l'apo - lovés lyrics
[paroles de “lovés”]
[refrain : raine]
j’les noie, ces chivatos font des bulles
mental de riche depuis l’début
deux type de hombres dans la ville
ceux qui courent et ceux qui trébuchent
son reufré parle trop, reufré à trous
devant chez lui tôt juste pour chauffer sa troupe
si j’ai plus d’lovés, les lovés ça s’trouve
si j’ai plus d’lovés, les lovés ça s’trouve
nique toutes ces bêtes, j’suis le fermier
(nique toutes ces bêtes, j’suis le fermier)
un tour d’avance si j’suis le dernier
(un tour d’avance si j’suis le dernier)
son reufré parle trop, reufré à trous
devant chez lui tôt juste pour chauffer sa troupe
si j’ai plus d’lovés, les lovés ça s’trouve
si j’ai plus d’lovés, les lovés ça s’trouve
[pont : raine]
j’écoute pas quand ils disent ce qu’ils en pensent
les yeux qui brillent depuis l’enfance
les yeux qui brillent depuis l’enfance
contemple ces fils de’ qui s’enfoncent
contemple ces fils de’ qui s’enfoncent
la mer où ils plongent est sans fond
la mer où ils plongent est sans fond
j’les regarde pas, j’sais plus comment ils s’appellent
ou p’t+être que j’ai jamais su
[couplet unique : l’apo]
entré fracassante comme l’orage
comme une arme dans les cordes vocales
ils font les connards comme donald
bientôt j’ai les recettes comme ronald
j’pense qu’à l’argent, les grosses chaînes en or
j’attends simplement qu’arrive les temps forts
j’ferme les yeux, j’veux qu’l’averse m’emporte
la nuit j’pense à tout c’que j’ai pas fait encore
faudrait que mes gosses soient des fils de riche
j’visais le top, maintenant j’vise le titre
j’arrive solide comme les vis que j’tire
j’aligne leur tête dans ma ligne de mire
c’est des grandes gueules, des p’tits bras comme les crocodiles
je veux les sous, le pouvoir comme rothschild
mais la pression pèse dans chaque dorsaux
j’parle de patrimoine dans chaque morceau
c’est des voleurs, ils ne toucheront aucun de mes sous
tout comme la suite d’adobe gros
j’avance tout seul, ils sont pas digne
j’ai mes démons pour compagnie
j’voudrais reprendre ce qu’on m’a pris
la vue d’mon compte me contrarie
la vie c’est cher comme les nouveaux jeux
et j’vois leur sapes, c’est d’la poudre aux yeux
j’ai dépensé comme des poudres aux feux
j’rêve de leur corps sous sol goudronneux (tout au fond)
j’pense qu’à la pluie jusqu’à décembre
et j’veux monter, j’les vois descendre
mais j’me demande qui m’aimera vraiment quand il en restera qu’des cendres
[refrain : raine]
j’les noie, ces chivatos font des bulles
mental de riche depuis l’début
deux type de hombres dans la ville
ceux qui courent et ceux qui trébuchent
son reufré parle trop, reufré à trous
devant chez lui tôt juste pour chauffer sa troupe
si j’ai plus d’lovés, les lovés ça s’trouve
si j’ai plus d’lovés, les lovés ça s’trouve
nique toutes ces bêtes, j’suis le fermier
(nique toutes ces bêtes, j’suis le fermier)
un tour d’avance si j’suis le dernier
(un tour d’avance si j’suis le dernier)
son reufré parle trop, reufré à trous
devant chez lui tôt juste pour chauffer sa troupe
si j’ai plus d’lovés, les lovés ça s’trouve
si j’ai plus d’lovés, les lovés ça s’trouve
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