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jxjo - 3:13 am lyrics

couplet 1 :

à la fin d’la partie, ouais y’a qui ? celui te nique ta race on l’appelle l’effroi
romance de banlieue, paradoxe. oui dans le quatre-vingts treize l’amour est parti
en manque d’inspi, toute la nuit ? je ne veux pas faire un son qui t’l-sse en 1 mois
l’été fut malheureux, paradoxe. tout ça à cause d’un diplôme qui traceuh ta vie
ça m’fait marrer tous les rappeurs, qui prétendent baiser nos pt-tes sœurs
l’seul mammifère que tu baiseuh, bah negro c’est ton labrador
faut faire le mal pour le bonheur, vol d’autoradio à 2h
ça nous emmène vers la braiseuh, j’parle de l’enfer pas de confort

refrain :

“que dieu nous préserve d’avoir notre bac j’veux pas finir comme twittos au chômage” oui j’ai dis ça y’a au moins 6 mois je n’ai pas eu le bac et tu vois j’ai l’seum
tu ne peux compter que sur toi même, j’ai compris la leçon jusqu’à la prochaine
(j’ai compris la leçon jusqu’à la prochaine)

couplet 2 :

j’suis dans la station-service, j’me sens comme lana del rey (dans video games)
j’ai les souvenirs qui n’existent pas, mon âme est inconsciente qu’elle veut l’apothéose. on t’aime pas comme le réglisse, ça fait augmenter ta peine
oui tous les sam’dis c’est pure de vodka gros, pourquoi tu fais la meuf à t’mettres des grandes doses
j’ai pas d’idée pour cette chanson, j’écris d’manière anarchique
tu sais les soirs d’hiver c’est l’ennui sur aulnay, si tu veux les embrouilles c’est layette dans ta gueule
2/3/4 déflagrations, on aime la pyrotechnique on respecteuh la femme pas comme ce christian grey, est-ce que j’suis un héros comme ce bon vieux peter ?
j’ai des potes qui m’écoutent en australie, mes chansons dép-ssent les ondes de paris
oui t’es juste un freestyleur de soirée, les gardav, les perquiz, tout ça n’est pas ta vie. l’instru est b-n-le et l’ambiance est morose, mais comment se fait-il qu’on est tous atypiques ?
avec tous ces mots je te donneuh névrose, tout ça pour faireuh genre que j’ai beaucoup d’lexique
t’étais à l’affût de la joie, elle t’a vesqui comme le sida
je dis ” tu” mais je parle de moi, j’veux pas montrer qu’ça me sidère
t’as vu la prod est au violon, j’fais ça pour te rendre nostalgique
tu siffones ton liquide violet, on connaît la fin ouais c’est tragique
freestyle au fond de la voiture, les fréquences deviennent parano
on veut finir en cote d’azur, avec disque d’or comme cadeau
vous savez pas faire des cunnis, c-sses pas les couilles deviens lesbienne
ah moi j’préfère carla bruni, que cette conne de marion le pen

refrain :

- jxjo lyrics

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