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caspy (fra) - caspype lyrics

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vous vouliez de la violence ?
on va vous servir !
j’crois que tu vas cesser d’bailler
et t’ébahir
comme devant l’+n+lyse de beye habib
l’abeille a tissé son nid
c’est caspy l’empereur romain
avachi sur le parvis
raisin dans les mains
y’a pas d’orage qui gronde
le soleil est au zénith
manque plus que la grognasse blonde
sachez que j’opère au mérite
et y’a le poulet qui crépite
j’le retourne j’trépignе
j’vais pas tarder j’ai du pain sur la planche
pas comme cеs bouffons qui tapent des lignes
j’m’accroche à toutes les branches
comme si je bossais dans les vignes
parait qu’ils veulent me faire
on a des mines patibulaires
et j’m’en tape de leurs critères
mes rimes plus émancipées
que leurs grands frères

(refrain)
c’est le caspype
la tarentelle du siècle
caméléon, caméléon dans mes écrits
j’agrandis le cercle
c’est le caspype
la tarentelle du siècle
caméléon, caméléon dans mes écrits
j’agrandis le cercle

c’est la même rengaine, c’est le même thème
et j’touche pas le frein, y’a pas de refrain
j’suis à jeun mais y’a de l’entrain
la petite teigne prépare ton requiem
adulé comme si je brandissais
des clefs en taule
imprenable comme le port du pirée
attaqué par nageurs au crawl
on est reparti pour une session
planquez les nourrissons
j’en ai perdu mes principes
la prod agit comme un siphon
j’m’en bats les couilles de leur v.i.p
j’ai créé ma communauté
j’m’éclipse car j’suis dans les vapes
mais mon oreille reste traîner
parait que j’touche un peu trop l’alcool
que j’aime les doux, les fermentés, les fessiers fissurés
que j’aime les attraper par le col
paraît qu’suis violent quand on m’en parle
et qu’suis trop mou quand il s’agit d’pe+ra
c’est la tarentelle des paroles
et j’suis la tarentule à 12 bras
ça pue l’hypocrisie partielle
comme après ta venue mes draps
(refrain)
c’est le caspype
la tarentelle du siècle
caméléon, caméléon dans mes écrits
j’agrandis le cercle
c’est le caspype
la tarentelle du siècle
caméléon, caméléon dans mes écrits
j’agrandis le cercle

l’atmosphère est chaude comme le sang des sudistes
et y’aura pas de pause clope dans un camp de nudiste
même pas un salut
j’ai giflé son crush
mais j’l’ai pas touché
dans sa chambre insalubre
ça sent le chanvre et les ordures
dans ce putain de rap de rue
rap de diva, ventre trop gras
coloration capillaire
stéréo+ides dans les gros bras
manque de respect à leurs mères
font les canards devant leurs putes
la tendance est leur critère
l’honneur s’apparente au cul
le lion a perdu sa crinière
a marcher dans les pas du bouc
la veste fera marche arrière
quand la mode deviendra plouc
et j’suis tellement excité
que d’croquer dans le canapé
ne m’a pas nourri
et j’ai toujours opté
porté de l’intérêt aux faces cachées
des fruits pourris
même si j’pars à la dérive
c’est peut être mon côté ivre
ou que je brave une marée d’givre
mais ça c’est ma ive
j’navigue entre les potes
les post, les apostrophes
suis+je ce grain que ton palais sent
en croquant un clou de girofle ?
a la dérive suis+je décidément
ou penses+tu qu’un livre me c+n+lise ?



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