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fababy - outro : la force du nombre lyrics

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[couplet unique]
j’écris avec la rage, fais pas genre t’as pas vu
la banlieue a un charme, qu’a jamais séduit la juge
on a des frères tout là-haut, en plus j’peux même pas toucher ciel
on pleure des litres et des litres, c’est comme ça qu’on prend de la bouteille
lyrics de merde, mais t’es beau, bsahtek t’as du flow
sur l’bitume pousse pas d’rose mais on n’tourne pas autour du pot
j’ai fini boss de la relève, t’façon eux ils pensent qu’à baiser des meufs
la rue a des codes c’est pourça qu’les keufs rentrent pas dans l’immeuble
baby baby no more, baby j’ai même plus sommeil
tu peux être connu comme la lune tu feras pas d’ombre au soleil
des gyrophares, des menottes, attaque au bélier méchant
la vie d’un banlieusard, un synopsis que j’peux pas ger-chan
quand ton p-ssé te rattrape, le présent lui veut fuir
quand t’as pas vu l’envers du décor tu peux pas tout décrire
j’essaie de briller, briller aimer une fois sans souffrir
seconde après seconde, la vie t’invite à mourir
on s’aime bien on s’allie, on s’aime pas on s’allume
braquage raté on s’sent nul, t’façon ici s’ennuie
ici ça deal pour survivre, c’est pour maman qu’on dépense
nos rues ont des lois qu’aucun baveux ne pourra défendre
solicité ou même cité dans les discussions de cité
prédestiné à l’ouvrir, mais c’était pas pour sucer
freestyle deux milles douilles y’a que des nhommes-bo
jsuis d’lépoque ou on soufflait dans les jeux d’nitendo
plus chaud que tous mes confrères, dis-moi qu’est-ce tu comptes faire ?
quand t’es en équipe tu fais l’chaud, quand t’es solo tu coopère
reebok, requins, ou converse, enchaîne punchlines et concerts
violent génétique si on t’a pas toi, on raquette ton pet-t frère
dois-je mourir pour montré mes plaies
dans un désert de guerre j’cherche un mirage de paix
même si je mets des costards mes gars me trouveront cinglé
tu peux mettre des guns dans tes clips car tes sons sont flingués
on s’tire dessus on survit, on s’aime, on s’kèn, on s’oublie
traite ta mère en subli, on kiffe le son, on dougie
ta carrière en marche arrière le peu-ra c’est mon créneau
la bac et sfr me cherchent j’deviens une tête de réseau
même quand j’ai tort j’ai raison, pourquoi la gloire me repousse
la vengeance a des problème que seul un gun peut résoudre
de-spi comme jesse owen, j’ai traversé la bohème
et quand les vers sont plus solitaires, on chie des poèmes
ouais j’ai dis que j’étais le boss tu peux écouter mes sons
et puis si je dois rouler ma boss, je commencerais par mon front
pour un vol ou une bagarre la nuit les p’t-ts rôdent
des chiens, des keufs, des gyro, vagues de violences en sirène
soit tu tapes soit t’y restes chef de meute ça progresse
il m’faut une femme une tigresse, sucer des bites ça t’irais ?
et quand ils rappent eux, personne valide
dieu pardonne mais pas nous, pas nos grands, nos calibres
on est pas potes faut pas qu’tu m’tutoies. est-ce que tu tues toi ?
je t’ai déjà dit que tes sons sont flingués, c’est mieux que tu te tues toi
y’a déjà une pét-sse au refrain, faut bien qu’on chante non ?
j’ai vécu soupçonné, j’suis mort étrangement
quand tu voles, t’atteris. tu nous testes, tu péris
après la prière d’isha, faut que je rattrape celle de maghreb
eux c’est pour les meufs qu’ils veulent être connus
même si je prends les transports en commun, je serai jamais comme eux
la force du nombre, c’est sourire à l’inconnu
quand la solitude te drague, lui donne jamais ton num
un coup de main parce que les maisons elles se bâtissent en groupe
big up aux thérapies de groupe qui ont aidé des femmes battues
nos [solutions?], rester en vie. mais pour l’instant on tue l’temps
on regarde tous vers le ciel, on a des rêves en suspens
toujours garder espoir comme une sortie du coma
j’suis fait de principes, de regrets, de rêves et de cauchemars
j’ai pris les rennes sans savoir jouer aux échecs
[plus fainéant?] nous détestent, la réussite nous détecte
quand je p-sse, la banlieue se lève
y’a mon nom sur toutes les lèvres car je suis violemment célèbre
regarder les autres vivre, ça c’est une perte de temps
j’ai vu des rêves de gosses, glisser sur un toboggan
on m’a donné un blaze et j’ai cherché à le défendre
on m’a donné des ennemis, ils ont cherché à me descendre

paroles rédigées et annotées par la communauté française de rap g*nius



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