hugo tsr - la ligne verte lyrics
[prod. par char le gouffre]
[intro]
– ca va, tu tiens le coup ?
– pas trop mal pour quelqu’un qui p-sse des lames de rasoirs
[couplet 1]
colère ou fatigue, j’ai enchaîné les faux départs
paris c’est trop lère-ga, c’est pas pour la ligne que j’saute des repas
la tête sous l’eau dans l’étau on a les crocs mais on tend pas la main
rentre pas dans l’four tu vas t’faire gonfler comme de la pâte à pain
blindée de contrôleurs comme les couloirs d’la 4
ici le péché s’achète, en menu ou à la carte
pas de solutions à tout, des professeurs à bout
dites moi les mecs, quelle est votre profession ? “aouu”
en 2 temps 3 mouvements, pour un cachet tu changes de camp
t’es comme les putes et les platanes, t’es fait pour qu’on rentre dedans
y a qu’les grands bâtards qu’accourent, j’envie les campagnards
tellement d’bananes, j’suis à bout faut qu’j’me tatoue le plan de panam
j’attends la fin, tellement en chien, il faut qu’j’arrête ils vont m’piquer
j’rigole quand ça va mal et j’me confie à mon briquet
ma ligne est verte, j’amène du flow rap métronome
encore un son qui sort du lot signé hugo, un mec hors normes
[refrain]
du printemps à l’hiver, la mort fait des ristournes
la ligne verte, quelques mesures grattées au fond d’la ligne 12
la ligne verte, on n’est pas tous tarés mais c’est pratiquement ça
la ligne verte, on pousse en intérieur dans des bâtiments sales
[couplet 2]
dans le quartier ils font que s’taper, ils veulent palper
bande de tar-tés, le d4 c’est pas l’format d’une feuille de papier
ils foncent dans le mur comme ayrton, après l’argent des vrais tox
ils t’rétorquent que braquer c’est pas grave si c’est des air soft
le rap ils y croient plus, en plus la cité embauche
ils critiquent les capitalistes on est les même mais en pauvres
alors j’m’isole, j’évite la banquette j’préfère les strapontins
deuspi comme un go fast, j’fais des sauts d’rails si j’rate mon train
tous ignorants on nous dit rien donc on emmerde le maire
en quoi c’est des infos ? jean pierre pernot nous parle du miel de brest
pris pour des cons, confession intime toute une histoire
je me sens visé comme la mouche dessinée dans l’urinoir
mon territoire décrit sur une prod de charutos
peut-être qu’un jour tu m’comprendras, mais il faut que t’ailles jusqu’à l’outro
le terminus, porte de la chapelle, où on vend d’l’herbe qui tue
aucune cert-tude, j’enchaîne les verres, dès mon réveil j’t-tube
[refrain : x2]
du printemps à l’hiver, la mort fait des ristournes
la ligne verte, quelques mesures grattées au fond d’la ligne 12
la ligne verte, on n’est pas tous tarés mais c’est pratiquement ça
la ligne verte, on pousse en intérieur dans des bâtiments sales
[outro]
c’est comme si j’avais des bouts de verre dans ma tête, tout le temps
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