drflashin - paradoxes lyrics
[couplet]
marre de perdre dans des méandres, les sens de mes récits
marre de réduire en cendres, ma plume, elle rétrécit
et elle s’flétri, trop vite, j’ai beau espérer des miracles
tom se noiera dans l’alcool, jusqu’à ce que jerry canne
-ssis dans ma chambre, dans les méandres de ma mémoire
en espérant la rebâtir, genre c’est très chiant, elle veut la fuite
nan mais vraiment, c’est peu magique, elle fuit et moi je perd ma gloire
l’enlèvement de mes souvenirs, me reste tellement et veux ma mort
c’est peu raccord avec ma vie, tout ça n’est pas cohérent, du tout
la physique nous ment, avec ma plume, je peux faire du lourd
ne cherche pas de sens global, le docteur reste perché
l’amour d’écrire, je peux l’transmettre, plus vite qu’une mst
et si je peux soigner, les cœurs ou les esprits, des aigris
des mec qui, veulent plonger dans l’vide, car l’ciment est gris
du haut du bâtiment même si, ce monde est ridicule
je m’en fout de ta vie en selfie, on reste vivant en étant
un artisan, un gars qui enchaîne t-tres, sur t-tres pour rester libre
c’est ma raison d’continuer, même en manquant d’aliment très riches
des fois ça peux te sembler niais lorsque je parle vrai
tu t’es rendu à l’évidence sans p-sser par le rêve
rien n’est là sans raison, à part la vie elle même
et chaque acte est l’expression, d’un idée j’m’explique
exprime en lettre, si jamais t’aime la haine
ou tout autre élément, toute autre idée précise
ne crois pas la vérité qu’on t’livre, elle change selon les gens
raconte donc à tes convives, ta version déjanté
puis suis moi sois pas con dit, j’ai des idées
pour que ta vie tu la conquisse, tu laisse pas les autres en décider
un jour d’nos mains on bâtira, la tour de babel
tu sais ce mythe, qui enseigne la soumission irréfléchie
pourtant c’est l’union des humains, dans cette histoire la haine
est là à cause du créateur, et des ses peur débiles
le maître a besoin de l’esclave, mais l’inverse est-il vrai ?
il a besoin du maître pour être esclave, oui mais
sans maître il serait libre, de travailler pour lui même
quand p-ssera t-on d’esclave à maître, de notre vie d’merde ?
qui a un maître ne vole pas bien haut
qui est maître finira comme icare, à l’eau
fera une lourde chute, plus qu’un cachalot
puisqu’on dit pas tout, que nous cachera l’autre
prend ton temps, marche lentement pour faire la cour
la morale de tous les disney c’est qu’il faut être beau
il faut être attirant, si tu veux trouver l’amour
relations à distance c’est naze, on te l’as dit texto
mais en vrai c’est pas si simple, j’aime pas la notion de couple
l’amour ça rentre pas dans des cases, mais c’est bien plus souple
je voudrais une relation qui n’commence pas par « faut que je t’avoue quelque chose »
une relation qui n’finit pas par « il faut qu’on parle »
l’amour c’est pas l’arnacœur, c’est 500 jours d’été
envers les gens qu’on aime, on est d’éternels endettés
de ma plume l-sse, j’essaie, d’écrire
de mon crayon je trace des traits, d’esprit
l’effort des faibles étonne c’est vrai
c’est mort et kheye, pourtant j’essaie
j’crie fort mes peines, et donne des beignes
j’s’rai fort, mais merde, pourtant je saigne…
les vrais ont compris c’que je j’pense, et les autres tristement
ces fils de p…ense, que j’suis un anarcommuniste
je vire je tremble, pour pas péter un câble
ces pitres chiants, sont trop cyniques mais libres de penser
promis mon autre monde, si tu m’aides je le bâtirais
et si personne me suis, tant pis tout seul je m’en irais
mais ce bateau avec brio et quelques potes je l’manierais
je p-sserais au travail manuel, j’en ai marre d’être maniéré
sur une île pas forcément paradisiaque, je mènerais
nan merde je mènerais pas on sera à égalité
j’ai pas tilté, mais bref, loin des ces gamins déter
quitte à n’pas y accéder, on fait notre propre jardin d’eden
les notions de ce système sont ancrées dans nos têtes
soi disant pour les droits de l’homme, ça course le pétrole
aujourd’hui sans mentir qui peut prétendre être honnête
rejoins mon île, car le reste du monde me désole…
pourquoi se battre pour la paix ?
le monde est décidément plein de paradoxes
la roue sociale ne tourne jamais
avant d’caner je dois créer mon propre paradis
pourquoi se battre pour la paix ?
dois-je m’occuper tout seul de faire la tour d’babel ?
la roue sociale ne tourne jamais
et moi, seule dans ma chambre je garde mon ton doux-amer…
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