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bigflo & oli - freestyle skyrock (21/04/2015) lyrics

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[couplet 1: bigflo]
comment s’appelle l’album ? la cour des grands
comment s’appelle l’album ? la cour des grands
mais il sort quand l’album ? le premier juin
mais il sort quand l’album ? le premier juin
est-c’que tu vas l’choper ? ouais ouais ouais
est-c’que tu vas l’choper ? ouais ouais ouais
et si tu télécharges, t’es un bâtard
et si tu télécharges, t’es un bâtard
voici le retour des gosses terribles
j’ai grave taffé, oui le flow se mérite
il fausse mes rimes
si t’es cardiaque ou si t’es fêlé, fait pause fait vite
le boss de la ville rose t’envoie dans la fosse septique
c’est le retour du king des mecs qui défoncent des têtes de cons
qui parlent mal
biggy débite des rimes ce mec est trop bon
a paname
il se la pète c’est pour eux quelques balles de plomb
ca clashe grave
mais quand j’ai le mike ta clique se jette d’un pont
balance une instru cl-ssique que je l’astique
les mots je les mastique, puis les recrache en rap #flow élastique
bigflo est l’as, la cl-sse, l’art, la tactique
mc fantastique comme nas
envoie tous ses nazes au c-sse pipe
non mais les gars, écoutez moi, je mets le rap dans tous ses états
j’suis végéta, karatéka, vous avez mal mais ne cavalez pas
quand on arrive on distribue des baffes verbales
on t’éclate on se tape des barres
on épargnera pas ni les filles ni les gars
fermez la
ca sort les flingues les benz’, ça joue les gangsta
ca joue les ben laden, les dingues, mais ça le fait même pas
moi je te fous des beignes, je te saigne, ouais j’suis pas sympa
j’fais pointer les seins, les dindes sont en extase
et je t’ai fait une selecta des mc à écouter sous smecta
qu’est ce t’as j’suis pas ta bestah moi, je suis une guest star
j’suis extra, c’est le retour de la gestapo
pour de l’exsta’, tes meilleurs potos veulent ta peau
j’entends le démon en moi je défie la peur
ma tête bouge de haut en bas, elle crée de la vapeur
tu sais je fais l’acteur, lourd comme un tracteur
a la fin de ce couplet amène un défibrillateur
car mon cœur part en couille, faut le sauver
l’amour on l’a frôlé
oui la foule on la connait
non j’avoue j’ai déconné
et tous les mc font les hooligans
et tout à coup les bouls apparaissent
car les go’s elles aiment les fous il parait
désolé je crois que tu voulais parler
non je ne vais pas m’arrêter là je rappe encore
tu le sais quand je prend le mic’, pas de temps mort
toi t’as qu’à lever les bras et j’temporte
illégal tellement ça claque
attends que je pose le mic, ils font les macs mais je suis le master
pire que michael, mate mes nike, je pète les bacs
j’perd les backs, j’sèche les [?], [?]
à coups de battes dans les pattes de ces bâtards
trop d’amateurs, trop de blagues, trop de nazes
dadoo, mon pote ça vient du sud
don choa, mon pote ça vient du sud
set & match, mon pote ça vient du sud
demi p, mon pote ça vient du sud
bigflo & oli, mon pote ça vient du sud
iam, mon pote ça vient du sud
kimfu, mon pote ça vient du sud

[couplet 2 : oli]
un flow de malade, un enfant dur à soigner
le temps p-sse avec ou sans montre autour du poignet
j’trace sans str-ss, j’reste honnête
j’écris fier mes poèmes incompris comme la pierre de rosette
derrière le rideau, l’artiste se prépare
on peut être partout et n’aller nulle part
j’ai rallumé la flamme, c’est le début d’un incendie
ils ont brulé nos livres comme à alexandrie
et, si tout le monde m’aime, moi, je déteste personne
le rap est mort mais s’vend encore #michaeljackson
et j’enterre ces gangsters, ces connards de bandits
j’ai le regard qui tue mais comme les yeux de gandhi
j’ai vu des combats sur papier échappés des bas fond
j’ai déterré la hache de guerre pour l’enterrer plus profond
le génie se distille un peu et je médite
l’amour, ça crève les yeux, demande à œdipe
dans l’noir, le soir, j’ravale mes doutes
l’diable m’a appellé pour acheter mon âme, je lui ai dit qu’elle en valait le double
et, dans cette conquête, je me balade et j’grave mes vers
le rap ? c’est le malade imaginaire
et il va s’manger le décor, attraper le virus
j’bats des records, ma plume dévore le papyrus
l’avenir se dessine, j’rime dans un but précis
mc, on m’désigne messie de cette prophétie
le vynil grésille, ici, j’éclaircis le récit
net et précis, l’horizon rétrécit
depuis des années, des fous prédisent tous sa mort
mais à planète rap, le son tourne encore

