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frenetik (bel) - lion noir lyrics

[intro] :

l’héritage de nos ancêtres, c’est tout ce qui nous reste
on a plus peur d’y rester, nous ce qu’on veut c’est du respect
( chut )
arrêtez de parler, garder le silence c’est donner du respect

[couplet] :

je m’y suis vu, quelque part dans mes rêves, seul, tous les attacher avec des sangles
ils font les mec, habillés de remords mais jе penses pas que lеur tenues soit décente
même quand il caille on est dehors, on sourit dans les montées, vu qu’on gère les descentes
madame la juge rêve de nous monter en l’air donc les forces de l’ordre enchaînent les descentes
j’avais juste envie de raper, besoin de boire et oublier tout ce que j’avais besoin de voir
l’ancien m’a dit : ” pour le faire faut que tu deviennes fort, sème terreur comme freezer sous deuxième formes. ”
sur la route de la victoire tout est contradictoire
elle m’a dit : ” je te hais mais si tu veux, viens me voir. ”
je connais rien d’autre que le sommet, quand je suis le premier c’est pas parce que le deuxième foire
sous jack daniel’s je prends un bête d’hôtel
je prends l’eurostar, je descends sur paris
enchaîner les a.r, tout pour le papel
frenostar gagnant, je relance les paris
si je leur disais comment j’avais mal, je sais qu’ils me prendraient pour un fou
j’ai gardé mon sang froid et pourtant dans ma tête c’est un four

impliqué, efficace et nonchalant
je parles plus, j’en ai plus rien à foutre
au b.d comme ricardo dos santos en 2007
je pose un couplet, je fais chanter la foudre
je penses à hier, je m’enfume dans la piscine
je recommence à me dire que demain c’est loin
qu’aujourd’hui c’est lui, peut+être que demain c’est moi
qu’hier je faisais plus, que demain je ferais moins
je suis là pour le cash, le reste je crois pas que ça me concerne
remplir les stats, remplir des stades, remplir des sacs, remplir des salles concerts
très mal entouré, le débat n’est pas long
j’en ai fait tourner mais je fais pas de ballon
je suis pas comme eux
eux, c’est à force de se branler entre eux, qu’ils ont le bras long
je me tape des barres, je me tape des mannequins
j’ai jamais tapé dans la zipette, au début on voulait se faire la belle mais malencontreus+m+nt la fin est si bête
je me tape des barres, je me tape des mannequins
j’ai jamais tapé dans la zipette, au début on voulait se faire la belle mais malencontreus+m+nt la fin est si bête

c’est qui, qui pensait que c’était fini ?
on prend les mêmes et on recommence

dehors c’est la guerre donc j’en déterre la hache
je cours plus après mes rêves, je leur dis comment ça marche
je dors paisiblement, dans le plavon j’ai ma part
plus de bénéfice c’est comme ça que j’ai la barre
seul tout dans le dojo, je me prends pour baki
plus besoin de sharingan, maintenant que j’ai le haki
on parle de savoir mais l’avons nous acquis
frenostar a.k.a le dernier annunaki
beaucoup attendent que je fasse une erreur
gardien de mon frère comme si j’étais neuer
plus d’espoir, tout est noir, j’en ai marre de les voir douter de moi quand je sais que je suis le meilleur
le monde entier peut nous mentir, le très haut ma seule vraie équipe
je remets du champagne dans ma coupe, dans le miroir de l’hôtel je me prends pour frenetik
plus rien ne me fait peur, presque tout me surprend
je me souviens qu’on était tous assis sur le banc
en vrai fallait juste qu’on reste focus sur le plan
tout était déjà écrit noir sur blanc
on est jamais mieux servi que par soit même, je veux mettre le plus de têtes possible sur le plateau
quand il n’est pas trop tard, c’est qu’il n’est pas tôt
je vais pas finir comme alexandre pato, non
je tape 22 quand je les vois, 23 toujours aux pieds
c’est des chiens donc ils resteront toujours aux pieds
elle dit qu’elle m’aime d’un amour inimaginable mais dans ses yeux je vois qu’elle me déteste ou qu’elle aime quand elle me déteste
mélancolie sentimentalement transmissible, je ne peut guérir que les autres d’après les tests
avec un peu d’amour et de douceur, réparties sur des temps pleins de 12 heures
petit frère, si t’en as en toi, ne garde pas ton seum ou tu vas te faire du mal tout seul
bref, comment croire en la justice quand tu sais que je peux dire qui a des keufs qui ont plus de 29 ans, qui rentrent dans des écoles primaires, armées, pour plaquer au sol des gamins de 9 ans
avec chacun des cierges qu’on allumera, on brûlera ce qui reste
vu qu’au final quand les paroles s’envolent, y’a plus que les actes qui restent
l’héritage de nos ancêtres, c’est tout ce qui nous reste
on a plus peur d’y rester, nous ce qu’on veut c’est du respect
( chut )
arrêtez de parler, garder le silence c’est donner du respect

- frenetik bel lyrics

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