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lord esperanza - après l'orage lyrics

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[paroles de “après l’orage”]

[refrain]
tout finit par s’en aller
les années qui passent, n’ont pas de sens si les hommes ne les comptent pas
t’façon, dans tous les cas
tout finit par s’en aller
les regrets ne restent pas, comme les mauvais choix, faut tourner la page
après l’orage

[couplet 1]
syndrome de l’imposteur, pourtant c’que j’ai, c’est mérité, avant les critiques, ça m’irritait
j’ai passé trop d’temps à m’demander si j’allais rater, maint’nant, j’avance sans m’arrêter
pour oublier le manque qui s’installе au fond des cœurs, on grandit avec l’égo incorporé
on a fait couler dе l’encre et on verse notre sueur, on donne les larmes qu’on n’a pas encore pleurées
[pré+refrain]
j’ai des violons dans l’âme, c’est ma sonorité, pour voir un homme changer, donne+lui de l’autorité
brille à r+t+rdement, comme la plus vieille des étoiles, nouvelle lumière fait aussi peur que l’obscurité
et plus j’grandis, plus j’ai mal, ça perdure (perdure), attiré par les sens interdits (interdits)
j’retourne dans ma chambre d’enfant pour retrouver c’que j’ai perdu

[refrain]
tout finit par s’en aller (par s’en aller)
les années qui passent, n’ont pas de sens si les hommes ne les comptent pas (les hommes ne les comptent pas)
t’façon, dans tous les cas
tout finit par s’en aller (par s’en aller)
les regrets ne restent pas, comme les mauvais choix, faut tourner la page (tourner la page)
après l’orage

[couplet 2]
on a jamais su [combler ?], ouais
concert complet, tout le vide est comblé, même si le torse est bombé, ouais
les plus grands sont ceux qu’ont déjà su tomber, ils t’regarderont ramper, ouais
profondeurs abyssales, le diable porte un costume, la plume surpasse l’épée, ouais
mais l’épée décide seule de qui tiendra la plume

[pré+refrain]
j’ai des violons dans l’âme, c’est ma sonorité, pour voir un homme changer, donne lui de l’autorité
brille à r+t+rdement, comme la plus vieille des étoiles, nouvelle lumière fait aussi peur que l’obscurité (que l’obscurité)
et plus j’grandis, plus j’ai mal, ça perdure (perdure), attiré par les sens interdits (interdits)
j’retourne dans ma chambre d’enfant pour retrouver c’que j’ai perdu
[refrain]
tout finit par s’en aller
les années qui passent, n’ont pas de sens si les hommes ne les comptent pas
t’façon dans tous les cas
tout finit par s’en aller
les regrets ne restent pas, comme les mauvais choix, faut tourner la page
après l’orage (après l’orage)

[pont]
et plus j’grandis, plus j’ai mal, ça perdure, attiré par les sens interdits
j’retourne dans ma chambre d’enfant pour retrouver c’que j’ai perdu
tout finit par s’en aller
et plus j’grandis, plus j’ai mal, ça perdure, attiré par les sens interdits
j’retourne dans ma chambre d’enfant pour retrouver c’que j’ai perdu (après l’orage, ouais, ouais, ouais)
(après l’orage, ouais, ouais, ouais)
j’retourne dans ma chambre d’enfant pour retrouver c’que j’ai perdu
tout finit par s’en aller
plus j’grandis, plus j’ai mal, ça perdure, attiré par les sens interdits

[outro]
femme âgée : ah, ça je me l’demande hein, on trouve pas le mot, on trouve pas le, euh, l’histoire qui peut y avoir après. et bah écoute, euh, y a jamais personne qui est, qui est r’venue sur terre dire comment qu’ça se passe hein
lord esperanza : ça c’est vrai
femme âgée : c’est vrai, hein. hum



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