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casseurs flowters - freestyle planète rap lyrics

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[couplet 1: diamond2klo/claude]
on est parti
pretty ugly
c’est pour ceux à qui le placard fait pas peur
qu’ont une dégaine de boloss à la bruce harper
qui roulent en r25 courchevel et portent des lunettes de pointeurs
quand tu fais du dragster t’as les veuch a ébouriffés
ta p’t-te sœur caresse la trique à bourriquet
on fait tourner ta daronne dans un tourniquet
tab-ssage de mec à terre
ta daronne tappine dans un partner
liam c’est l’plus vilain des gallagher
[?] a me terroriser
c’est ryan gosling que je défendais à la récré
ta mère t’a pine en side-car avec les pneus crantés
souvent ton père sort du pmu fissuré
la fissure qu’ta mère a au cul on va la colmater
on s’y mettra à neuf pour y lâcher la purée
beau-gosse en soirée disco
ça commence par la laque, ça finit par la lacrymo
ta daronne s’est fait éclater le rideau
coup de batte de fermier à la david beckham
c’est parce qu’on s’est payé un becquet sur le tracteur qu’on roule pas en grosses bécanes
t’as déjà vu ma cosmo énergie
j’ai jamais eu de cousins qui s’appelaient riggie
p-ssage au tribunal pour menace de mort avec la voie d’eddie murphy
ta daronne a chié l’moutard
pendant qu’ton père en chier au mitard
à 10′ du mat’ ta mère-grand elle sent l’ricard

[couplet 2 : orelsan]
c-sseurs flowters
j’ai deux personnalités mongole j’suis trysofrène
ibuprofène et filles obscènes remplacent mes nuits d’sommeil
complètement saoul comme ben l’oncle
j’m’endors dans une chatte quelconque
des lendemains d’soirée différents, toujours la même honte
trois-quarts des gens n’ont pas vraiment d’amour : ils calculent
les grandes salopes traînent toujours avec les p’t-tes cr-pules
vous serez tous foutus dès qu’j’aurai mes cinq cents signatures
quand j’vois les commentaires sur le net, j’rêve de dictature
c’est pour mes adultes immatures, mes types qui mènent une vie d’raclure
mes smicards qui taffent dur, mes jeunes dépressifs qui saturent
cinq heures du mat’, plus d’mélange, on finit l’sky pur
j’déboîte : j’aurais dû sampler des bruits d’fractures
t’as une voix d’chiotte, va sampler des bruits d’ch-sse d’eau
même quand tu jouis, ça sonne faux : arrête les vibratos
orelsan et burbigo, faites place au muppet show
sortez les blousons en cuir : c’est perfecto !

[couplet 3 : deen burbigo]
j’ai oublié d’être con, les autres ont oublié d’être bons
j’tenais juste à l’souligner, on joue aux fléchettes sur vos boucliers
groupie, tu rêvais d’y être, mon crew y est
chaussé des plus fous souliers, continuez de roupiller
les marques les plus hypes veulent leurs textiles dans nos clips
les b-tches les plus soignées veulent leurs vernis dans nos slips
pendant c’temps, la concurrence est très sage
ils savent que la vestuelle sort du pressing
et qu’mon skeud sort bientôt du pressage
on détient toutes les clés des showrooms
précis et pressé, j’apprécie ce qui est précieux comme gollum
on f-ck vos troupes, boycotte votre soupe
si tu t’approches d’un peu trop très, un de mes golgoths te shoote, breh
j’porte pas d’pare-balle, parle mal, je m’en accommode
j’ai des gars fait comme des armoires et, crois-moi, ils n’sont pas commodes
joue pas l’plus rue, man
le gars le plus rue que j’connaisse vit sous un carton en bas d’la rue curial
j’opère dans la plus pure cl-sse
pour déguster d’succulents amuse-gueules dans des succursales
j’suis l’genre de comète qui arrive quand tu t’y attends pas
comme les prophètes, les coups d’foudre et les attentats

