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guizmo - freestyle générations 05/10/2011 lyrics

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[couplet 1]
j’en ai rien a foutre de c’qu’ils pensent de moi, j’bouge en silence
dans des douces ambiances et j’doute en priant le soir
et tous les dits-ban se marrent quand un flic crêve
quand ta street créd’ est validée, quand t’as pris le pez
ouais le business et l’amitié dans nos big tess
ont vite aif’ de nous lâcher ou de s’cacher dans nos cris de guerre
fâcher dans nos vie ternes
soigné par ocb, quand nos cv ne sont pas cl-ssés dans vos critères
alors j’ai blindé l’spliff et j’vais pas plaindre les flics
parce que j’suis toujours dans l’lot quand ils épinglent l’équipe
et puis j’suis simple et vif, toujours chaud pour fliguer l’beat
parce que le rap et moi on se suit un peu comme 5 et 6
que des intrépides dans les yeux de ma bande
tu peux voir de la rage car on est traité comme des imbéciles
ou des singes des villes et c’est pire quand les oints-j défilent
le destin est gris et c’est jamais comme la fin des films
et j’suis indécis, j’investis dans l’éphémère
j’vois trop d’messi et d’prestige dans les ténèbres
méprisant et vénér j’vous avais prévenu que mes écris m’renderait célèbre
mais c’est la même rengaine, à gratter des phases
obligé d’ramener mes gars et causer grave des dégâts
mais qu’est-ce tu veux malheureus-m-nt nos vies c’est a-ç
trop souvent on s’fait péter et l’commis d’office est naze
meuf, taff, keuf, ça nous prend la tête
plonger dans nos soucis y’a que le teuchi qui nous tend la perche

[couplet 2]
j’rappe des dingueries quand j’ai tisé, pas d’lingeries dans les clips
j’parle des indic et des kisdés, flingueries dans les streets
j’ai xxx moi qu’ils viennent y’a un chèque à prendre
on mène la danse, baise la france mais ça s’fait attendre
là y’a des textes à vendre, des bêtes d’afghan
et si tu penses à me ken d’avance, j’t’-ssure que j’te pète ta jambe
jette ta flambe, fais attention
qu’est ce t’attends pour t’mettre ça dans l’fion ?
pendant que j’tté-gra l’sample, moi j’suis un méga-cancre
mais archi user, quand j’suis partir fumer, j’dois gérer mes absences
mes pét-sses tentent d’être à temps pour m’ajouter sur face
j’t’ai pas attends deux secondes et tu vas bouffer du s-xe b-tch
j’groove et j’suis technique qu’est ce tu croyais ?
mec j’suis faya, en manque de moyen on reste loyaux
a nos spliffs, à nos bières, j’atomise ma pauvre tête
vaporise l’atmosphère, bande d’enfoirés

[couplet 3]
que des dingueries lyricales dans mes textes
qui bicravent dans les tess
tous les mecs en chiens, ouais qui finissent mal dans les hèbs
irritables en détresse
ça fait grave longtemps faut que j’marque mon temps
que j’lâche mon chanvre mais j’aime voir la tise et le hasch se combiner
mec ça m’attriste de voir mon cas se compliquer
mes cailles se font fliqués
nique la bac, qu’ils s’arrachent
c’est pas demain que les cht’ars me feront flipper
comme cette garde à v’ avec kas et les autres
questionnés par l’opj parce qu’on a c-ssé des os
les ‘t-sses et les faux, les schl-ss et les fauves
ça fait péter les plombs comme mes phases et mes flow, ouais
viens dans nos fêtes dansantes, c’est pas du french cancan
y’a que des mecs en sang qui ken l’ambiance, cousin
ouais c’est guiz, xxx xxx
ici l’quotidien bah c’est biz, drogue et t-sse-pé

[couplet 4]
j’marche avec les xxx
t’as compris, ma barrette j’effrite
la bac elle est speed, ça se complique, la son-pri
sous mon couvre-chef, j’suis un trouble-fête
a bon prix ça combine dans les fours de tess
ou devrais-je dire quartiers difficiles parqués loin tout
par l’génie civil, ça fait 15 tours
je crois bien que le truc c’est ça
c’est incessant et puis la rue c’est grave
dès 15-16 ans nous on va se buter le crâne
me parle pas de travailler, j’me l-sse pas de batailler
mais j’craque rien que de voir tous ces lascars se pavaner
comme si ils avaient des affaires
a l’école on les voyait faire la fête
et on les rackettait sa mère
j’ai toujours marché près de la tess
et ça les vrais l’attestent
caravelle, villeneuve
si tu veux p-sser faire de la fraîche
moi je suis cramé c’est la merde
mais j’vais pas baisser la tête
on va m’caresser la verge
puis j’vais me barrer vers la mer
avec ma bières et ma cigarette de cannabis
pour rester calme quand les p’t-tes tapettes me baratinent
la zik, la tess me paralyse
nique sa race, nous on vise la li-sse
et que les types atteignent le paradis
si j’ramène le bacardi, paie ta conso
nous on fait ça pour de vrai les autres gangsta sont faux
et puis j’suis fonce-dé, alors je squatte sur le canapé
biatch à peine j’te doigte tu veux pas m’lâcher
fissa, j’écris des phases tu peux pas capter
xxx, si t’es trop naze tu peux pas clasher
et j’écris ça dans un élan de colère
parce qu’on veut défendre nos frères et puis détendre nos nerfs
elles sont stressantes nos guerres
et tu l’sait qu’elle sont stressantes nos guerres

