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gims - sharingan lyrics

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[refrain – maître gims]
wesh, quoi d’neuf depuis “là j’suis pas ienb’ ” ?
pourquoi nager là où t’as pas ied-p’ ?
violent comme les str-ss et les paillettes
ça fait plus d’deux semaines qu’on t’a pas yèp’
“vortex” incrusté sur la ste-vé
dur comme graille la thune des intérêts
y’a deux ans, on nous disait enterrés
un million d’cd !

[couplet 1 – insolent]
si tu grattes pendant des heures, c’est qu’t’es mort dans un désert
arrête de t’prendre pour un baisé : t’as toujours eu ton p’t-t dessert
paris c’est dangereux, on a grandi dans l’feu
en brandissant l’feu-neu au millimètre, haineux
laisse 1so’ prendre le dessus, j’avoue qu’ces fils de… m’ont déçu grave
il pleut des fils de lâches, et c’est la merde quand y’a pas d’essuie-glace
demande à las : j’ai des sales phases trois fois plus efficaces
l’inst-tut frappe, pour le h, 2being, tu sais plus qu’est-c’qu’il s’p-sse
mec, on a les clés d’la ville, sans dèc’, remballe tes p’t-tes invites
j’t’emmerde toi et ta p’t-te copine, ça m’stresse de voir le frigo vide
après so-per j’suis pas tranquille, j’vais pas cer-pèr’ d’une p-sse en retrait
j’t’incendie, j’p-sse en tête, pas besoin d’me concentrer
piégé dans un sharingan : ceci n’est pas un clip
ni un feat, prends la fuite quand ça part en égotrip
l’inst-tut, “équipe de nuit”, tu sais c’que c’est qu’un parigo
tu connais la p’t-te devise : pas vu, pas pris, f-ck la lice-po

[couplet 2 – abou tall]
j’ai… l’impression d’me noyer dans votre débilité
mon… orgueil fait qu’j’suis légèrement déséquilibré
garder votre amour n’m’est d’aucune utilité
j’suis meilleur que toute ta team de cloportes en toute humilité
ouais, mothaf-ckin’ tall, ça c’est formidable
j’suis mister jekyll, j’ai un double en moi comme un polygame
onizuka, tu m’écouteras, que je le veuille ou non j’suis coupable
j’suis trop haut pour tes rappeurs, donc j’comprends qu’vous m’mettiez des coups bas
oh, ça alors ! j’p-sse le beat à 100 à l’heure
vous léchez des bites pour des feats, j’comprends bien qu’vous f-ssiez du rap hardcore
han, t’as pas tort : j’rappe pour le biff si ça rapporte
f-ck ton label de merde, c’est l’wati-b jusqu’à la mort, négro
si t’es qu’une pute j’te respecte pas, même si tu pèses grave
t’inquiète négro, j’te paye quand j’te vois… #raycharles
et puis, bien évidemment
j’ai pris la grosse tête donc comprends que j’sois moins gentil qu’avant
tall !

[refrain – maître gims]
wesh, quoi d’neuf depuis “là j’suis pas ienb’ ” ?
pourquoi nager là où t’as pas ied-p’ ?
violent comme les str-ss et les paillettes
ça fait plus d’deux semaines qu’on t’a pas yèp’
“vortex” incrusté sur la ste-vé
dur comme graille la thune des intérêts
y’a deux ans, on nous disait enterrés
un million d’cd !

[couplet 3 – dadju]
eh yo, flow toujours clean, donc t’étonne pas si j’le pose en costard
viens, j’vais t’montrer comment bosser en soum’ tout comme l’état
j’pourrais te mettre une banane qui ferait jalouser chiquita
l’temps que tu réalises, akhi, je serai déjà au canada
je suis cette épidémie qui rend tous ces mc débiles
spécialité, chant qui débite, de quoi t’laisser dubitatif
dream auditif, j’pourrais te vendre un cauche tout en restant positif
touche-moi, comprends pourquoi dadju ne sort qu’à des heures tardives
hardcore comme une (chht) du bois d’bou’
besoin d’ce-for, donc forcément ça pousse
c’est un scandale, j’vois qu’j’les laisse tous
j’veux qu’on scande mon nom un peu comme big snoop, yeah
tout ce temps à crier, et tu t’redemandes c’est quoi la date
la fin du monde c’est grillé, akhi, “shin sekaï” c’est dans les bacs
bien sûr qu’meu-gi prépare du sale, saloperie de subliminal
un sharingan dans l’vortex, welcome to the wa

