gulien - syndrome a.n lyrics
[couplet 1]
j’m’auto f-ck depuis des années, et ça m’fait bader
j’ai dans l’sang un syndrome qui m’pousse à détaler
j’m’écrase devant l’danger depuis qu’j’possède un a.d.n
et affronter la vie ça m’fait trembler, remballe ton tas d’bn
j’suis pas comme tous ces faux rappeurs, j’apporte la vérité
j’m’efforce de piétiner tous ces orateurs
“remballe tes pétages de plombs ! “, là j’me parle à moi-même
“t’aurais pu moins chier dans la colle, avoir au moins la moyenne !”
p-sse mon son dans ta chambre si ton but est d’être positif
gulien est expert en souffrance auditive
j’espère être prolifique, mais c’est l’ego qui parle
j’me fais fourrer par le syndrome de l’auto-niquage !
y’a pas d’définition à part malédiction
le genre de maladie qui t’cut les jambes et t’laisse en perdition
confession intimes, mon stylo est mon psychologue
le cerveau en mille morceaux, j’les ram-sse puis recolle b-tch !
[refrain]
poto, un type comme moi t’imagines pas le topo qu’il cache
j’ai trop d’images qui m’font peur comme un taureau qui charge
j’vois toujours rouge pour la suite, c’est trop bizarre
j’suis victime du syndrome de l’auto-niquage
un type comme moi t’imagines pas le topo qu’il cache
j’ai trop d’images qui m’font peur comme un taureau qui charge
j’vois toujours rouge pour la suite, c’est trop bizarre
j’suis victime du syndrome de l’auto-niquage
[couplet 2]
entre la dépression et le handicap moteur
les symptômes se manifestent dans l’enfance, mets-toi dans l’ambiance
un gosse perdu, sans carte du maraudeur
et tu t’étonnes que de temps en temps j’rentre en transe ?
j’voulais baiser tu n’as pas idée, fourrer des putes comme hallyday
et puis j’me suis venu dessus quand elle m’a câliné
j’fais des rêves s-xuels quand j’m’-ssoupis la nuit
ma bite quand elle bande bat l’marsupilami
j’préfère mes érections solitaires aux interactions sociales
j’voudrais jeter dans l’fossé mes pensées maussades
j’suis pas dans l’rap pour me pavaner
invite-moi à l’open mic, j’trouverai cinquante mille raisons de n’pas y aller
tous mes traumatismes me rendent irritable
j’suis un mix entre virulence et acrobaties lyricales
maillet tendu dans l’pentalon, la poudre est dans le canon
j’mate des films de cul sur ma télé, l’amour est dans l’salon
c’est ma nouvelle merde tout droit sortie du four
mon combat est fake, comme si j’croisais l’fer au puy du fou
j’viens m’épancher, et t’faire un topo
baby, j’déteste autant mes pensées que tes repas photogéniques
ivre mort sur le banc du colysée, alcoolisé
j’suis un pantin sans les fils que la foule a diabolisé
ça m’rend taré, cette pute m’a rembarré
car j’suis un type qu’on marie, mais pas qu’on suce en soirée b-tch !
[refrain]
poto, un type comme moi t’imagines pas le topo qu’il cache
j’ai trop d’images qui m’font peur comme un taureau qui charge
j’vois toujours rouge pour la suite, c’est trop bizarre
j’suis victime du syndrome de l’auto-niquage
un type comme moi t’imagines pas le topo qu’il cache
j’ai trop d’images qui m’font peur comme un taureau qui charge
j’vois toujours rouge pour la suite, c’est trop bizarre
j’suis victime du syndrome de l’auto-niquage
j’suis la merde dans l’bol de chocolat, la chenille morte dans chrysalide
le choix du sky face à la cristaline
la maladie m’-ssaille de part en part
impossible de bouger mon derche à part de bar en bar
j’suis la mauvaise blague dans l’dernier carambar, j’te laisse un goût amer
ça t’rend mal, comme certains repas préparés par ma mère
tes poings en or t’protégeront pas du croque-mitaine
je m’ennuis donc j’m’enivre lors de mornes soirs d’hiver
j’veux une femme pas un monstre à moitié à poil dans l’club
gulien, l’incarnation humaine de la voix de young thug
à quoi ça sert qu’j’rappe, t’écouteras même pas les trois quarts
à quatre ans, j’ai failli m’noyer avec mes br-ssards
j’étais nain et j’avais soif d’être grand
maintenant une ligne nous sépare tellement qu’tu peux même voir l’segment
le cul collé sur un banc, le pus coulant sur un mouchoir
il fût un temps où c’foutoir fût éreintant
mais j’m’habitue à mon état d’esprit d’merde
dégoûté par ces vipères, n’écoutez pas mes chimères
j’ai un syndrome coulant dans les veines qui m’empêche d’avancer
dorénavant j’écoute du blues et j’encule le rap français
aucun savant n’y a pensé avant moi, seringue de son sans l’avant bras
j’rentre en studio tenter des attentas
pas d’allégresse, j’ai même plus envie d’rapper
même si ma détresse s’évalue en pile de papier
[refrain]
poto, un type comme moi t’imagines pas le topo qu’il cache
j’ai trop d’images qui m’font peur comme un taureau qui charge
j’vois toujours rouge pour la suite, c’est trop bizarre
j’suis victime du syndrome de l’auto-niquage
un type comme moi t’imagines pas le topo qu’il cache
j’ai trop d’images qui m’font peur comme un taureau qui charge
j’vois toujours rouge pour la suite, c’est trop bizarre
j’suis victime du syndrome de l’auto-niquage
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