mayhem x - paname lyrics
[intro]
ouais, ouais, ouais
je ferme la fenetre, la
y’a trop de bruit dehors, c’est la guerre, c’est la merde, ouais
check ça, yo
paname c’est la guerre
paname c’est la guerre
representant toute ma clique
machine kings en force, cousin
ouais, ouais
ouaaais, ouais
[couplet unique]
genosha se reveille sous une aube sans lumiere
les rues remplies de troupeaux pleins de boloss et une jeunesse rancuniere
jeunes echoues prets a trouer tout comme le gruyere
guere a se preoccuper, c’est juste une journee reguliere
donc j’attaque des la defense, 9+2+400
ouais, ouais, comme dans le passé, toutes ces drogues, liasses et chattes tentent
j’ai dit adieu au demon, je me suis sauve de justesse
qui sait si j’aurais fini dans le coté mauvais de la justice
chuis venu en paix, comme la mauvaise odeur
parce que vous aimez vraiment pas que j’aille mon propre sens de l’honneur
ça vous emmerde que je sente du bonheur, vous me souhaitez un bon hiver
mais c’est des balivernes, consommateurs de somnifere proliferent
tandis que je kicke des phases pour deferler l’univers
dedies aux racailles, bosseurs et etudiants a l’univer+
sité, parce que moi, je tiens vraiment a la diver+
sité, je donne aux scarla le portrait de leur chere
cité, j’y connais assez pour en parler
faut traverser des foules de connards acharnes
je cherche seulement mon chemin dans la vie
j’espere seulement que c’est pas les rails du rer b
le cul pose dans le grec, la fumee me pique les yeux
rien m’arrachera de ce destin, meme pas la zik, mon vieux
je m’en bats la stick, a certains moments, je veux foutre ma vie au vent
paris je la baise, la ligne 13, c’est le traume
je rentre, crache la rage au crom jusqu’a que j’ai mal a la tete, les sympathisants des attaquants de malala guettent
les voyages se font ap en fumant le petard a la case depart
si tu veux pas arreter le cinema, reste a l’ecart
ou je pars en couille sur le sample de carpenter
et je sors des griffes comme un black panther
je dis la milice, pas le superhero marvel
flow aiguise comme un narwal, ton rap pue le maroilles
chuis en chute libre dans cette puterie, il me faut un sursis
chacun doit bricoler sa survie
dans la zone de guerre ou je dois piloter, chuis tellement isole
le poto commence a siroter le bail qu’il va picoler
l’esprit trop plein de choses, que dalle dans mon tal+fu
j’ai ma version de la realite tah le coran, bible et talmud
on est une generation robotisee, lobotomisee
en certains moments je pense qu’on merite de se faire atomiser
nous et les telephones, c’est un peu comme les bodybuilders anabolises, a l’ancienne
faut moderniser nos racines
voila ce qui me fascine, pas les meufs lascives ou les bobos passif+agressifs, chouf, mes potos me quittent, la descente de la popo en equipe dans le batiment en front de chez moi ne me mets pas de l’effroi, c’est juste chez moi
pour moi, c’est b+n+l, comme des rafales a kaboul
pas mal, chacal, cavale et s’enfuir dans la foule
les potos ça les raffole, balek s’ils deviennent des gouttes d’eau douce dans le grand ocean azul
martín perez te donne du rap baleze
vivant au bord de la falaise, ecoute un peu mon malaise
je gere pas, j’ai besoin d’un sherpa, je semble un demon qui hante la nuit en squette+ca
100% espagnol, meme si je te parle en français
et je fais du peura et je bouffe du j+ponais
j’ai vu de la beuh stock+ma, elle voyage du roc+ma
a andalucia, jusqu a qu’elles soient melanges avec
des trucs chelous dans toutes les tess franciliennes, chico
j’en connais des mecs qui ont bedave et sont devenus schizos
“sale espagouin, casse toi de mon pays”
mais en scred, t’aimes bien la coke qui vient de mon bled
de gros sanglots de sang, gros, j’raconte depuis l’intro
que la verite, et y’a rien d’autre que je chante, gros
rap de realite, a la newyorkaise, comme group home
j’y laisse mon ame, ouais, comme les vinyls de blue note
pour mes potos d’afrique et d’amerique latine
et la chine, les potos qui se font olphatter les couilles par la brigade canine, une autre journee dans la turbine
ma gueule, je veux seulement que ça se termine
seulement quand mes fans mettront mes lyrics sur insta, je serai dans la legende
je percerais jamais, parce que chuis pas un rappeur qui chante
je percerais jamais, la masse kiffe trop les rappeurs de merde et leur sub+rhymes
frerot, je reve qu’on me sup+prime
en vrai non, la desesperation prend le controle de ma bouche
une autre journee qui se gache, je ne fais que moisir
l’angoisse me paralise, et je fais rien pour l’arreter
pas la weed, pas la coke, pas l’hero, pas la tise
j’amene une touche degout comme une bouche d’egout
chuis tellement epuise que je me couche debout
mais c’est pas question que je sombre dans l’alcohol
meme si c’est pas l’envie qui me manque, frerot, ras le bol
comme trop de lait jete sur trop de cereales
la vie c’est un film de merde et je veux haggar ses reals
fachos, communistes, riches, pauvres
la vie c’est comme un kamasutra
faut te faire niquer donc autant prendre position
ces mecs sont tordus comme la tour de pise
si, si, fils, file vers les fils du vice
tu crois que ces mecs vont eviter que ta vie soit le neant?
