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chacalcolik – normale folie lyrics

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[d-rush]
c’est desroches 5 et 8, sûr que j’évoque l’élite
jusqu’aux portes de ta ville, f-ck les coches, les ministres
pour les props, le mérite, faut step up, suivre le rythme
notre époque est sinistre, je plains ceux qui écopent des missiles
pu de sens moral, on est victime des modes
la pression insupportable fak on se pop 1000 tylenols
mais ya un pet-t bémol dans leurs tonnes d’idées folles
y a pu rien pour le peuple, c’est pour ça qu’on crie révolte
y m’ont dit d-rush, y faut que t’esquives les punchs
faut pas baisser les bras, devenir un mouton biaisé de l’état
embarque pas dans leur propagande, -ssure-toi de remporter la manche
la meilleure façon de pas rater ta chance, c’est prendre de l’avance
si j’écris des textes, c’pour faire balancer le cœur et l’âme
je remplirai pas mon coffre de banque vu que l’offre est plus présente que la demande
je te le donne parce qui est pas question que je te le vende
mon seul et unique but c’est de faire parler l’encre

[dony s]
perdu dans les limbes, brat mart, on en est là
quand les médias transforment obama en mandela
les fantômes du fascisme sortent tous du mandala
ils t’attirent vers le bas de leur bras comme amy walta
ya pas de salauds points dentés, je cogne sans vergogne
mes textes cognent pet-te conne, j’ai la pogne d’un big bwoy
les jeunes jambes d’un b-boy, j’esquive je touche comme ali
et puisque je risque tout, je parie sur ma vie
avides de sang, lyrics rarement à vide de sens
sur les sentiers de la guerre, j’ai senti le vent
tourner, détourner, emporter, des humains déportés
et des portées d’porcs portent le port d’arme et le tollé
parle en justice, sa part entend une parodie
pour eux je suis qu’un ovni qui est bon qu’à la calomnie
mais je vois leurs rafles et leurs centres de rétention
l’appât de leurs millions, leur pression et nos détentions
tu tombes dans la dépression pour une longue paix
j’ai un combat comme sean penn, ils en ont un comme le pen
les jeunes peinent, les vieux prient et le peuple se saigne
quand ma mère se signe je sais qu’elle saigne aux 4 veines
elle a connu la guerre, a fait de moi ce que je suis
vos idéologies ont fait de moi ce que je fuis
droite ou gauche, vous vendez le mensonge comme un savoir
la politique et vos partis, j’ai pris le parti de plus en avoir

[lil p-a]
p-a point final, chu adepte du soin vital
celui qui se retrouve dans la boucane que j’inhale
pour eux chuis juste un minable, un pet-t bum invivable
qui divague pis qui se pogne le cul comme la cigale
mais mon chant est productif en plus d’être inimitable
j’ai de l’éloquence quand je spitte pis c’est inévitable
on me calomnie ma folie, trop souvent on l’-ssocie
on l’-ss-ssine ou on me demande de la vendre à profit
devenir la copie de toutes ces artistes mainstream
mais moi je m’inspire de ceux qui cherchent à m’instruire
je me rappelle des premiers bpm qui ont frappé mes tympans
qui ont allumé l’instinct d’un artiste en un instant
un incendie naissant dans le mind d’un adolescent
une insomnie stressante, une folie omniprésente
une envie si pressante qui a mis le feu à mon essence
qui a créé mes convictions et ce que je représente

[blackapar]
hé dis-moi qu’t’entends les kicks? moi c’est mon cœur qui guide ma plume
j’ai de l’encre sur les doigts quand je fixe la lune
j’ai plus que ça pour arroser la daronne
retiens bien mes paroles moi je kiffe la tune
et ne crois pas qu’on est tous frères
moi je renouvelle mon flow quand certains négros toussent de la poussière
rien à battre de votre rap game
je parcours le monde, fais des feats avec le rap queb
et si ça claque à chaque thème
c’est que niveau placement je peux tout faire, je ralentis mes ennemis comme max payne
donc tir au mac ten, moi je p-sserai sous les coups chers
dis jamais que j’ai trop souffert
th mon cartel, papy sonne-per
ne m’empêchera de faire mon garden à madison square
je suis technique si je cogne trop
négro c’est de bonne guerre, et je m’en ouf si je te donne chaud

[chacalcolik]
chacalcolik anonyme, la musique gravée dans l’anatomie
t’as pas compris si tu crois que je le fais pour le fame ou la money
quand j’écris, j’ai le cœur et le brain en harmonie
mes pensées sont comme un cube rubik, tout est amovible
c’est la seule raison pourquoi chacun de mes atomes vibre
sans ça, je retombe vide, j’ai le cerveau qui carbonise
un moral au vif, un mal au bide, je deviens sauvage aussi
mais quand je parle on beat, la douleur s’adoucit
pour que ma soif de vivre s’-ssouvisse, ça suffit
dédicace aux feats, ceux qui m’approvisionnent en amour et m’applaudissent
chu un accroc de rimes, les 16 bars comme narcotique
mais je m’en sacre qu’on dise que ça sonne deep ou que c’t’un tas d’connerie
en autant que parsonne dise ”j’rap comme lui”
je sors de la m-sse solide, dire qu’au début, ça m’a nui
maintenant, keep your eyes on me, chu sorti de ma zone grise
en char d’-ssaut, je file pour shooter mon ratio de skilz
j’oublie jamais que mon temps raccourcit
j’ai que 2 choix: courser ou prendre des raccourcis
j’oublie pas non plus que le mauvais bonheur appauvrit
pis que chaque bonne prise accomplie a son prix
je m’approprie la position qui me revient avant que l’envie s’atrophie
ou que mon existence soit abolie, l’album vit
10 ans de sacrifices derrière chaque copie
enfermé dans ma tête comme si c’était une maçonnerie
quand j’entends l’instrumental, un choc mental se produit
ce que je peux -ssortir, j’arrive à le sortir
des mots s’-ssocient, ça donne ma normale folie

[im-monde]
pas évident de prendre pied quand tu connais pas tes racines
je vois ma culture s’effacer, heureus-m-nt j’ai de la mine
dans le crayon, j’examine dans un sillon
je laisse la ville dans du plomb au lieu d’en subir la pression des machines
tout est une question d’image, de cliché et de maquillage
divorce, salissage, l’anglais comme langue d’affichage
c’est dommage que ce soit rendu le chemin praticable
aujourd’hui si tu veux devenir un homme admirable
pas évident de prendre pied avec sa folie sur les épaules
tout ce qu’on veut c’est des dollars, des euros, des pesos
pour nous pas pour eux autres, tu sais de nos jours
c’pu vrai que l’être humain se contente de très peu de choses
un jeune malpoli issu d’une normale folie
la raison est abolie dès qu’on parle de femmes jolies
des frères d’armes deviennent des ennemis
c’t’en leur honneur que je dead le beat
aussi bien vous dire ‘ceux qui m’aiment me suivent’



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