[couplet 3 : dadoo]
quand je dis “dadoo”, vous dites “cl-ssique”
je ne vais pas dans une berline jouer les macs mon frère
ni même me torcher au dollar pour du crack mon frère
page publicitaire, ouvre ton macbook air
google double o, tape mc légendaire
ça y est le rap change d’air, retour à l’elysée
punchlines aiguisées, retour des dents aiguisées
j’ai plus de trente piges et je n’ai pas de bentley
j’suis la mort du bling-bling dans le rap français
ici c’est midi-p, pays des flambeurs à pile
les rolex brillent mais elles fondent à midi pile
tas d’amis en audi sur l’autoroute du crédit
j’ai vu l’avenir tirer des cartes de crédit en double file
j’ai le son qui met la pression, comme un cours de zumba
tout le contraire de b00ba, mon nom c’est dooda
je rappe dans le vers, pas de revolver
j’ai pas de jack pervers, balance comme jacques prévert
mon rap est mort comme un vulgaire junkee
dans un costume d’égocentrie à la couleur du mépris
pas une prise un peu consciente de vide
les racines de sa conscience sont d’abord endormies
le verbe fumant du feu mc brule encore sur les platines crépitantes de nostalgie
quelques témoins n’ont pour lui que des cris, noyés par des larmes sourdes [?]
alors je pousse pas, je rappe sans forcer, au fond je m’en bats
je dois élever ma fille, mais le rap a besoin de moi
don’t make a sound pour mes saloperies de voyelles
si le rap c’est tendance, lève ton string pucelle
j’suis l’école des tordus, des mordus t’entends?
mic’ branché, j’suis de l’école des maquereaux d’argent
oh, j’ai déjà rappé pour pas trop d’argent
mais entre toi et moi, je préfère pour beaucoup d’argent

[couplet 4 : jiddy vybzz]
ouais t’as reconnu la pureté, cosy bang bang
ouais t’as reconnu la dureté, ça va péter
quand je kicke j’enlève le cran de sureté
t’avais déjà kiffé avant d’appuyer sur play
négro on arrive lourd, feu sur
toute la capitale et ses alentours je te jure
cette année on rentre dans la grande cour
posé dans ma grande tour je vais les rendre fou en douze mesures
nous c’est que du one shot, pas besoin d’un tas de pistes
punchline pimentée pour que ça arrache plus
raconte pas ta vie, fais tourner le oinj à faktiss
qui vivra verra mon négro, nique sa mère le bac plus
on bicrave des pulls et des teesh’, étudie le disque
on t’apprendra comment faire des tubes et du biff
parlons peu, parlons bien, parlons de liquide
[?] industrie des putes et du sh-t
le premier et le quinze juin, le rap français en avait bien besoin
mon négro précommande cette sh-t
faut qu’on atteigne le nombre à 7 chiffres
le premier et le quinze juin, le rap français en avait bien besoin
mon négro vas y achète le
c’est moins cher et plus puissant qu’un sachet de beuh

