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gen (fra) - sur ma coquille lyrics

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a giant frog

[couplet 1]
près d’un étang à fumer un cigare accompagné de mon meilleur ami, un cr+paud de dix mètres de haut qui prône l’anarchie tout en citant du pasolini, cette nuit, attiré par les lumières de la ville, je monte sur son dos pour partir en riant conquérir cet amas qui brille, arrivé à la périphérie les réverbères sont aussi tristes que les visages qu’ils éclairent, les rues aussi grises que l’allée d’un cimetière, comme un premice des portes de l’enfer, les magasins qui vomissent des foules entières, d’êtres sans âmes, sous un vacarme sourd soudain un cri fend l’air
a giant frog

[couplet 2]
hey rhilliss c’est l’hystérie dans cette métropole, les hurlements se mélangent aux yeux qui s’affolent, apeurés par ce cr+paud géant qui rigole, alors il ouvre grand sa gueule et au nom du chaos il dévore tout ces moustiques humains qui passent à sa portée, je crois que ces chiens si mediocres mon ami ne peut les supporter, il bondis et détruit des buildings, à chaque saut il détruit des buildings, jusqu’à que cette ville n’ait plus de buildings, que la ville blafarde devienne un joyeux champ de ruine. c’est l’apocalypse selon le saint+cr+paud, une mairie écroulée qui lui sert de trône, car les décombres sont les plus beaux des royaumes
a giant frog

[couplet 3]
accroc à mes cigares, je les sors comme robin des bois ses flèches de son carquois, d’un petit air narquois, je regarde mon ami batracien, sa peau est verte et turquoise, ils mangent les gens par dizaine et tous restent coît, à se demander pourquoi leur peur croît, il avale autant de fils de pute que de connasse, il les gobe puis il rote de sa bouche s’échappe une godasse, enfin je crois, puis on repars en ballade moi son sur crâne hilare et lui qui bondis et côasse. on retourne chez nous loin de tout ces petits couards
a giant frog

[couplet 4]
hey, la ville est bien loin derrière nous, et il n’en reste désormais plus qu’un brin délabré de fumée qui s’échappe dans les cieux, mais on continue notre chemin, déterminé à rejoindre notre lieu de naissance, les marécages, ils transpirent de bienveillance sauvage et de nonchalance, sur un nénuphar je m’allume mon dernier cigare alors que mon ami cr+paud se marre, on se regarde car cette histoire n’a aucune morale, on s’en bat les couilles
j’aspire une grosse barre et la lune est couleur rouille



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