coeurco - four loko lyrics
[paroles de “four loko”]
[couplet 1]
[?], les cups les trous d’mémoire, comme 2016, la four loko
j’roule une [?], les cups les trous d’mémoire, comme 2016, la four loko
j’roule une [?], les cups les trous d’mémoire, comme 2016, la four loko
t’attends ton uber eats, ta dopamine, t’attends ta coco (greed)
moi j’attends pas sur toi pour faire mon biff, j’ai les yeux sur l’chrono (h+llo)
[refrain]
elle m’donne un bout d’son cœur elle m’dit : “tu peux l’garder pour toi”
j’suis dehors j’fais des tours, t’es dans ton bed, tu regardes tes pour toi
et j’me réveille, yeah, chez un d’mes kheys, en c’moment j’dors sur l’sofa
là+uiss il crush des oxy’, ensuite il met dans l’soda
j’regarde l’heure sur ma casio, ça fait deux+trois jours qu’j’suis sous ça
j’suis plus lowkey que tony, j’veux la vida peace pas loca
rongé par la parano’, nouvelles têtes, j’fais des blocages
parce que y en a qui prendraient tout mon sang, mon juice s’ils avaient l’occas’
le scotch c’est pour les pots cassés, le jus c’pour les broke ass
l’ancien il traîne qu’avec des p’tits, il veut nous faire la morale
depuis j’suis p’tit j’f+ck avec faire le biff, nan j’f+ck pas avec lola
assagi, j’roule avec jérémie, y a deux heures j’roule un collage
j’vois mon g, à force de rester fort il noie sa peine dans l’cool+al
j’ai mis l’redbull dans la ‘teille, rajouté du bromaz’
sur le boulevard à l’ancienne, pull over par la skoda (greed), yeah
[?], le cup le trou d’mémoire, comme 2016+16, four+four loko
this is a certified+, classic
[couplet 2]
yeah, moi j’attends pas sur toi pour faire mon biff, j’ai les yeux sur l’chrono, yeah okay
moi j’attends pas sur toi pour faire mon biff, yeah
les sous, les sous, les sous, les fourmis sur les bras, on discute sous les draps
le cannabis, le xan’, le sparadrap, l’épice, le bodega, le gaz, les gros dégâts
les jours, les beaux ou pas, ceux qu’j’ai passé à faire des tours chez toi, dans la ville, dans le froid
les belles chansons que m’raconte mon flaki quand la lune elle se laisse voir
quand la lune est debout, moi aussi j’suis debout et c’est souvent là qu’on s’voit
j’parle au micro, ma feuille, j’parle un peu trop tout seul
moi, j’avais dix sept ans et j’faisais que d’pillave tout seu+eu+eul
moi, j’suis sobre depuis quarante huit heures, et dieu merci ça m’affecte pas
j’compte le cachet dans l’uber, sur le backseat de la tesla
j’peux compter sur mes doigts, j’peux dormir sur mes deux oreilles
j’sais qu’j’peux compter sur tout mes gars, hun
[refrain]
elle m’donne un bout d’son cœur, elle m’dit : “tu peux l’garder pour toi”
j’suis dehors j’fais des tours, t’es dans ton bed, tu regardes tes pour toi
et j’me réveille, yeah, chez un d’mes kheys, en c’moment j’dors sur l’sofa
là+uiss il crush des oxy’, ensuite il m+m+m+
run that sh+t back
le scotch c’est pour les pots cassés, le jus c’pour les broke ass
l’ancien il traîne qu’avec des p’tits, il veut nous faire la morale
depuis j’suis p’tit j’f+ck avec faire le biff, nan j’f+ck pas avec lola+a+a+a+a+a+a+a+a+a
rong+rongé par la parano+no’
rongé par la parano+no+no+no
[outro]
t+t+twenty sixteen
émotif
y en a qui prendraient tout mon sang, mon juice s’ils avaient l’occas’
deux, mille, seize
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