[couplet 4 : taipan]
la liberté c’est un bras de fer
j’me sens comme dieu on a pas de père
j’me sens comme dieu mon frère si tu veux j’existe
j’me sens comme dieu mon fils on pas a te plaire
j’me sens comme l’éclair d’un orage de nuit
tu veux savoir où je tombe, savoir où je suis
quand je sors le temps d’un flash tu comptes les secondes qui p-ssent
avant qu’le bruit se déplace jusque dans ton lit
hey! même avec les poumons goudronnés
j’me sens frai comme un nouveau né
hey! j’ai pas besoin de poudre au nez pour sentir mes corrones pousser comme un roi fraîchement couronné
j’me sens tellement loin mais j’me sens bien tu m’sens bien on a un point commun
j’me sens point commun
laisses moi voler encore un peu avant q’je sentes plus rien

[couplet 5 : gringe]
le savoir est une arme tu veux savoir c’que j’pense quand tu te manges une craie dans la tête j’dirai même c’est une arme blanche
quand sonne défaite vient la revanche et j’crache s-m-nce
tes rejetons vont finir complètement mongols
qu’est ce qu’tu m’parles de taffer sur un fond j’bouge la tête
si j’bosse pendant 30 piges c’est mon p’t-t fils qui touche la retraite
plus gros mytho j’prend des avances avec des bouts d’ma quête
j’sais pas p’tetre que la bosse du label veut que j’lui bouffe la shneck
et leurs ex me courent après appelle moi scott pilgrim
j’éclate des meufs tellement bonnes j’ai peur de finir gouine (un de finir gouine ?)
et ouais c’est l’kif’ mais j’ai aussi de l’amour pour les milfs
grand-mère sait faire une bonne cyprine
nous c’est les goonies pas les enfants de timpelbach
j’tise le sky jusqu’à la trisomie simple jack
orel et gringe c’est twideldi et twidelda
comme un thaï-boxeur cul de jatte t’es bon qu’à mettre des middle-droites

[couplet 6 : eff gee]
on veut briller frère, ici c’est vice et ‘sness
street et s-xe, bien loin de la vie de rêve de vincent chase
mon crew ne va pas l-sser, mes frangins p-ssent à l’acte
manipulent la salade mais n’touchent pas à la c
j’vise d’être le meilleur, j’tue plus vite qu’un berretta
b-tch y’a qu’les voies du seigneur qui restent impénétrables
j’recherche l’évidence qui réside dans le ciel
françois, prénom papal, royal, présidentiel
et si je cogne, my man, ne riposte jamais
chauve mais tenace comme christophe jallet
j’vois les autre dehors, des faux corleone
mais on est tous des hommes avec une paires de cornes sous l’auréole
yo, l’entourage arrive bientôt
c-sseurs flowteurs, rappeurs, auteurs
qu’est ce qui se p-sse ? on va violer vos cd

[couplet 7 : doum’s]
ok merde tu m’as pris au dépourvu j’ai pas textes sur ce genre de prods j’arrive et j’insulte
ouais c’est ça les bails au planète rap de c-sseurs flowters
doumam’s il est died il se déplace et il smoke ta sœur
nan merde je parlai de ganja y’a pas d’soucis moi j’arrive avec la miff on rigole pas
donc y’a le “l” avec oim deen eff gee et le nek
y’a pas d’soucis on est died on va baiser toutes des [?]
on va violer ton cd pédé t’as pas compris c’est quoi les bails
moi j’arrive j’suis félé moi aussi j’suis trop died
bon vas-y j’reprends l’mic
qui kick ac?
orel ou bien taipan faut faire des baffes là

[couplet 8 : nekfeu]
frérot, je te promets que je pourrais tuer de mes deux mains
ceux qui voudraient porter l’oeil à la prunelle de mes yeux
j’ai pas rempli mon portefeuille, j’ai juré qu’j’le ferais demain
fuir mais rester serein dans la ur’, très peu de chemins
tous les jours fuir la mort de peu, rester fort, faire renaître le bien
j’vois les corps des pauvres dehors, j’ressors la fumée de mes yeux, un
joint pour sécher mes larmes, un point d’vue qui frappe l’audition
j’étais un moins qu’rien, j’ai cherché mes talents
les profs ? ils voulaient réfréner mes ardeurs
mais j’préférais être rappeur et j’ai fait mes galons, eh
ça t’es égal d’être du coté des spectateurs
t’as ta teille, ta play’, ta flemme et cætera jeune
il faut que tu cogites même sous gros sh-t, viens
il faut qu’tu t’oxygènes, ton quotidien est toxique, faut qu’tu profites bien
c’est pas possible d’être aussi blême, moi aussi j’ressens des vagues de flemme
quand un proche me dit qu’il faut s’y mettre mais j’y vais…