[couplet 5 : faktiss]
je vais vous montrer que je suis le meilleur, sans vous parler de mon bras d’enfant
toujours un temps avance comme les cainris oui, mais je fais du rap en france
dans le futur je suis dans ton foutu seigneur
je prépare l’otage, je prépare la rançon
cette équipe veut des buts, veut faire plein de hits
j’sui pelé, le meilleur avant-centre
je prend des épaules, pas des épaulettes
j’écoute pas de rap français pour être honnête
il y a que mon crew que je suis censé connaitre
négro j’ai les crocs et qu’une parole, je vais tenir mes promesses
[?], dis moi tu veux du flow, du groove dans tes synapses
cosy bang bang fait danser tout le village
notre prochain album est déjà dans le sillage
cosy cosy bang bang

[couplet 6 : bunk]
trentenaire, trentenaire, j’en ai marre de ces bolosses et leurs sapes de merde
trop de boulettes sur mon coste-la boy
je respire le rap, tu n’en as que l’air
surpris par la foule à tous nos concerts
frappé par la foudre depuis collège
ouais depuis o’high je fais des tracks illicites
je vois même crier des meufs devant nos posters
cosy bang bang pour toi joli cœur
premier disque, dispo chez ton disquaire
ouais harcèle ton fournisseur
grosse énergie, vibe d’apothicaire
vas y remue ton boul pet-te t-ss’
tu veux des [?]
dès la première note tu fais des folies, folies
tu veux des selfies, tu veux des dédicaces
trop de flow, tellement
que tu vas m’accuser d’harcèlement
je ne suis que joie et bonne humeur
alors vous ferez la fête le jour de mon enterrement
tu me vois loin devant
torse bombé, je cours fièrement
tu me parles de vitesse, tu me parles de vie de rêve
je crois que je suis en plein dedans

[couplet 7 : don choa]
rien d’neuf, rien d’clinquant, gun dans les tympans
vieux déglingué fringuant, cinglé, jeune délinquant
inquiet les cinq sens, cherche le billet d’cinq cent
les pet-ts prenaient des cinq francs, maintenant ils prennent des cinq ans
pendant qu’on m’parle d’un temps qui n’pourra pas renaître
comme un printemps, j’regarde p-sser les putes à la fenêtre
en trinquant, et j’ai crié jusqu’à c’que j’m’endorme
ma mémoire… ou une boite de pandore
moi, j’ai déçu leurs attentes, paraît qu’c’est trop tard, c’est mort
ferme ton cul quand j’chante, que les pet-tes garces m’ignorent
moi, j’ris quand j’me plante, on dirait qu’j’suis garcimore
mais c’est plus pareil depuis qu’ma bande a mis la clé sous la porte
mon clan a baisé le score, ouais, mais ça fait long time
porté disparu, putain d’barbu dans la montagne
on gagne ou on meurt, on s’marre et on pleure
mais, ress-sser les rancœurs du p-ssé, c’est zéro euro d’l’heure
j’ai rien contre le succès, thanks to the almighty
n’essaie pas d’me sucer #menacetosociety
j’ai pas fait ça pour la gloire, j’ai fait ça pour le biscuit
j’ai fait ça pour pouvoir me lever tous les jours à midi
et je flippe que ça soit fini, j’traîne seul le soir sous liqueur
ça parle mal sur twitter, préviens-moi sur mon bippeur
il m’a tellement donné, j’peux pas haïr ce jeu
d’l’ancien volcan, ils veulent voir rejaillir le feu

[couplet 8 : billy bats]
hey yo, roule un gros zbar négro
ton number one pothead est dans le spot
je veux une [ ?]
jouer pour le barça, vivre une vie de pacha
faire le même score que jackson thriller
ma vie est tournée vers ça
puis vice et versa je vise la couronne de versailles
méduse sur le torse je porte du versace
camouflage vert kaki
nouvelle chance, qui l’a offerte à qui ?
j’irai provoquer la banque je veux pas de tes vers gratuits
pacifiste en l’âme mais j’ai le verbe actif
c’est quand les miens fondent en larmes que je me serre la vis
navigue sur des mers arides, attendant que le best arrive
pour le reste c’est le même tarif
j’suis l’opposé du maire de la ville
fumée d’herbe à pleine narine
vivre jusqu’à en perdre la vie
j’ai versé trop de sang sur feuille blanche
aujourd’hui je tombe chaque neurone pour que mon [?] flambe
fortifie mes fondations, faut que les leurs tremblent
que leurs armes soient dirigées sur leurs propres tempes
j’emmerde leur culte j’ai mon propre temple
quand tu tires le recul à trop d’importance
j’croise que des mc impotents
faux, comme croire de croiser les choses en votant
tu m’croiseras joint au bec en sifflotant
le futur t’appartient seulement si tu prends le volant
donc met ta cagoule met les gants
j’me sens mieux quand les billets se mélangent
j’vais pas tirer sur les gens mais j’suis attiré par les grands de ce monde
qui me poussent à prier pour que mes plans se montent
la tête appuyée sur les planches du sol
on est venus en peace, négro range ton glock
en plus ça roule des spliffs toutes les 30 secondes

