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lexical - messagers contemporains lyrics

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lexical :

on ne peut concevoir nos arts sans y mettre nos corps, nos âmes
nos trames, des champs de batailles, les microphones sont nos armes
n’ayant ni fait les beaux+arts, ni le talent de mozart
pas héritiers des bobards, de vérités, nos mots s’arment
si nos titres sont maussades, c’est qu’nos iv’ sont trop sad
on tente de faire y voir clair où les vitres sont trop sales
métriques sont nos salves, faisant face à l’ennemi
de même qu’ahed tamimi devant dеs types du mossad
presque au stadе de l’amimie : ce qu’on décrit ne fait pas rire
des dégâts de l’homme à l’état du globe qui fait pâlir
tant qu’on ne corrigera l’tir, que tout, en couilles, pourra partir
l’encre n’aura de cesse de couler pour ceux qui chavirent
combien se reconnaissent pâtir dans nos sombres fascicules
grattant ce qu’on n’peut pas dire quand nos maux sont taciturnes ?
alors on reste assidu pour que nos messages ainsi durent
et instituent des lueurs d’espoir où règne la lassitude
refrain :

des mots, nous portons le poids
en tant que messagers, on ne peut pas dire n’importe quoi
brasser de l’air ne nous importe pas
alors soyons pour ceux qu’on représente des porte+voix…
des mots, nous portons le poids
en tant que messagers, on ne peut pas dire n’importe quoi
et même si ca ne leurs importe pas
nos écrits resteront quand le temps nous emportera…

karl nasty :

les paroles s’envolent pas quand les écrits restent leurs traductions
je fais du tradi’, je suis en treillis, quand j’étrille, j’extrais du son
demande pas ce qui nous motive, c’est des voiles que les mots tissent
je dévoile quand je métisse, voyelles et consonnes me disent !
ce qui console, c’est pas la console ni même les consommations
vu les regards, faudra qu’on soit moins sot surtout quand c’est mon son
ils aiment dire que c’est pareil mais quand c’est moi, c’est pas le rheye
coincez moi dans mes ves+rê, on verra s’ils me verront pareil !
par ailleurs, j’en parle ailleurs quand je questionne mes lendemains
loin de moi toutes formes de doutes, savoir, sagesse, mes hommes de mains
j’ai vêtu mes ornements pour pas que mon heure demeure
dans la demeure du chaos, le ko c’est le murder
justifier la merde dehors, ils diront que c’est les météores
j’écoute plus leurs prévisions, ma météo c’est de mettre de l’or
dans tout ce que je touche, dans tous ce que j’incarne
d’où mes sens qui, en s+m+nce, donne naissance à chaque écoute un karl !
refrain :

des mots, nous portons le poids
en tant que messagers, on ne peut pas dire n’importe quoi
brasser de l’air ne nous importe pas
alors soyons pour ceux qu’on représente des porte+voix…
des mots, nous portons le poids
en tant que messagers, on ne peut pas dire n’importe quoi
et même si ca ne leurs importe pas
nos écrits resteront quand le temps nous emportera…



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