
marlow (fr) - été 2016 lyrics
[paroles de “été 2016”]
[refrain]
les lumières s’éteignent
par millier par centaines
les lumières s’éteignent
elles chantent ce refrain à tue+tête
les lumières s’éteignent
par millier par centaines
les lumières s’éteignent
elles chantent ce refrain à tue+tête (à tue+tête)
[couplet 1]
il m’en faut peu, je remets tout en question, même mon intellect
je fais tout à l’endroit, à l’envers, ça marche pas comme tennet
l’ambiance change quand dans la pièce, je pénètre
le roi cr+paud, ce fait rejeter par toutes les petites reinettes (han)
c’est pas comme dans les contes mec
j’rappe avec un flow de 2016 (han), sur une instru de 2016 (han)
mais je m’en fou, j’suis inspiré ce soir, je crois j’ai gratté deux+mille seize
ça change de d’habitude où j’suis un petit peu tendu
la je suis relaxe, pourtant, j’suis attendu
je fais ça comme s’il aller être entendu
j’dis que je suis le meilleur, mais j’suis le meilleur, juste prétendu+ment
y’a bien meilleur que moi, je le sais
mais si j’le disais pas, j’y croirais pas non plus
je me défoule sur ce micro noir comme 4 racistes
ma musique, ma catharsis
mon art, bref c’est tout
un peu comme un couteau suisse en fait
tu résous un problème
c’est là qu’ils en tombent cinq (merde)
je suis à terme, je dois me libérer de ce poids, un petit peu comme une femme enceinte (vite)
j’approche des vingt, je stresse
ça sera quoi quand j’en aurai vingt+cinq ?
est+ce que je serais normal ou bizarre comme les animaux dans le zoo de vincennes ?
j’aime pas avoir le cœur léger, je me sens vide (je me sens vide)
c’est p’têtre que quand j’ai ce poids sur le cœur, que je me sens vivre (vivre)
je sais que j’en ai qu’une, j’ai pas cents vies
pourtant j’l’aime, j’ai envie de lui dire, mais je vais attendre que me passe l’envie (c’est p’têtre mieux)
je vis comme un chat, je me mouille pas
je sais ou ça mène, nulle part
la voix dans mon cœur, me dit faut que tu lui parles (let’s go)
mais celle dans ma tête, me dit le contraire (ouais ta raison)
laquelle écouter ? je me plus me permettre de saigner, j’ai plus de compresses (hey hey)
[refrain]
les lumières s’éteignent
par millier par centaines
les lumières s’éteignent
elles chantent ce refrain à tue+tête
les lumières s’éteignent
par millier par centaines
les lumières s’éteignent
elles chantent ce refrain à tue+tête (à tue+tête)
[couplet 2]
je pourrais te parler de plein de choses, qui me sont arrivé
mais en vrai, je dirais rien
parce que il m’est rien arrivé
parce que il m’est rien arrivé
par « rien arriver », je veux dire rien de nouveaux
toujours les mêmes galères, toujours les mêmes factures et le stresse de ma mère
je dois assumer ça parce que je suis l’homme de la house
20h mauvaises nouvelles arrivent d’la bouche de laurent delahousse
pourtant j’fais des blagues, je souris comme mickey mouse (mouse)
mais ce sourire est celui de l’ange, pour l’faire j’ai dû m’ouvrir la bouche
à cause du doute, sais+tu combien ça me coûte ?
mon cœur sèche, il est dans l’évier j’l’égoute
le tien ne bas plus, j’le sais j’l’écoute
je le sais, j’l’écoute
pourquoi tu fuis cette discussion (hein) ? pourquoi tu l’écourtes ?
tu veux y mettre fin comme un lundi
mais d’l’autre côté t’a peur que la fin soit tragique comme celle d’un indic (oh)
tu cherches tes mots, mais pas avec un dico
ton cœur est rempli d’marques indigos
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