despo rutti – je gère l’argent comme un daron dioula lyrics
[paroles “je gère l’argent comme un daron dioula” despo rutti]
[couplet unique]
je gère comme un daron dioula
je me suis toujours débrouiller
j’ai pas peur de m’embrouiller
je suis petit comme messi
mais on m’a jamais dépouillé
j’ai recèlai des samsung
que des 500, des olivettes
j’ai tiré des kilomètres de câble
sur les chantiers de jour de fête
j’ai monté ma propre boîte
suce ton boss
[?] héro
les blacks puent la sueur en boîte
oui, oui, mais moi, je pu l’euro
je suis pas fier de savoir publier multiplier ce papier de banque
j’explique au négro à quel point faut avoir des grosses couilles pour regner sur son époque
je les ai tellement grosse
que je les perds que devant les cris de ma femme
les voisins toc
elle va entendre le bruit que [?] m+rs+illais qui vient de lancer une boule de pétanque
je fais 60 000 €, en n’en investissant 600
je suis un bon black
en train de devenir un feuj puissant
i’m wonderful
[wonderfou]
i’m f+cking smart
tellement charismatique que je refuse
quand une pute bulgare insiste pour m’offrir un smart (ha)
écoute pas les sceptiques
t’as une carte à jouer
joue la
mon biff tourne que quand dans la famille
je suis comme un daron jewla
si sous merde
esclave de sous+maître
veulent me soumettre
me tente des pièges
pour m’appauvrir
si je signe à chelsea
comme petr cech
chèque, tu voudras me cheick
comme le nègre à [?]
non, le nègre à sec
ta sœur tu seras prêt a me l’offrir ?
je la marie pas
je lui bouffe la lingette
elle me les prend
je la prends, je la jette
f+ck ton quie+ban
qui décide qui est bon ?
mon biff est dans la boîte
de mes lebron
f+ck ton chèque
les plaisirs du monde s’achètent
les renois associés se finissent à la machette
les plaisirs du monde sont jetables
comme un chewing+gum ou des lingettes
[refrain]
tu payes pas cash mon transfert de biff
quand tu sais manier ?
y a tellement de maudiz à
fumer
que j’peu pas m’ennuyer
j’ai été heureux, pauvre
je le serais riche
[?] man hey
ta sœur veut baiser
range ton flingue
je suis pas ton man hey
[outro]
c’est, les darons encéphale, sait que je vais biffer obligatoire
il veut que j’embrasse fille
loin de plus petit
j’me suis fait cramer par les employés de la femme qui m’a élevée en train de taper des brochettes, posés dans un maquis de brazzaville
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