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davodka - blc lyrics

[paroles de “blc”]

[intro]
une autre, une autre, une autre, une autre, une autre, une autre, une autre
une autre, une autre, une autre, une autre, une autre, une autre, une autre
j’crois qu’ils en veulent encore une, gros
j’crois qu’ils en veulent encore
alors, j’voudrais voir, est+ce que vous êtes chauds qu’on fasse encore un putain d’bordel
ouais

[couplet 1]
ambiance chaude et torride, quand j’rappe, même les camés s’en branlent de l’héroïne
la prose est naturelle, le flow musclé sans prendre de stéroïdes
j’protège mes arrières quand j’ai affaire à mille blablas
pour les punchlines, un de mes albums, c’est la caverne d’ali baba
dix ans plus tard, j’suis honoré (ouais) quand des mecs kiffent mes sons
mais pour les autres, il m’faut une table toujours plus grande pour faire des dîners d’cons
j’ai aucune médaille, mais un passé chargé d’exploits
la preuve, mon sol est jonchés d’verre, même les fakirs veulent plus rentrer chez moi
on part de rien comme scred connex’, on arrive à ce qu’on vise
j’suis qu’un vaurien qui t’prouve que la rage, la rime, ça se combine
ce que j’accomplis malgré ma galère, ma poisse
a fait de moi un homme brillant à travers ma noirceur
j’en ai dans l’bide chaque fois que je pose, j’en crache des bouts d’entrailles
je suis insolent, comme un corbeau posé sur un épouvantail
j’ai pas votre time, j’emmerde toutes vos idées reçues
mais ce qui est sûr, c’est qu’dvk, pour les punchlines, c’est l’unité d’mesure
[pont]
mais ferme ta gueule, j’veux pas qu’on m’entende, compris?
ta gueule
j’ai des débiles profonds comme voisin (ferme ta gueule)

[refrain]
un micro, un texte, une carte son, ma gueule, j’m’en bats les couilles
une clope, une ‘teille, j’enregistre en caleçon, ma gueule, j’m’en bats les couilles
j’suis une roues libres, même les voisins deviennent des tarés fous
j’ai l’flow qui casse des bouches, mais qui peut me descendre ? j’attends qu’un gars s’dévoue
que ça soit des open mic’, des scènes complètes, ma voix laissera des douilles
j’suis d’jà l’meilleur que l’meilleur d’la compète, ma gueule, j’m’en bats les couilles
j’me fais kiffer, même si ce son ne fera pas d’écoutes
j’pourrais sonner les cloches de la messe du dimanche tellement j’m’en bats les couilles

[couplet 2]
tu vois qu’j’ai la prose, extra, paraît qu’j’en impose, n’est+ce pas ? qu’est+ce que t’as ? m on flow fait des sauts, pas b’soin d’une dose, d’exta’
j’m’exclame, eh gars ! tu parles sur mon dos
reste là, teste pas, ce soir s’arrose pour p+sser sur vos messes basses
je reste là, je lâche pas l’affaire, j’suis comme une tache tenace
le fait de citer mon blas’ inscrit ceux des autres sur une plaque de marbre
je ne joue pas à vos jeux d’enfants, t’es mignon, repasse t’haleur
vu ma paire de couilles, j’suis imbattable au petit pont massacreur
t’es loin d’être prêt pour la tuerie que j’prépare
les démineurs sont d’jà en sueur devant l’usine de pressage
j’suis plus une grande gueule chez les flics qu’un tombeur chez les filles gérant ses factures, une aiguille à coudre dans le compteur électrique
ça sert à rien de juger, ici, c’est moi qui fais ma loi
j’suis c’mec qui a grandi trop vite (ah ouais), qui allais pas d’l’avant
j’ai mis pas mal d’années avant d’trouver ma voie, depuis, la mienne a fait trembler maroquinerie, cigale et bataclan
[pont 2]
quand j’dis “le ver” vous dites tous “de trop”
le ver, de trop
le ver, de trop

[couplet 3]
quand je monte sur scène, ça gueule, loin de leur promo et de leur dix mille cagoles
j’ai l’don d’les emmerder comme une deux+chevaux sur le circuit carole
pourtant, j’suis cet ancien gars, sapé ringard, pas en balenciaga, mais quand j’balance une prod, j’te lâche des punchs, toi, tu balances qu’un gaz
pour moi, c’est naturel, alors je ne peux pas dévoiler le truc
le rap, j’ai baigné dedans, comme un cul+de+jatte dans des toilettes turcs
suffit d’un peu d’passion, d’s’en battre les couilles et d’un peu d’talent, j’crois
et tu feras changer la vision de ceux qui croyaient pas en toi

[outro]
tu sais, en vrai, c’qu’on pense de moi
je m’en bats les couilles
en vrai, même si ce son ne te parle pas, ma gueule, je m’en bats les couilles
j’avance tout droit même si l’avenir me paraît floue, j’pourrais sonner les cloches de la messe du dimanche tellement j’m’en bats le couilles (bats les couilles, bats les couilles)
eh merci, le verre de trop
on est là
ça bouge pas
davodka
ha ha

- davodka lyrics

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