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bavoog avers - mocaccino lyrics

[couplet 1 : kalan]
non, je n’ai pas, non, je n’ai plus
donc j’en appelle au génépi
une journée pour ci, une journée pour ça
j’en ai p-ssé, sous gin et pastis
j’suis jeune et beau, oui j’en ai peur
mes chenapans se chinent pour le pèse de sean paul
un permis de pèche au népal, en chine ou partout ailleurs
par toutatis, je m’éclipse, à tout à l’heure
j’ai b’soin d’une clope et d’un mocaccino
manque de bille, pourquoi m’en cacher ?
j’veux plus qu’l’argent vienne à m’empêcher
j’fais ça bien faut qu’les mecs achètent
achète ma ‘sique, je prends mon cachet
ils font du biz ensemble
ecoute ma ‘sique et prends ton cachet
t’as d’jà le pif en sang
j’veux être fly sans attendre le week-end
me mettre au weak, être, rêver de briques
sans piédestal, la flamme, le briquet
mon troph’ imbriqué, sans faire de bruit
mais j’garde espoir
matière grise sous casquette noire
galère, piste comme à l’air, hein
j’ai pas l’air triste, j’m’en bat les reins
un pour mon équipe, de part j’forge mon éthique
trois fois rien c’est mieux que tchi
divise en cinq tant qu’on est quitte
cb dans l’tir-jeton
dans l’bec une dure gitane
malgré la d dans l’tarin
j’ai peur de dire “je t’aime”
j’me projette hors j’ai tort de ne rien faire
d’ailleurs j’attends, ouist-ti aux dires gentils
souhaite devenir dos argenté
mon mini-moi est à le dèch’
prend du taga, du poppers
prends de la merde pour faire des thunes
prône le caca comme pampers

[couplet 2 : kalan]
même si le public vaut deux chiens
comme un teckel averti
y’aura toujours des bouches au bout du tuyau
tant que la merde coule, on a les thugs
et les narcos, lnmlr cogne, fait tanguer les mer
-co d’angela merkel
mon crew tourbillonne face au digue et la mer calme
meilleure came c’est la notre
tagada-myrtille, dès qu’on démarre
tu choppe dégaine de martyre
seul dans le caca, c’est dégueu’, démerde-toi
on peut pas faire d’omelette sans c-sser des œufs
j’ai longtemps c-sser des œufs sans faire d’omelette
taper dans l’vent, frapper dans l’vide pour faire p-sser des heures
sacré désordre, les forcenés que l’homme laisse
dans ma ville, les yeux sont baissés comme les stores
qu’on m’laisse ma grande escorte
veut denier comme mendès france
tout sauver sans pomme s
face au vent je tape, tape et retape
et pet-t à pet-t, j’en pâtis, j’parle pas d’mes r-t-rds
en perte d’appét-t parce-qu’on est pas pétés
baille, parait-il que je ressemble à mon pater’
un jour, tout roulera comme sur des patins
et tout mes proches s’ront épatés
oui, j’ai le spleen et l’empathie
merci, mais j’en demandais pas tant
mayday, mayday, faut qu’on m’aide au fond
car ça sent la chi-sse et impossible de m’en déféquer
le monde est fou car la mode est féconde
et moitié faux-culs, moitié maléfique
motherf-ckers
j’ai pas attendu la main d’un fakir
pour me sortir des piques de milles enfants d’chœur
mais l’enfant coûte plutôt factice
mais l’enfin que j’m’éloigne de ces fous que le mal affecte

- bavoog avers lyrics

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