[couplet 4 – maître gims]
venez me voir, j’ai des news et des doses dans les picouses
j’ai jamais retourné ma blouse, ma glouse, ma canada goose
allume ton putain d’bluetooth, quand j’arrive ils toussent tous
retire tes shoes de la pelouse, cette pelouse m’a coûté du flouze
ça prend du temps ce que je vise, donc laisse-moi tiser la tisane
et faire partie de la nasa, avec le cerveau de reese
regarde ce qu’ils disent de gims, lunettes noires, déguis-m-nt
made in bériz, flirt avec le fisc
me-gui : un putain d’candidat sans même avoir lu “candide”
t’as même pas besoin qu’on t’aide, mais certains gens veulent te dead
je me présente, j’suis la ligue de-spee comme for speed need
oui, faire du flow c’est mon dada, bienvenue sur la terre du middle
c’est pour les sous-doués qui croivent qu’on dit “croivent”
et qui écrivent “orthographe” avec un “f”
autant écouter djorkaeff, ou s’payer un kfc
meuguiwara no l’fléau, qu’est-ce que j’ai pas aif’ ?
c’est maître gims, pas du pascal obispo
ferme-là cinq minutes, guette un peu comment qu’il s’pose
j’suis toujours dispo, pour tous ceux qu’en disent trop
sé-po au pied d’un bistrot, des tofs avec la lice-po
ça part en couille pour moult raisons, quelques sons taffés sur reason
normalisé que ça raisonne, tu peux poser : j’l’autorise
puisse mon son te vaporiser, la rythmique te martyriser
oui, le diable t’apprivoise avec la gueule de mère térésa
tu m’as vu sortir des ronces, pendant qu’les autres sortaient du rang
t’sais pour les p’t-ts j’suis un pokemon, ou un d’ces putain d’power rangers
genre : “maitre gims : t’es fort, j’me rends”, j’le savais déjà, espèce de con !
j’ai bien -n-lysé tes rangs, il n’y avait que des forgerons
ok, y’a quoi d’feu-ne depuis “fais tes valises” ?
la croisette, ibiza : do you speak spanish ?
marlich la mif’, oh pas d’panique
c’est trop bériz, au mcdo de guéliz
syler à mes côtés qui m’demande comment pas flopper
ça a l’air compliqué, pour moi ça demande un bic, une illeu-feu
l’salaire : je l’ai claqué comme on claque une clope à clicli
sa mère, s-xion d’-ssaut vénère comme le système solaire
j’manie malement les mots depuis l’époque de eminem
“many men”, baby men, j’kicke, j’suis un phénomène
j’opère à l’opinel, j’suis un criminel
[drr drr] oh… rappelle-moi, j’suis dans l’tunnel

[refrain – maître gims]
wesh, quoi d’neuf depuis “là j’suis pas ienb’ ” ?
pourquoi nager là où t’as pas ied-p’ ?
violent comme les str-ss et les paillettes
ça fait plus d’deux semaines qu’on t’a pas yèp’
“vortex” incrusté sur la ste-vé
dur comme graille la thune des intérêts
y’a deux ans, on nous disait enterrés
un million d’cd !

[couplet 5 – orelsan]
t’aurais pas dû cliquer, t’es pris dans l’illusion du sharingan
j’m’introduis comme un slasher dans une émission familiale
#jackiechan, j’pratique la technique de l’homme saoul
j’leur donne envie d’balancer tous leur textes à la poubelle après trois syllabes
j’suis w-lly wonka, ta place de concert cache un ticket d’or
j’veux dire si t’es bonne, ma chambre d’hôtel va t’ouvrir ses portes
j’ai dit “si t’es bonne”, la vérité c’est : “si t’es dans la moyenne”
t’façon c’est même pas vraiment moi qui choisis, c’est jack daniel
j’étudie machiavel : il rappe pareil
j’donne naissance à des mini-moi, vas-y p-sse la ‘teille
avec shin sekai, “nouveau monde”, qu’ils s’effacent sous nos ongles
l’avenir est à nous : sors ton agenda, mets tout nos noms
j’ai des ennemis qui veulent me faire la gueule de quasimodo
si j’les croise, j’leur dirai : “j’ai des lunettes, vas-y mollo”
j’écrirai des chansons tristes une fois qu’j’serai parti d’l’hosto
en résumé : tu peux rien faire, j’irai finir ma vie au chaud
avec mes yens, j’suis dans un bordel j-ponais
rallongez l’éch-lle, vite ! j’arrive à mon apogée
gims sait très bien qui a voulu nous saboter
j’suis pas rancunier : dis-leur de garder la monnaie
tu racontes pas des vérités, tu fais rimer des ragots
t’es bon qu’à réciter les mêmes clichés qu’les piliers du balto
les rappeurs approchent la quarantaine, veulent exciter les ados
j’en ai rien à foutre de leur musique de vieux ringards démagos
tu sens les turbulences dans la descente ?
est-ce que ton dealer -ssure le service après vente ?
orelsan, c-sseurs-flowters : tu sais qui j’représente
d’ailleurs, j’retourne en studio : j’veux que notre album sorte en septembre



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