat les couilles
blessé, stressé, après s’étouffe le dernier cri d’un homme agressé
mon choix écoute, coupe, [ça va les sons xxx ?]
pour nous la boue, la route ça valait son-pri
j’entends “qu’est-ce tu veux manger ? reste allongé, d’accord ?”
j’ai fais mes 100 jours, tout va changer, le reste a rongé la corde
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