[couplet 5]
dans mes poumons pas de crack, et pas de trac quand je rap le diez
je suis trop fort sans t’en rendre compte tu backs le 16
guizmo vous déstresse comme un patch à la nicotine
j’enchaine les spliffs et je fréquente des filles coquines
on prend du bon temps puis elles pensent qu’elles sont mes pet-tes copines
mais la séparation est brutale à la steve austin
j’ai pas d’attache, pas à pas, je m’accapare ce qui me revient de droit
je deviens le roi, le king sale bâtard
et pour tous ceux qui voulaient me voir perdre
me rouler par terre et bien bouffez ma verge
trop de gens te sourient mais cachent un bête de vice
donc nique la mère à tous les traîtres c’est une belle devise
et les meufs qui fréquentent trop de mecs, écoutent pas ce qu’elles te disent
car un jour l’un d’eux débarque et en pleine tête te vise
et je n’écris que de la bombe car je respecte les beats
moi je fais pas la quête du graal je fais la quête des biffs
ouais d’après toi tu flambes tu fais le mec t’es street
arrête ton baratin tout le monde sait que tu ken des pet-ts
et aucun stress dans ma voix quand je parle de rue
comment te dire, à villeneuve c’est un bail de ruse
aucun mec va te vir-ser si t’as une race de stup
et si tu cherches comme il faut tu trouves des armes russes
j’ai de l’amour pour le rap les grogn-sses et la bonne bouffe
un beat avec al, un gros niaks et c’est trop smooth
parle en cash ou ferme la, cesse de faire le mac
si à la vue de mes frèrots blacks tu commences à perdre le cap
si y’a pas de sh-t on fait comment ? on fait pas
devant les schmits ? on sait pas
si y’a embrouille dans l’équipe ? on s’sépare
et c’est comme ça depuis des l-stres, quand je rappes, tu dégustes
j’en ai allumé des gus ce que j’ai dans le fut les dépucelle
merde paname c’est soul calibur, pour 1 gramme et on t’shoot la figure
caraibos et flash de rhum vas-y goûtes la mixture
et trouve moi à pé-ra avec un groupe d’amis sûr
je lâche pas le steak j’ai trop de phases par texte
y’a rien de tout noir ou tout blanc donc y a pas d’apartheid
je vous avais prévenu z’avez pas voulu m’écouter
là je vous jure que vos flows finiront tous nus découpés, dans une ruelle sombre
je fais fuser le son mais marche pas sur mes traces car le trajet est truffé de plombs
et j’en vois de toutes les couleurs comme léonard de vinci
je me laisse pas devancer par les porteurs de l’insigne
nan, je suis plus malin que tous ces porcs de merde
y’a des odeurs de cake, ça sent la pomme de terre
putain, pas la peine d’amadouer marianne
devant ma haine elle est aveugle comme amadou et mariam
là j’en place une pour mes frérots de pologne
tu nous verra jamais faire l’aumône car nos mères font des bonshommes
ouais un 16 de rage, un tacle à la gattuso
a valenton ça taff les pecs demande à mes gars du zoo
on a que nos plumes et nos nerfs
a cause de vous ont fait pleurer nos mères
en plus de te mettre à l’amende je connais mes cl-ssiques
c’est magique dit ce que tu veux guizmo c’est tout sauf basique
j’ai grandi sans écus, avec des gens déçus
dans les zup, chanvre et stup’ coffrés dans les futs
tu connais l’truc, la street et ses aléas
la vie et ses allées crades
même quand j’suis paumé j’lutte
j’suis comme un gros jet d’pue
impatient que ça pète, sympa tant que j’la baise
un battant d’la tess en beau vêt-sur
un flow très pur, guiz’ est dans la place
t’as beau prier quand ça s’tape, on va t’niquer devant ta xxx
t’as peut-être vu mes gars, dealer devant ta fac
piller dans ta raque-ba, j’peux pas tizer sans qu’ça s’tape
et j’rapplique si t’as proposé l’cash
roule un gros cone j’bédave avec morphose et nas
et vas-y va t’faire foutre, ici y’a pas d’mecs cools
et c’est qu’après l’coup que j’me dis qu’il fallait pas taper c’boug
la rue, l’deal, fréro tout ça c’est naze
j’me dit qu’c’est éphemère comme les beaux jours à bédave



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