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duke mobb - le singe à joey lyrics

[paroles de “le singe à joey” ft. souffrance & veerus]

[intro : veerus]
yeah, yeah (eh)
avant+garde
hey

[couplet 1 : veerus]
j’suis l’plus chaud sur la méridienne, la prestance est américaine
[phrases et sites écartèrent/phrasé cité carter ?], flow puissant comme hurricane
homie, je vise les comètes et promis, j’arrête de promettre
mais j’pourrais jamais dire : “promis, j’arrête de commettre”
les images, images vont vite, les rêves meurent et la poisse еst complice (eh)
j’aime pas les cauchеmars mais souvent nos existences sont pires (yeah)
partout comme la misère, l’impression que j’me téléporte
des jeunes se pendent, ils se sentent seuls, pendus à leur téléphone (yeah)
j’suis sur la north side, devine de quoi on parle
des plans où ça khalass, de c’que l’état ramasse, mais pas des bahamas
tu débites encore mais tu sais que mama s’inquiète
y a des larmes et des flashs à terre top 5 et j’suis pas cinquième (jamais)
classe comme un majordome (‘dome), je transforme les drames en somme
et je bombarde toute la nuit comme le train fantôme
j’ai toujours l’neuf ou l’dix comme pipo ou zico
le répertoire est long comme une limo ou pivot
wembanyama dans l’œil du cyclone
j’te donne des cours de groove quand j’suis dans l’pouf, j’paralyse le mouv’ (yeah, yeah)
j’appelle ma b+tch satan 2, c’est un dernier missile (eh, eh)
j’suis prêt c’est easy, mon dernier couvre+chef vient de sicile
adebisi, en flash dans ta glande pinéale
j’éteins la capitale comme ligaments croisés de kylian
il paraît que la vérité leur blesse les cieux, moi, j’suis un génie comme e=mc²
[couplet 2: souffrance]
les crackos tiennent la ligne à kate moss, le v, le s, on les explose
et on n’est pas chez nous comme benyamin (tou, tou, tou)
les flics remplissent la garderie avant qu’l’été arrive
qui critique le rap attaque mon art de vivre
j’suis un putain d’poète, suce ma roquette, ferme ta grosse shneck
la résine est marocaine, la weed arrive de rotter’ ou d’espagne
coup d’état que j’opère pour mes srabs, et augmenter ma charge pondérale
s’ont des matraques, ils m’empêchent de fumer l’bon pétard
faut remplir le compte épargne, demain, c’est aujourd’hui en pire
mais faut affronter ça, même pour s’enfuir, faut défoncer grave
j’suis défoncé grave, j’ai dompté ça, alors elles tombent les sapes
j’ai la main sur l’schlast, quand est+ce qu’on s’échappe ?
pour réussir, j’me donne un mal de chien (chien)
j’fais d’la monnaie, j’achète une baraque comme joey et puis j’frappe le singe
les jeunes du ghetto veulent fouler p’louse du stade france
mais font les mauvais pas de danse, zerma la faute à pas de chance
j’arrive en dérapage, mate l’adhérence
dans l’9.3, y a d’la gue+dro caché sous l’matelas d’errants
même chargé d’vant les condés on claque pas des jambes
est+ce que t’as vu ma ganache dans l’plasma écran ? j’graffe ma légende
on mène la vie qu’on peut, on a vu nos darons s’plier en quatre
on a envoyé des mandats à des potes à l’ombre
si j’sors le [?] du pantalon, j’les gifle même si elles sont deux
qu’est+ce tu m’chantes ? j’gratte en bas d’la tess, coiffeur vient du bangladesh
eux, c’est des rappeurs de chambres étudiantes
t’as pas d’sens et tu flambes, c’est un sang, c’est que d’la poudre aux yeux
j’suis pas un voyou, j’suis un couteau suisse, il crie au loup et l’troupeau suit
tirons+nous, l’futur a un goût d’auschwitz
j’calme quand ça part en couille, j’aime pas les embrouilles
comme l’hypocrisie, y a celui au bigo et celui qui livre
on a les infos comme wikileaks, mais on fait celui qui nie
maitrise les mots comme fabrice luchini, baise les actrices de [?]

- duke mobb lyrics

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