cosmoboy - vert pré lyrics
pourquoi devrais-tu te demander ce que tu es, ce que tu fais, si t’es beau ou moche, si t’es bof ou bon, si la vie est plus belle quand t’as pas d’boutons. moi tu sais que je n’ai pas de réponse. je ne fais que narrer des histoires de mon monde. des histoires à la con, je ne fais que tracer des lignes droites en fin d’compte
mais alors, autant le faire bien ou ne pas le faire du tout. comme dirait l’autre yabadabadou, abracadabra et badaboum. faisons partie de cet univers, de toute manière, il fait partie de nous, il fait partie de vous, de lui, de elle, enfin bref, t’as compris le moove
que vivent les arbres, que souffle le vent, que courent les eaux, que brille la flamme. qu’à blanc soient toutes les balles, coupe et décale, on veut des câlins
si j’me perd parfois, c’est pour trouver mon chemin, de surcroît trouver ma voie dans ce monde de dingues
je n’ai plus d’temps à perdre, je fais ce qu’il me reste à faire
j’attend pas qu’on me tende la perche, pour aimer et faire la paix
comme mes frères et mes sœurs, l’homme et la nature, le noir et le blanc, le soleil et la lune, le ciel et la terre. qu’attendons-nous pour faire la fête? et j’peux t’-ssurer qu’un rien f’ra l’affaire. que jamais ce s’ra pareil. pourtant, ce s’ra la même, la vie n’est pas si tu n’peux pas la perdre. alors t’en fais pas, tant qu’on est là, y aura toujours quelqu’un pour te raconter ça, qu’on est pas né pour souffrir. on est né pour rire, danser, sourire, changer à chaque seconde
pardonnez-moi si j’ai pas tout fait bien mais maintenant faut aller l’avant, provoquer sa chance, proposer autre chose, coco. attends, j’tape une pause photo, puis reprend le combat, le mien, évidemment qu’on peut être heureux, on a découvert le feu, la planète bleue vue de l’esp-ce. j’dépose les armes face à ce spectacle époustouflant, on est d’la race humaine. on se fait avoir parce qu’on nous vend du rêves. on nous crée des besoins mais ça ne tient qu’à nous d’être nous-mêmes, de vivre chaque jour en étant ouvert. on ne vit pas pour mourir, on meurt parce qu’on a vécu. parce que de vie on en avait qu’une, alors pourquoi s’en faire, je le referai plus
j’fais mes valises, prend un sac et c’est parti vers l’infini, l’inconnu, l’invisible. ça fait du bien d’pas savoir où j’vais. j’pourrai pas m’gourer d’chemin j’en ai pas bougé. j’vois l’horizon se dessiner. par-delà les bâtiments, les murs, j’aperçois le vert pré, rappelle-toi de l’herbe fraîche, la rosée du matin qui salue ton espèce
j’sais pas pourquoi le monde est ainsi. en tout cas, il m’a fait une invit’. j’ai la forme que tu vois et si tu tends l’oreille, tu pourras même entendre ma voix. je n’ai plus rien à dire à part merci, merci pour ce beau jour, il est trop cool, il n’est jamais trop court. merci, merci beaucoup
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