bastard prod – comment vous le dire lyrics
honte à nos pays en guerre où ce frère tombe en clair
on est bon qu’à obéir ou se faire tondre
mes tortures, rage du fn qui engraisse
des méthodes du reich du fmi en grèce
gâchis sous la gouache ces rires là nous narguent
le choix c’est cyril hanouna ou les frères kouachi
la paix poignarde faut dire le sort est cynique
a peine croyable ou fautifs les autres les imitent
qu’en pensent les bourreaux pas dur d’prendre l’ton haineux
faut penser boulot pâture et moutons laineux
en cdd pour grailler c’est la même connerie
que d’ lancer les dès pour gagner madame el khomri
pro dans l’sport j’men colle un en criant bravo
ras le bol des badauds clients des transports en commun
les mots amères me noient rendez moi mes narines
mon ami mon âme est noire et ma mémoire est naïve
peu importe quelle poudre ou descente tes skis découpent
ni prose ni sample d’honorer santé et d’c’qui découvre
colère usure l’âme est sombre les collègues puent le sub
t’esquives des coups à la maison l’école est plus sure
drôle d’été merde dépoter mes palettes
mais j’ai trop été l’ mec des potes aimé pas net
finis d’rire, d’ramer ou d’le redire avec des riment fi
j’finis armé ou j’me retire trop prêt
j’ai cru qu’ce refuge me portrait abris je l’ai cru trompé!
j’refuse l’ordre établi
l’ennemi parle russe dans ce cas pied pince thekov
rémi y’a pas d’luxe quand le papier peint s’décolle
les autres se bougent ici je ne saute en fin d’rêve
j’saute ou j’recule et si je saute ? enfin bref
comment vous le dire les mots végètent un peu d’poison
un mauvais geste on t’embout-t pour une queue de poisson
pourquoi faut-il parler fort ivre ou finir épave virer pâle
à s’dire ceux qui réparent sont pas les fautifs
si les palace brillent c’qui m’épate c’est pas la floride
un flow triste parait qu’il faut rire pour finir ses pâtes
la corneille est morte le cou brisé par la vitre
la paraffine a tout grisé ma corbeille déborde
mauvais présage gamin se battre pour le smic galère
d’la main à la patte y’a 5000 galettes pour le pressage
sans blague à demi-mot combien d’homme estime
leur semblable comme chiens ou bien animaux domestiques
malheur au vaincu gus plein l’cul d’porter la meuleuse
j’me leurre désolé j’trinque plus à ce portrait de l’âme heureuse
l’heure des fois tombe plus vite j’vieillirai trop rapide
s’il est ivre t’aura pire l’œuvre n’est pas tout public
ce trou m’déçoit lamentable mes ouailles dépriment
cette rime la m’entaille les doigts et tous les soirs c’est pire
eux déjà mort regardent le ciel sans rêver d’amour
que chaque môme le grave ce siècle sans règles est à nous
en conflit à la maison on s’dévore pour des broutilles
on flippera mais songe à ce que les autres ont en boutique! pourquoi
pourquoi faut-il parler fort ivre ou finir épave virer pâle
a s’dire ceux qui réparent sont pas les fautifs
si les palaces brillent c’qui m’épate c’est pas la floride
un flow triste parait qu’il faut rire pour finir ses pâtes
pourquoi faut-il planer au kiff ou finir épave virer pâle
a s’dire ceux qui réparent sont pas les fautifs
si les rapaces griffent filtrent et bâtissent de la folie
un flow triste parait qu’il faut rire pour finir ses pâtes……..
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