euskoro - budapest lyrics
j’allume mon joint j’m’allume la tête
s’il+te+plaît ne raccroche pas le tel
j’veux toutes les drogues de budapest
puis j’mets le feu au bout d’la mèche
il reste un peu dans le sachet
j’sais que ça sera mieux dans le deuxième
tout est bien mieux quand je perds pied
chaque nuit j’aime un peu plus le ciel
quand j’suis faya+yaya
j’pense qu’a m’défoncer plus
quand j’suis clean ayaya
j’pense qua reprendre des stups
seule musique le bruit du briquet
vis des histoires trop compliquées
tout est plus simple en fin d’soirée
quand j’suis solo sur les pavés
la tête arrachée j’fixe une étoile j’peux plus bouger
petite voix me calme s’occupe de m’garder réveillé
j’ai peur de tout j’ai peur de rien f+ck un souhait
j’perd ma motiv’ comme un enfant perd un jouet
oouuh
j’finis ivre tous les soirs
dans la ville j’perds espoir
fais des hit dans le noir
les supprime lendemain soir
j’finis ivre tous les soirs
dans la ville j’perds espoir
fais des hit dans le noir
les supprime lendemain soir
régner sur la ville sa mère au maire
jamais sur la piste j’enchaîne les verres
j’transforme la concu en perroquets
j’attends qu’les autres me trouvent téméraire
arrive comme en 44
j’découpe des quatre quart en quatre
j’ai deux mains quatre maracas
jaune et noir pas l’carnaval
on vient pour faire du vacarme
j’ai retourné son appart
puis j’ai retourné la ya
j’repars apaisé comme d’hab
la tête arrachée j’fixe une étoile j’peux plus bouger
petite voix me calme s’occupe de m’garder réveillé
j’ai peur de tout j’ai peur de rien f+ck un souhait
j’perd ma motiv’ comme un enfant perd un jouet
oouuh
j’finis ivre tous les soirs
dans la ville j’perds espoir
fais des hit dans le noir
les supprime lendemain soir
j’finis ivre tous les soirs
dans la ville j’perds espoir
fais des hit dans le noir
les supprime lendemain soir
j’suis bref jamais je m’éternise
j’vais pas me laisser ternir
pas un très long temps de vie
mais je vais la vivre comme mille
j’ai calculé les dérives
je m’arrache le crane j’improvise
j’aurai pas l’temps de déperir
juste de les voir périr
on taille ayay
finis de boire on s’arrache
dubaï ca part
jamais le nez dans la mâche
j’compte plus les flash
et j’compte encore moins les taffes
j’ai la mental
pour supporter les dégâts
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