hugo tsr – on recommence lyrics
[paroles de “on recommence”]
[intro]
la vache !
avec les épaules, juste au+dessus des poignets, donc on appuie aussi avec la pulpe des doigts
ça va, ça ? on reste quatre, cinq secondes et on remonte les pieds, pieds impeccable !
et on déroule vertèbre après vertèbre, et on recommence
[refrain]
une soirée d’plus qui est passée et on recommence
on s’tape des barres, on cache des larmes et on recommence
promis, lui, c’est l’dernier et on recommence
jour après jour, on creuse l’écart et on recommence
une année d’plus qui est passée et on recommence
on s’tape des barres, on cache des larmes et on recommence
promis, lui, c’est l’dernier et on recommence
un été d’plus, on r’prend la route et on recommence
[couplet unique]
j’suis pas venu m’faire des potes ou des gows, juste pour la fiesta (non, non)
asocial, pas d’story, pas d’coup d’tél’, pas d’facetime
entrée sale, tout l’milieu me déteste quand j’fais ça, j’arrive dans la salle et j’crache du feu sans faire dans l’spectacle (ah ouais)
sans faire dans l’détail, c’est le modus operandi, pas besoin de faire l’bandit
l’argent des skeud, on le perd en tise
bar légendaire, on bouge à dix, c’est toujours pour la team
rap bourratif et on recommence car la scène nous attire
le son reste fort même si c’est plus l’époque des coupoles, ça reste addictif, plus que les graffitis en sous+sol
tendance atypique, ouais, ça s’immisce, même tout seul
t’inquiète, partout où j’suis, j’retrouve le nord sans boussole
j’rigole pendant l’serrage, j’suis toujours en r’pérage, mental d’un psychopathe comme un go fast quand il rentre dans l’péage
s’ils m’abattent, j’pourrais finir “cause d’une émeute”
pilon noir, gyrophare, j’évolue dans une fumée bleue
titre après titre, ça s’précise, j’apprécie la belle ‘sique
j’suis toujours au bunker (paris 18), j’suis sur ma presqu’île
en toute saison et dans mes sons, j’me parle à moi (à moi, à moi)
sous pression comme bruce willis dans die hard 3
et on recommence (et on recommence), des lundis durs après des bons dimanches
à chaque élections, y a des promesses, mais y a qu’les noms qui changent
faut qu’on s’remonte les manches, y a plus rien qu’on commande
on s’range, on plonge et on recommence
(on plonge)
(on plonge)
[pont]
s’ils m’abattent, j’pourrais finir “cause d’une émeute”
on s’range, on r’plonge et on recommence
[refrain]
une soirée d’plus qui est passée et on recommence
on s’tape des barres, on cache des larmes et on recommence
promis, lui, c’est l’dernier et on recommence
jour après jour, on creuse l’écart et on recommence
une année d’plus qui est passée et on recommence
on s’tape des barres, on cache des larmes et on recommence
promis, lui, c’est l’dernier et on recommence
un été d’plus, on r’prend la route et on recommence
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