[couplet 9 : gringe]
grosse tête, gros bonnet, nan, j’rentre pas dans les 5 panel
orel chante sur les refrains j’ai toujours pas la voix de pharrell
les mêmes pensées psychotiques quand j’fume la salsepareille
j’déteste ceux qui patrouillent en bleu, appelle-moi gargamel
pur quand j’lis la bible en sirotant un doigt d’javel
j’suis avec mes démons, j’traîne dans un monde parallèle
bien sûr, le style est innovant, même quand j’tire au flan
et j’les voie tous qui virent au blanc #vybzkartel
gringe lit sur les pet-tes lèvres, pratique le langage charnel
j’me la fait circoncire pour qu’elles goûtent à mon falafel
back in the day quand j’étais sec et qu’j’avais pas d’label
j’allais bicrave mon sh-t en cours, j’fourguais des tas d’lamelles
2013 : il est grand temps qu’le clochard s’f-sse la belle
j’vis mes rêves avec insolence pour que mes cauchemars s’rappellent
super héros, j’enfile ma cape quand le devoir m’appelle
et j’monte sur scène, raide, défoncé au jack daniels
j’ai jamais su dire : “non”, depuis, quelques conn-sses m’harcèlent
j’crois qu’ces putes m’ont dans la peau, vas-y p-sse-moi l’scalpel
si j’prends la caill-sse, j’suis pas venu jouer à la marelle
wanted, j’suis recherché par warner et par la sacem
en période de vache maigre, tu peux m’trouver sur chaque mamelle
j’héberge ta pouf chez moi, j’lui fais payer la taxe annuelle
on n’est pas venu causer tricot, désolé mademoiselle
tu peux poser l’micro, retourner peindre des aquarelles
orel, gringo ça va t’faire drôle, ça va t’faire drôle
on balance des punchlines pas des air b-lls, #samc-ssell
les c-sseurs flowters, hé c’est l’planète rap ma belle
et on récrit l’histoire, j’m’en bats les couilles de charles martel

[couplet 10 : taipan]
j’ai que des amis, comme un débile mental
je suis né prématuré, depuis j’arrive en r-t-rd
tu sais qu’ta mère m’envoie des mails
parce que t’aime bien crame 1 gramme
travaille bien en cl-sse ou je lui propose un rencard, ok
j’arrête l’alcool, c’est plus enivrant
même bourré je marche droit comme un mollah en iran
j’préfére crever en vibrant, que vivre gentiment
110 ans dans mon divan devant vivement dimanche
et pendant que j’y pense
comme dit ablaye : tu m’dois d’l’oseille…
hé ouais ma gueule

[couplet 11 : orelsan]

jette-leur les restes pour les exciter
mais avant, décime-les, déchire-les, périme-les, termine-les, méprise-les
montre-leur c’que ça fait d’kicker, fait-leur regretter d’exister
qu’ils n’puissent ne plus jamais sortir une seule phrase de merde sans hésiter
voilà c’qui p-sse dans ma tête avant chaque texte
comme un malheur arrive jamais seul, cette fois, y’a gringe avec
laisse-nous faire le boulot, j’mène le troupeau, j’serai leur bourreau
j’serai leur guide, j’serai leur dictateur quitte à y laisser quelques bouts d’peau
on leur propose quelque chose de nouveau
on leur fait péter les plombs genre : “s’te plaît, pose ce couteau”
tout dans l’bluff neuf fois sur deux
j’me jette en torche humaine dans leur public pour leur montrer qu’ils n’voient qu’du feu
liar game, faut qu’j’me c-sse du jeu
marre de voir ces chiennes de paris sniffer jusqu’à c’qu’elle ait la truffe bleue
j’suis dans la machine comme un grain d’sable, intenable
plein d’blagues, vicieux comme un coin d’table
leurs textes pleins d’rimes sont comme leurs clips, un terrain vague
si j’viens dans leurs freestyles c’est pour crier : “mais de quoi tu parles ?!
ferme ta gueule, si c’est pour faire des jeux d’mots cramés, j’préfère brûler un scrabble”
est-ce qu’il faut leur faire une greffe pour qu’ils m’voient d’un autre œil ?
j’ai pris la place de personne, j’ai rajouté un fauteuil
j’suis venu avec quelques potes, j’ai rajouté un banc
c’est c’qu’on fait maintenant, c’est c’qui bousille tes tympans
j’ai commencé dans ma chambre, j’ai commencé sans un plan
j’suis resté fidèle à moi-même, j’me branle comme à mes quinze ans
si j’dois t’expliquer simplement c’est parce que t’es trop lent
si ton col en v touche ton nombril, c’est qu’il est trop grand
tous ces rappeurs hipsters m’donnent envie d’incendier une friperie
revenir p-sser sur les braises après trois bouteilles de whisky
seizes mortels, j’verse une larme chaque fois qu’j’les finis
et puis, j’récidive -bip-bip- fait l’dix-huit -bip-bip-
sweat noir, jean noir, ton sur ton
à l’hôtel avec deux lesbiennes dégueul-sses, thon sur thon
j’avance, pion sur pion, j’balance son sur son
super sans plomb 82 dans les veines, combustion
conclusion : quand j’irai rapper devant satan
qu’il appellera tous les démons, traduira dans chaque langue
il leur dira : “qu’est-c’qu’on peut faire avec autant d’talent ?”
ils répondront : “on a trouvé ton remplaçant, ce type est flamboyant !”

