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hugo tsr – solution piranha lyrics

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[paroles de “solution piranha”]

[couplet 1]
toujours là, profitons+en, j’ai ni tes rêves, ni ton temps
allez, va prendre ton guronsan, t’es cuit, on l’sent, essuie ton sang
aucun bon sens, les pigeons meurent sur l’même dégueulis
pour retrouver mes rêves j’crois qu’il faudrait mulder et scully
j’peux arriver en guenilles (ah ouais)
rien d’neuf au quotidien, on s’tient wd+40 pas pour les portes qui grincent
j’ai l’artillerie, sale caractère, faut s’coucher tard pour m’voir à terrе
comme dans the machinist, j’perds du poids, parfois, la têtе
aucun secours, perdu dans le désert ou en mer
j’vous emmerde, que les donneurs de coups en traître se foutent en l’air
douze tempête, les pieds dans les starting+blocks
frappe de brute, j’casse le but, pas de ces nouvelles stars qui popent
ce s’ra dur de r’partir propre, dans tous les sens, ça tire
pardonnez+nous, démonstratif quand nos démons s’activent
raconte ta vie, jamais on m’a imposé d’trêve
bien trop sévère, moi, quand j’arrive, c’est plus bruyant qu’un pot d’cr ou un bruit carabine
c’est du besson, c’est pas les canaries
ça s’défonce au cannabis, j’écoute mes sons sur c+n+l crime
pendant qu’j’les vois partir, modèle de darwin
j’fais d’l’arthrite parce que j’traîne des pieds comme olivia ruiz
les années ont modifié l’endroit, mais pas l’type
insolent et basique, j’suis là, dans l’noir, sur les affiches
plus d’passionnés, on cherche plus rien à part la faille
ça rafale, génération empoisonnée comme arafat
je sais même plus si j’la déteste ou si j’adore cette ville
classeur série, pour réussir, ils font d’la sorcellerie (ah ouais)
j’ai l’temps de gratter un texte pendant qu’ils refont leur couette (hé)
dans l’chargeur, il y a des balles, j’ai passé l’âge de faire des lasers quest
tous faignants, quoi qu’tu demandes, toujours, c’est “nan”
moi, les mc, j’les apprécie bleu ou saignant
ici, y a pas d’césar, crâne rasé, mais pas d’alopécie
des affaires à blanchir comme la daronne quand elle part au pressing
“allô, c’est qui ?” (allô, c’est qui ?)
c’est évident, jamais on cohabite, on s’évite comme roms et gitans
c’est piquant, des prods qui tapent, du rap qui sonne
au bord du c+n+l de l’ourcq pas d’la piscine du radisson
[refrain]
j’les regarde se dissoudre, solution piranha
la journée, j’suis quelque part ailleurs, c’est encore pire la night
solution piranha, tremper tout c’qui passe
un bain d’acide pour ces pensées, celles qui nous quittent pas
j’les regarde se dissoudre, solution piranha
la journée, j’suis quelque part ailleurs, c’est encore pire la night
solution piranha, tremper tout c’qui passe
un bain d’acide pour ces pensées, celles qui nous quittent pas

[couplet 2]
j’aime bien l’automne, mais j’préfère l’hiver (ah ouais)
c’était y a deux minutes, mais j’m’en souviens comme si c’était hier
par ici, pas d’respect, j’entends les p’tits parler de c
moi, j’ai mieux à faire, comme un voleur qui part pas l’été
ils vont ter+sau, ils ont pas pris leurs vitamines
j’garde la raison pas comme les autres, sur les réseaux, ils mettent leur vie d’famille
sur l’tapis, peu d’adversaires, j’me sens un peu seul au casse+pipe
grappling, j’les transforme en bretzel
excès d’zèle, on casse des portes comme les équipes du psig (pawh pawh)
trop d’efforts inutiles, je pourrais être le psy du psy
je crois ça va mieux, mais j’suis encore très pâle
porc très sale, ils paient pour mettre des marques, tu paierais, je les port’rais pas
pas très grave, on vient tranquille et ils courent vite comme sonic
pas des hommes solides, pas de magie que des illusionnistes
obsédés comme des puceaux, quand j’rappe, des plumes sautent
là j’m’allonge et j’fais semblant d’être mort comme au début d’saw
un monde dans la tourmente, tant mieux si t’es pas trop gourmand
allô, la banque ? (allô ?)
j’voudrais m’faire des pattes à l’eau courante
pour les rois sans couronne, j’aurai pas les honneurs
regarde comment ça évolue, chanson d’coluche chantées par des voleurs
plongé dans l’acide, te+ma ces pauvres types
j’ai fait trop d’expériences, c’est plus du rap français, c’est wall street
j’les mange en un coup, j’recrache que les arêtes
t’façon, ils s’ressemblent tous, comme les paquets de cigarettes



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