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jul - lacrizeotiek lyrics

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je trouve pas le sommeil, je trouve pas le sommeil
à marrakech en vespa, star ou pas
j’arrive en short là où les gens ne s’y attendent même pas

ils peuvent me c-sser mais gros moi ça n’m’atteint pas
tu peux m’effacer d’ta life t’façon j’t’aime pas
ça craint pas, tu fais l’sympa, le mec qui bouge sur l’tempo
tu rêves pas, en concert j’fais trembler les murs comme tong pô
beaucoup d’mal à tolérer poto t’as trahi le sang
j’suis pas trop bien j’vais m’aérer, j’ai trop d’alcool dans l’sang
tu m’aimes pas j’deviens célèbre, trop d’mc sur la sellette
j’pense à mon pote en taule j’ai l’sourire quand j’relis ses lettres
solo dans ma bulle, j’essayais j’tentais ma chance
mes potos prenaient ton plasma pendant qu’j’rappais dans ma chambre
gros t’es une fausse, un jour j’me lève et j’vois plus dégun
j’voyais leur mère j’étais mal parce que leurs fils jouent avec des guns
avant t’étais à jeun, maintenant faut qu’tu fumes hein
avant t’étais une victime maintenant tu veux conquérir le sud hein
et ma vie putain, qu’est-c’qu’elle est mouvementée, j’suis pas là pour m’vanter
ouvre les yeux pour ton frère quand les siens sont bandés
que j’nique ma santé
j’suis toujours mal j’t’avoue ouais, même quand tu m’vois plaisanter
wesh l’équipe, y’a embrouille descendez
des pet-ts m’critiquent ils ont oublié qui les défendait
avant ça vendait, au tieks ça tirait ça plantait
des tabacs ça tentait, pas cagoulé pas ganté
tu as un problème? viens m’voir n’hésite pas gros
au tieks sur un coup d’tête, ça partait braquer le spar
trop de bâtiments à l’horizon
j’me fais du mal à la vue, un peu comme des murs d’prison
toi tu parles de moi, connais-tu mon vécu?
les gens m’voient comme une star pourtant j’marche sans sécu’
j’arrive en jogging dans les soirées où les gens mettent des cravates
j’arrive bien, j’repars khabat
j’ai vu ton vice pour moi tu n’es qu’un fils de tapin
j’ai envie d’te fouetter tu fais l’mec qu’entend pas quand j’t’appelle
le parcours d’ma vie est rude, faut souffrir mais guérir
crois pas qu’j’me moque de toi gros c’est juste que tu m’fais rire
et toi pourquoi tu m’fais l’parrain? t’es pauvre gros t’es pas riche
j’me sens comme bloqué dans la jungle comme alan parrish
quand y’a un doute y’a plus de doute
j’ai trop pleuré j’ai même plus une goutte
il me reste que la vodka dans la bouteille pour oublier qu’je souffre
on s’aime des fois on s’saoule, j’vis et j’en perds mon souffle
ça s’critique et après ça dit “putain l’équipe faut qu’on s’soude”
marre d’ces conneries, pour partir du quartier qu’est-c’qu’on donnerait pas?
on s’ment à soi-même en disant qu’d’ici on n’partirait pas
on n’s’éviterait pas, on s’trahira jamais pour une gadji qu’on n’connaît pas
mais tout est arrivé, y’a pas d’actes y’a qu’des mots gros à l’arrivée
laisse-moi naviguer, entre bien et mal
putain la vie c’est hardcore comme mettre son ami dans la malle
laisse-moi frérot j’ai mal
j’aimerai tracer droit mais rien qu’je cale
c’est dur de voir qu’on a tous mal
et d’faire les mecs genre on s’régale
je sais qu’on s’aime mais faut qu’on s’aide, qu’on prenne le biz’ et qu’on s’installe
fais pas tomber l’trente de la poche y’a des loups dans la zone
j’ai tellement chaud au cœur qu’on dirait qu’on l’brûle à l’azote
j’suis pas les autres, j’vais pas l’répéter cent fois
tu fais l’mec tout l’temps froid
jusqu’au jour où tu vas t’en prendre une dans le foie
t’es un vaillant mais dans quoi?
tu parles d’nos histoires à tout l’monde mais pour m’le dire t’attends quoi?
que j’pète les plombs? que j’me f-sse enterrer?
que j’devienne dingue comme ce mec qui veut s’jeter d’un pont?
des fois j’rigole cinq minutes après j’ai envie d’pleurer
des fois j’picole des fois j’fume en m’disant qu’est-c’que j’serais?
qu’est-c’que j’ferais, si j’perdais maman
ou si les flics me recherchent putain qu’est-c’que j’ferais?
en manque de sous faut coffrer comme le pet-t dans fresh
déçu des femmes j’dis pas qu’j’avance le cœur sans flèche
dis pas qu’t’es la rue, dis pas qu’t’es l’meilleur
on sait qu’t’es un degun fais pas l’mec qui manie le mitrailleur
posé au tieks j’disais j’irai jamais vivre ailleurs
là faut qu’j’me taille y’a trop d’traîtres qui veulent mes valeurs
haut-les-mains j’te braque, comme vinz’ dans la haine
aime-moi pour c’que j’suis si c’est pour c’que j’ai, pas la peine
et en plus j’ai rien, sur pépé qu’j’ai rien
qu’est-c’que j’ai de mieux, à part être un terrien?
j’vois les mecs au charbon, les gérants visionner l’terrain
les clients viennent et repartent comme les gens dans tes rêves
faire des sous c’est difficile ils t’diront
ôter la vie c’est facile hein en tirant
j’suis au quartier poto les jnoun rodent en teum-teum
les miss m’appellent en masqué m’appatent en m’parlant teub teub
avec mortadons on s’fait la bise du sourcil
les civs apellent la stup ça va lui faire tomber son sursis
des fois avec simo, bizarre nos cœurs se parlent
on aime voir les vrais près d’nous que ça se c-sse ou pas
-ssoc’ ou pas, t’inquiète on suce pas
faut savoir qui ferait un tête pour toi si demain t’as corps sous plâtre
plus rien ne m’épate, on s’plaint de la vie
comme ce mec qui sort de tôle qui veut plus jamais manger de pâtes
un peu comme tupac, envie d’fumer tout l’monde
mais en chien t’avoue pas même si la vie te tourmente
des potos il en reste peu quand ça tourne mal
vas-y seul ils vont s’chauffer arme-toi ils vont être tous mal
j’fume des barres de seum, des fois j’parle tout seul
seuls on s’pèle les couilles l’hiver envie d’faire une virée vers le sun
y’a trop de folles, y’a trop de frères qui doivent sortir de tôle
(je trouve pas le sommeil, je trouve pas le sommeil)



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