[couplet 12 : doum’s]

je porte l’espoir de mes soss sur mes jeunes épaules, pas question d’décevoir, on grandit avec le seum d’être pauvre
j’te jure qu’ça forge le caractère, quand tu sors d’l’école pour les sentiers battus ou les bagarres règnent
les stups sont sur ma trace et ces t-ss’ veulent ma maille donc j’me déplace qu’en silence entre ces rapaces j’me smoke la came !
a l’imp-sse cité véron on vit là-bas avec mes gars sûrs on a calciné des frémont
descendu des gildas possédés par le démon, enfoiré p-sse le chivas quand j’suis posé dans la pénombre
la miff’ c’est le princ-p-l, le beat, c’est secondaire
les b-tchs ont la dernière place ainsi que les têtes de leurs compères
voici mes principes yo, juste quelques mots
non n’aie pas peur, ça vient du coeur d’ange sur ma démo
doomam’s pour le planète rap des c-sseurs flowters
faites du bruit tu vois c’que j’veux dire on est al mes smokers !

[couplet 13 : gringe]

le prochain qui pr-nonce mal mon nom, c’est moi qui l’écorche
tu peux m’trouver dans la bouche des fans et dans celle des escorts
y’a pas d’souris sur mon ordi, j’suis toujours le rat du mac
j’vais l’irriter dans tous les sens du terme, ta pute mettra du talc
ta pute n’est pas une pute, mais j’lâche quand même un billet
j’déchirais les tickets, demain : j’rachète le ciné
j’ai aucun pote bourgeois, pourtant j’traîne avec le j.b
mon putain d’nom, à moi, c’est gringe : non, tu l’as pas deviné
donc, laisse-moi réitérer : j’suis pas une série télé… fringe !
ou jim carrey dans un costume de caribou pété… grinch !
arrête de l’pr-noncer comme si t’habitais à l.a… greenje !
tu m’as vu galoche une moche dans “l’amour est dans le pré” ?… grange !
ou faire d’la pub pour une tablette de chocolat nestlé ?… crunch !
porter des jeans troués, avoir les cheveux sales et graissés ?… grunge !
non, j’sais pas, p’t-être que t’as des latences
la prochaine fois qu’tu foires : j’te fais faire un cahier d’vacances
bâtard !

[couplet 14 : deen burbigo]

j’laisse les autres mc’s, ces pitres, dire qu’ils sont les meilleurs
et mon pet-t public dire que deen est le meilleur
les deux sont dans l’faux mais les deuxièmes sont plus près du vrai
vrai gus éduqué, j’essaie d’laisser ces putes médusées
la chance me fait du pied, je joue des coudes
ta t-ss me fait du thé, j’les laisse
couleur nar nar, prêts à sucer du vier
mon vécu est musclé depuis que j’ai débuté, je l’ai juré
pour mes mangeurs de porcs et ceux aux prépuces épluchés
rapper tous les jours, j’le faisais y’avait pas d’paye
j’étais playlisté sur sky avant même d’être à la sacem
qui est vrai ? qui est faux ? j’te laisse juger
ils ont enterré la hache, je l’ai exhumée…



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