j’ai essaie la meme que toi, et ou sont ils maintenant?
a la vie, a la mort… panda de cabrones
ça vous surprend que j’insulte ceux de mon propre pays?
comme si les fils de pute avaient une seule nationnalite
on peut ressentir toutes mes emotions dans ma tonalite
je fais un bts et me tape des bonnes notes, mais a quoi ça sert en solitude?
je prefere etre seul qu’accompagné de ceux qui m’abandonnent quand ça titube
dans la rue, le bts, n’importe ou, je fais belek aux poukaves
parce que la soif de pouvoir est universelle
les ouvriers vont pas roupiller pour faire les sous briller
des tueurs a gages, morray, que pour le cash monnaie
ces gouvernements et multinationales sont des mafias fondees par les petrodollars, c’est des gros connards, pablo n’est pas l’orgueuil du pays diriges des bogotá
on deteste les mecs sapes en gros costards et polos coste+la
mais cette haine nous detruit comme la guerre yougoslave
tout le monde veut me donner des embrouilles, chuis adepte de racailler
mais je te conseille, pense meme pas a essaier
chauffe moi a blanc, tu verras noir, mes mains seront rouges
personne ne bouge, si seulement tu faisais comme moi
tu restais a ta place et tu fermais ta bouche, je reste aposthate
j’en p+sse tellement la rage que j ai des problemes de prosthate
pas tiseur d’heineken, ni joueur de tekken
tema ma degaine, et c’est waleken wale wale f+ck
ça caille quand j’arrive aux endroits
personne veut etre proche de moi comme les files chez pole emploi
j’ai toujours eté perdu dans le monde
mais apres la mort de grand mere, je sais meme pas quel cap il faut virer
le passé, c’est bcp, le present c’est machine kings
mais ça va finir aussi, les crews se succedent
parce que de nos temps personne a rien a foutre de personne sauf eux memes
frerot, file, avant qu’on te nique tes morts comme un necrophile
surcharge de douleur, je pete les cables comme un mauvais soudeur
mes veuch poussent, sauvages comme ma personnalite
j’en ai marre de vivre en france, en plus chez moi les fachos vont gagner
que vais+je faire, ou peux+je aller?
des mecs pensent que c’est amusant de me filer la pression
jusqu’a que je perd les plombs, et emmene tout le monde avec oim jusqu’au fond
les choses se corsent comme l’ile, je veux sortir le surin
ai+je vraiment la tronche de quelq’un qui est serein?
le weekend finit, et voila, a nouveau attrappe dans la turbine
cherchant manieres legales de charbonner, specifiquement dans la musique, je change pas de mentalite
chais pas s’y’a un mec autant deter que moi dans ta cite
on m’a eduque pour faire les choses d’une façon, je le fais pas
et je desole mes parents, et du coup je desole moi meme
parce que je me promets d’etre meilleur, et j’y arrive pas
essaye de suivre ta vie comme tu veux, t’auras nada de nada
tous ces mecs autour de moi me donnent tellement la hargne
ils ont tellement le mauvais oeil qu’ils en sont borgnes
le neant dans mes yeux figes fixe, j’espere seulement que la semaine passe en deuspi, avec ma zik, mes comics et netflix
enferme dans ma maison, j’fais rien, l’angoisse gagne du terrain, il le devore, meme
dis moi comment je vais peter le score, mec
et ces gens ont pas mine de friends, une autre journee magnifique en ile de france
je veux etre quelq’un qui donne de la sagesse, mais dernierement, la seule façon que je rapporte de la lumiere sera si je vous allume tous
vous avez vu le pouvoir de ma plume, chous!
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