hotel paradisio - insomnia lyrics
[paroles de “insomnia”]
[refrain]
cinq heures du mat’, j’ai pas sommeil, demande pas, c’est personnel
j’pense à elle toute la semaine, j’ferme l’œil quand jour se lève
l’impression que j’décolle plus comme si t’étais mon kérosène
et depuis qu’on s’est vus, j’ai bien compris qu’j’suis plus le même
cinq heures du mat’, j’ai pas sommeil, demande pas, c’est personnel
j’pense à elle toute la sеmaine, j’ferme l’œil quand jour sе lève
l’impression que j’décolle plus comme si t’étais mon kérosène
et depuis qu’on s’est vus, j’ai bien compris qu’j’suis plus le même
[couplet 1]
j’ai marché sur tes terres comme si j’étais un soldat
tu m’regardais déjà alors qu’j’étais insolvable
j’ai porté ton amour, je serai jugé pour port d’arme
moi, j’ai ce loup en moi qu’on voit dans les reportages
[pont]
et pour toi, j’leur ferai du mal, oui, du mal
désolé si, des fois, j’rentre tard
j’ai des démons dans ma tête qui m’veulent du mal
et puis, même quand j’ai tort, t’es sur ma side
popstar, pas la vie d’une popstar
mais juste un petit film avec un peu de popcorn
c’est toi qui te réjouis quand je marque des touchdowns
c’est toi qui m’appréciais quand j’étais juste random
[couplet 2]
si l’amour donne des ailes, j’les prendrais bien pour être ton ange
j’t’ai promis un palais quand on marchait dans l’marécage
t’as vu de l’or en moi quand j’y voyais un rêve étrange
t’as toujours cru en moi quand, sur la route, j’manquais d’essence
grand nouvel appart’ et j’vois tes yeux qui scintillent
donne+moi tous tes doutes et je les casse comme brindille
mon prénom sur les pages de ton journal intime
j’t’emmène à tokyo, à l.a et aux antilles
j’dors sous tes paupières comme un loup dans la neige
j’rêve toutes ces horreurs car j’ai peur de te perdre
prêt à les brusquer pour te donner c’que t’aimes
prêt, j’suis embusqué, pour te donner ses rêves
[refrain]
cinq heures du mat’, j’ai pas sommeil, demande pas, c’est personnel
j’pense à elle toute la semaine, j’ferme l’œil quand jour se lève
l’impression que j’décolle plus comme si t’étais mon kérosène
et depuis qu’on s’est vus, j’ai bien compris qu’j’suis plus le même
cinq heures du mat’, j’ai pas sommeil, demande pas, c’est personnel
j’pense à elle toute la semaine, j’ferme l’œil quand jour se lève
l’impression que j’décolle plus comme si t’étais mon kérosène
et depuis qu’on s’est vus, j’ai bien compris qu’j’suis plus le même
[outro]
et pour toi, j’leur ferai du mal, oui, du mal
désolé si, des fois, j’rentre tard
j’ai des démons dans ma tête qui m’veulent du mal
et puis, même quand j’ai tort, t’es sur ma side
popstar, pas la vie d’une popstar
mais juste un petit film avec un peu de popcorn
c’est toi qui te réjouis quand je marque des touchdowns
c’est toi qui m’appréciais quand j’étais juste random
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