[couplet 9 : demi portion]
demi portion tape un pet-t p-sse-p-sse sur la touche
mais vise la surface, l’effet de surprise
big up à pour rester sur pause, une vida loca, cherche l’occaz’
un peu d’audace de faire des bêtises
on a p-ssé l’âge, on s’en fiche
un jour tout s’efface
oui c’est rachid, fait voir ton visage
oui c’est facile de parler trop mal
non c’est rapide de faire des dommages
atterrit tandis que décolle l’âge
pas de coloriage ne me colle pas de biatch
rien à l’amiable [?] jeune âge
je me sers de ma bouche comme une arme
où je me couche, toi tu te caches
centre de menaces, tu t’oublies grave
oui je vis sans, loin des str-ss
pourquoi tu stresses ? faut que tu saches
manque pas d’adresse à chaque message
oui les mots blessent, mais qui est sage ?
naal dine oumouk : un coup de schl-ss
rentrer dans le moule, ça faut pas
tout est fragile, il y a tout qui se c-sse
qui fait la tête, et qui s’écrase
sorti de sète, lion de l’atlas
pas de compet’, j’ai pas le temps pour ça
la grosse tête te gâchit la face
oui ça m’agace, pas trop ma t-sse
pendant que tu parles, et bousille le taff
bigflo et oli, freestyle

[couplet 10 : dadoo]
dédicace à mon crew le cl-ssique
beaucoup de bruit pour bigflo et oli
le sud le fait mieux, le sud le fait mieux
le sud le fait mieux, le sud le fait mieux
7 piges de silence, et le rap est blessé
il est p-ssé de nique ta mère à mathilde seigner
parait qu’il ne mange plus de porc, et se gave de billets
pour une bentley en or, certains se mettent à briller
je ne suis pas le meilleur des oursons, au pays du rap game
moi je rappe pour ton frisson, eux ils font du rap [?]
what’s my name ? d double o dans le rap game
clint eastwood : mon nickname
tu gobes mon flow tu deviens dingue
je te bang bang, bang bang, molécules je les décompose
je n’aime pas quand le mic’, j’flingue, mc que tes nike reposent
weed bleue dans le gros bang
mon cœur vogue à penny lane
wicked, wikileaks, mon flow qui tape tout ton abdomen
si je n’ai pas pris le mic’ depuis « où vous êtes », c’est que vous êtes la
en paquet de six, un paquet pour six, des couches et du zetla
weed bleue qui te guette la
rap français qui te jet-lague
weed bleue qui me jette la
rap français on est quittes
donne des low-kicks comme une kalash dans un pays de apaches
grand [?] armés de haches, et d’une équipe sans attaches
j’f-ck tout ce business, c’est de l’amour au kilogramme
manager dans le money gramme, et l’espoir miroite comme un hologramme
quand je dis dadoo, vous dites « cl-ssique, cl-ssique »
quand je dis dadoo, vous dites « cl-ssique, cl-ssique »

