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kaizen le khan - shamisen lyrics

[couplet 1: kaizen]
le savoir n’est plus, je dégaine katana
après la victoire, un thé matcha
même en surnombre appelez les renforts
le bonheur s’partage telle la fume et l’effort
j’reste dans les temps jusqu’en faire un métier
un métier, que dis+je ? jusqu’à faire de l’argent
il en faut du courage pour du rap engagé
mais j’me suis spé’ pour des gros dégagements
tut ! tut ! fils de pute, c’est l’ia
y’a pas de hasard, algorithmes et des vues
flexe dans l’futur avec armure en beskar
c’est l’mauvais plug, disque dur corrompu
freefall, esp+ce, salam à félix
vulnérable, invincible, j’ai des doutes et les risque
et ceux qui savent pas appellent ça du génie
ce n’est plus du rap, on fait de l’ingénierie

[couplet 2: rouston]
les villes donnent sens à des vies sans, exemple
anne+so, passion: trie les visas
les propagandes ont pris d’autres noms, bfm
plus d’gsm, l’antidote, mais merde
comment vais+je faire pour t’appeler maintenant
à portée de main, je ne vois plus les bains de chair qui m’ont attendu entre deux pubs
peu de poils pubiens interprètent l’inceste
en 4k
drame familial à quatre pattes sur le canap’
tourne et retourne, voilà le script
ganache humaine devant le staff et ça marche, pas d’arguments
des marmots avant la nuit baignent dans le blacked raw
hookup hotshot pour le goûter
celle+ci ressemble à sa nounou
plaisir coupable somme toute
manigance nocturne, gère ton souffle, kiddo
la lumière génère l’attention
lunettes embuées d’ivresse engluée
petit rêve sans duvet
ces messieurs bandent à fond
ont au bassin mon avant+bras et son gueuleton
baise en bande à 11
j’ai des devoirs et en même temps leurs bandes+annonces

[couplet 3: kaizen]
l’image est belle, j’ai les yeux qui dansent
le trou dans l’ozone, c’est pour m’évader
elle me manque toujours quand je quitte la france
elle me saoule un peu mais j’vais la garder
je chante les notes de mes bas instincts
j’ai mal commencé, je changerai la fin
je prends la lumière quitte à devenir fou
ça m’évitera d’tirer dans la foule
holà shaman, mes chakras
sont perdus dans la brume
et bloqués dans le noir
par des yokaïs aux gueules d’anges
ils m’appellent au chaos
ils m’invitent à leur danse
holà shaman, mes chakras
sont perdus dans la brume
et bloqués dans le noir
par des yokaïs aux gueules d’anges
ils m’appellent au chaos
ils m’invitent à leur danse
[couplet 4: ragdull]
420 volts sur la ligne
les membres du gang s’assemblent
la rouille et la douille ça sent
nantis capitaliste, t’auras pas d’avis sans celui de tes potes
y’a pas à dire
on vis une putain d’époque
goûtes amanite pour te faire pardonner
goûte amanite pour te faire adopter
passer l’initiation
transcender limitations
crossover absurde comme lévy à scion
je fais mon safari
imprévisible comme un pastafariste
parfois samaritain, parfois con ça varie
donne à becqueter à ces coqs floqués
bombés comme astérix mais n’ont pas la popo
ici c’est pas le chat qui’p
complot tupac shakur
royaume des sales types, hey
petits humains qui accourent
investiss+m+nt, rente, mallette
patron qui gueule, perte, chiffre, pas net
rentrée, télé manette
dixième canette jus de blé, pas lâcher galette
kalash et machette
le silence s’achète
buter son boss par haine
mycélium, tu parraines
t’as une mixtape askip’
(elle) sonne tel 110 karens
cerveau pété les yeux pleins de rougeurs
on donne la becquée aux rougueurs
petit rappel aux rapaces
petit rappel aux rapaces
[couplet 5: rouston]
nous sommes nos propres fléaux
nos manches on les entaille
pour chaque fois qu’on s’est vu réitérer cet acte, placé là, délibérément
nos vices, les règles, c’est la vie
fait que l’on glisse si l’on ne s’est pas enlisé
la bonté se troque, après l’estoc le râle, on se range ou on déroge
de tes poignées d’amour on forcera les coffres
nitroglycérine en des pots de pleurotes
on saisit les noeuds par l’écorce, apprécies+les mieux
mycélium dds
après l’air avant l’écrit
traques les traîtres, invites+les à s’attabler, on fera chabrot avec leurs larmes
l’été d’un an c’est pour après, advienne qui pourra
l’épopée vire aux drames des séries, trouve ceux qui accepteraient d’être stériles
on aura beau s’éterniser sur notre sort, on reste
trop
notre argot est tel que le printemps d’après en voudra

- kaizen le khan lyrics

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