la prec - vide lyrics
couplet 1 : (brams)
une goutte de sueur sur mon front
une marque de sang sur mes lèvres
c’est un peu mon état en écrivant ces phases
car des pensées s’entassent au coin de mes seize
oue des pensées qui s’étalent, insensées viscérales
intenses elles me tentent mais leur danse est misérable
ça lance et c’est rance pour les masquer j’y mets l’art
en transe elle me chante que ma peine est sidérale
j’aurai du penser avant d’y aller, mais si j’avais pensé j’aurai jamais pu le faire
on veut me duper, je suis jamais du+per
j’ai trop fermé ma gueule je pourrai jamais plus me taire
enflammer mes récits sur un fa, mi, ré, si
la vérité me détruit quand les torts me raisonnent
sans la musique serais+je avec cette fille?
je dormirais seul, sans do, ré, mi, ré, sol
des nuages qui pleuvent, un ange qui se noie
des sourires qui pleurent, des larmes de joie
des flammes en enfer, je dois mourir de froid
mais vivre à moitié c’est mourir deux fois
des nuages qui pleuvent, un ange qui se noie
des sourires qui pleurent, des larmes de joie
aimer jusqu’à la mort ou s’aimer à mourir
des sourires en coin et des coins sans sourires
refrain : x2
car je me suis égaré, à en perdre la raison
mon bon sens c’est barré, dans la crasse et les questions
j’en peux plus, pourtant j’en veux plus
est+ce que moi je suis taré ou est+ce que les gens saints sont très cons?
couplet 2: (jeunejo)
j’ai écrasé mes peines pour en faire de la ce+for
dans un jardin d’eden où des démons se forgent
les dés sont jetés faut que je tej mes remords
se rapprocher du vrai avoir plus jamais tort
forcé d’avouer que l’écart se crée, jeunesse en déclin et en cas de besoin
je peux sauver le monde après 4 re+ver, mais je crois plus au destin comme en 80
ils se comportent tel des élèves
leur niveau est assez leg’
je fais de l’or des sous des pièces
dès dès dès lors que je bouge mes lèvres
des vices pleins la tête, le gout de la fumée est l’attraction du mal
très allumé à des années lumières
je suis mal luné mais je vise les étoiles
j’ai comme une envie de m’absenter
juste de kiffer l’instant t
tu peux devenir légendaire
ou juste ter+ma les gens faire
ils peuvent continuer de patienter
moi j’en ai marre faut que je change d’air
fumer dégrade la santé, mais j’ai brûlé des grammes par centaines
couplet 3: (cmz)
j’ai perdu la raison d’y croire
je sais même plus qui rap et qui rigole
la permission d’aimer c’est rare
la vrai prison dans ma tête n’est qu’un mirage
j’ai perdu la raison d’y croire
je sais même plus qui rap et qui rigole
j’ai peur et ton regard est froid
déjà petit j’voulais jamais les croire
et j’ai quand même attendu l’averse
des nuages de sang pour changer la donne
j’aurai pu boire et puis tout oublier
tout oublier jusqu’a perdre la mémoire
mais j’ai promis la veille d’en assumer les peines
et ma belle est partie mon coeur est sous écoute
j’ai des blessures au corps, des braises en décor
et le feu s’élargit pour accuser nos tords
alors bien sur ma belle qu’on va pas se revoir
tu sais aussi que dans ma tête c’est grave
et la prison c’est nous, comment briser nos liens ?
j’écrivais déprimé là qui s’en souvient ?
depuis le passé j’acquiesce nan j’aime pas les consignes
mon équipe en face est en pleine réussite
et la suite est sans fin, la prec en témoigne
d’un seul oeil on rêve, et le réveil éloigne
refrain : x2
car je me suis égaré, à en perdre la raison
mon bon sens c’est barré, dans la crasse et les questions
j’en peux plus, pourtant j’en veux plus
est+ce que moi je suis taré ou est+ce que les gens saints sont très cons?
couplet 4: (lp)
qui m’aurai dit que le succès se trouvait dans le dico?
tu sais pourquoi j’aiguise les rimes?
pour finir enseignant au micro
roule une fusée la te+té enivrée, j’ai toujours mon carré dans le métro
deux mois d’été le reste je suis en hiver
j’avance, aucun coup d’oeil dans lé rétro
j’ai gratté des lignes et des phases par milliers
parmi les risques et les crasses je navigue, j’ai pas pu me limiter
j’aime ça donc je ferais du sale avec aucune humilité
assez de cran pour les humilier, je passe mon temps à me justifier
t’es ni mon daron ni un justicier, c’est que de la musique qu’on a fructifié
j’ai lâché prise, je me laisse porter sans aucunes maîtrises
je fly je tise donc baisse la lumière pour que je kiffe
je m’évade, je médite, les femmes les disques, la face le bif
je me barre très loin je me taille très vite puis, le noir le vide
Random Lyrics
- djalmaguedes d.g - boêmia (hosted by. flame) lyrics
- dragon tales - touch lyrics
- lou reed - lady day [berlin: live at st. ann's warehouse] lyrics
- name lis - capsule lyrics
- young checo - olodum lyrics
- lisandro meza - soy colombiano lyrics
- king buffalo - echo of a waning star lyrics
- three souls - intentional trap lyrics
- rentuan - sensibreak lyrics
- erma x tamga - неге, неге? (why, why?) lyrics