[couplet 11 : bigflo]
les mc débitent des phrases débiles
se prennent pour les rois des beats mais les échecs défilent
pourtant ils font partie des hits, ils font le tour des villes
voici venus biggy et oli te fait pas de bile
la jeunesse ne connaît plus le respect
ils rêvent que de caisses, de li-sses et de t-sse-pé
ils aiment le s-xe sous tous ses aspects
on les engraisse au macdo et tous ces abcès
séjour carcéral, non mais envoie le flow même si ça fait mal
contrôle parental, si tu mets pas du cul, je sais c’est pas rentable
c’est lamentable mais c’est l’industrie du chiffre aujourd’hui
tu vends plus aucun disque, poursuivi par le fisc
tu veux pas prendre de risques alors tu sors une connerie
en plus ça se vend par milliers
musique décevante, humilié
ils veulent que tu banques, ils veulent que tu danses, tu flanches
ils veulent nous faire plier
on va pas les prier, nous on les c-sse, leurs tours de p-sse-p-sse, leur cache-cache face à face
qu’est ce que tu veux qu’ils f-ssent ?
on va leur c-sser le dos, pour plus qu’ils f-ssent les beaux
télévision pour les dix pet-tes arnaques au téléphone
met des culs dans les clips pendant que l’état nous -ssome
et des tonnes de codes, l’école déconne, les bonnes sont connes, [?] à coup de [?]

[couplet 12 : don choa]
aucune envie d’vous aider, jeune padawan, vieux pédé
j’vous découpe à coup d’épée, vous et vos putes toutes pétées
les fous, c’est plus c’que c’était, tout l’monde me demande : “où t’étais ?”
même si tu parles pas, tout se sait et, même si tu parles, tout se paie
tout se paie cash ou à crédit, come on biatch, are you ready?
are you ready? de la douleur, j’prédis, pas de douceur, j’t’ai dit, moi, c’est krueger freddy
ou rocco siffredi-fredi et, tout d’un coup, ton p-ssy frémit, frémit
j’suis la nouvelle épidémie-démie, you know i’m not good comme amy, amy, amy
rest in peace miss amy winehouse, françois in the hood, j’suis dans la white house
où ? dans la white house ; où ? dans la white house, suce mon cigare ou bye-bye pét-sse
aïe, des fois, m-ssacrer, ça fait mal au cœur, aïe, mais tu l’as mérité motherf-cker
die, et tu vas nous quitter motherf-cker, die motherf-cker, die motherf-cker
tminik et j’te baise, moi, c’est philippe etchebest
timnik et j’te baise, moi, c’est philippe etchebest
c’est philippe etchebest, philippe, philippe etchebest
philippe etchebest
y’a pas de hasard, tout est logique, j’suis un barbare technologique
j’frappe à coup d’marteau dans ton crâne, et j’soigne tous tes problèmes psy-psychologiques
c’est pas la peine d’appeler la police, non, à peine arrivés, ils périssent
les grillons, on les crame, on les brûle dans les flammes
comme les dragons de daenerys
je vois des flashs, j’en entends qui rouspètent
nique la kalash, j’ai sorti la 12.7
j’arrive plus bordélique qu’un bolchévique ouzbek
c’est pas michael, mais ils vont crier : “who’s bad?”
[?], à coup d’rafale dans la tête
quand ça rafale, ils se cachent, ils cavalent, là, je crache, ils avalent, ils avalent, ils avalent
dans le conduit nasal, ma came artis-n-le, ton style, il a mal, lyrics archi-b-n-les
nanani nanana, mais y’a tchi, y’a nada, plus précis qu’la nasa
j’suis ratatatatatatata
tminik et j’te…
tminik et j’te baise, moi, c’est philippe etchebest
philippe etchebest, philippe, philippe etchebest
tminik et j’te baise, moi, c’est philippe etchebest

[couplet 13 : bunk]
pour mes sahbs, pour mes homies
pour les singes et les barges et les jolies
l’ambiance elle est calme elle est cosy
oui dans ma tête, dans mes rêves, dans mes folies
t’as voulu réveiller l’eau qui dort
dis moi alors quand est-ce qu’on s’isole ?
j’ai des pensées insensées, c’est mon corps qui se colle
surtout ne crie pas il y a mes potes qui dorment
le jour se lève sur ton [?]
je flippe, je redoute, mais ta [?]
je le vis dans ma tête, et je goute tes lèvres
je remercie dieu vers la voute céleste
cosy cosy bang bang
je vis d’amour et d’eau tiède
f-ck ta parano je n’ai plus peur des triangles isocèles



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