jul - j'suis pas parti lyrics
[paroles de “j’suis pas parti”]
[couplet unique]
j’suis pas d’retour, j’suis pas parti, dieu merci, j’suis pas par terre
mode déter’ d’mardi à mardi, la routine, tu la connais par cœur
le poto, il est sous gris montaigne, te dit qu’elle veut s’faire monter dans la montagne
il m’dit qu’c’est une fille fontaine, elle envoie des gros nudes sur son phone+tél’
tu as rien fait, tu fais l’mec wanted, ça fait des temps pleins dans l’vent, souffle une tempête
j’te fais que du bien, que tu parles en traître, s’font des films quand elles parlent entre elles
y a ceux qui doivent, y a ceux boivent, hein, y a les soss’, y a ceux qui sucent
y a ceux qui parlent, y a ceux qui font, y a ceux qui donnent, y a ceux qui s’font donner
y a ceux qui la vendent, y a ceux qui la prennent, ouais, ouais
là, j’ai écrit toute l’après+m’, ouais, ouais
tu as grandis, tu as pu d’la graine, ouais, ouais
tu fumes du [?], tu crois qu’c’est la crème, ouais, que je vais te crims comme des balles dans le crâne
faut pas d’salopes dans le groupe, faut pas de mecs qui broutent
on les braque, mes potos volent la breit’
à un prix, pas de brume, ils aiment les blondes et les brunes
finir dans les bacs avec dans les poches le bac’
quand je fume trop, je bug, j’en ai marre d’me rouler des pét’
on me dit qu’c’était une cochonne et que toi, tu lui as roulé des pelles
[j’pense ?] ceux qui ont couteau parce quand ils s’battent, ils déboîtent l’épaule
toi, tu tires des boules et j’parle pas de pétanque
et fais gaffe, le mardi, ils viennent à six heures pétantes
dans ma tête, c’est la guerre et toi, tu m’parles détente
si il m’cherche, j’le calcule pas après, il va m’ramener ses tantes
j’crois qu’j’suis en fumette, j’vois un schmitt en cheval et j’ai un pochon dans la cheville
ce coup’ a plus d’cinq cent chevaux, ta miss veut qu’tu la tires par les cheveux
x+adv plaqué deux b, hum, quarante ans, tu es toujours à pied
tu sais même pas faire tes papiers, tu es plein, fais tirer deux b, hum
appel manqué sur ton téléphone et ta copine croît qu’tu vois des folles
que je délire, là, j’suis qu’avec des fous, j’peux m’arrêter normal, ouais, parler avec des fans
tu m’verras pas venir comme le retour de flammes, même d’aller acheter le pain, moi, j’ai la flemme
à l’ancienne, ça bandait en flamme, sept heures du mat’, ouais, que ça plante
j’bois du perrier, là, j’suis sérieux et j’fais pas rien les jours fériés
j’suis devant le mic’ en mode guerrier, j’me demande vraiment si j’suis un terrien
est+ce qu’ils sortent le machin pour moi ou juste parce qu’ils m’aiment bien ?
est+ce qu’il t’tue ou parce qu’il rappe ou parce qu’il lève bien ?
de bon matin : un pétard, céréales, j’peux te dire que c’est réel
m+rs+ille c’est pas hollywood, les gadjis se prennent pour les sœurs halliwell
[outro]
hun, wouh, wouh, wouh
wouh, wouh, wouh
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