maz (france) - illusion du temps lyrics
[couplet 01]
regarde le p-sser à la vitesse lumière
le temps nous fait vriller, nous fait briller
un jour sépare, janvier de février
j’ai pas changé d’équipe depuis l’école primaire
a jacques prévert, c’est devenue familier
et p’tetre un soir j’quitterai l’fameux système solaire
a 18 ans j’commence à vivre le cœur déjà bordé de colère
[j’en souffre]
malheureus-m-nt construit en pierre
en chantant j’le façonne jusqu’à m’en couper le souffle
pourquoi, pas avoir des tonnes de vies ?
j’pourrai ainsi prendre conscience de c’que j’n’avais pas compris
on dis qu’il faut vivre plusieurs fois pour enfin écrire son livre
tout s’efface avec le temps
mes souvenirs dans la lune
j’garde espoir le plus souvent
même dans la brume
mais à quoi bon vivre et revivre, y’a-t-il un sens à la vie ?
malgré qu’on essaie de guérir
notre présence, est-elle une maladie ?
tu sais j’ai du mal à m’ouvrir
et ce depuis l’adolescence
j’p-sse mon temps dans la musique car c’est ma seule thérapie
mais à vouloir tout avoir, on y perd ses acquis
on gaspille son temps, à s’tuer pour d’loseille
nos vies sont programmées comme des algorithmes
mes pupilles sont rouges quand j’perd la notion du sommeil
a trop rédiger j’en ai perdue le rythme
heureus-m-nt j’suis née les yeux ouverts
mais j’ai pas vraiment goutté le sommeil
j’ai même dit au marchand de sable de sortir couvert
pour se cacher du soleil
il répétait : “rendors toi la nuit porte conseil”
mais moi j’écris j’écris elle à causé mes insonmnies
sache qu’on mourras tous un jour, donc je vis la nuit..
[refrain]
quand j’était dans la merde moi j’vivais toujours
mais mon sang était gelé
un peu rêveur les yeux rivés au ciel ou aux alentours
mais le temps m’a ratrappé
j’me voit face à la mer écrire mon parcours
pour un jour l’concrétiser
c’est vrai que j’manque pas d’air moi j’voulais toujours
vivre dans la voie lactée
[couplet 02]
le temps aide à finir c’que la raison à commencé
mais n’oublions surtout pas q’c’est le péché d’l’éternité
j’ai choisi le gun et toi la rose
a présent il serait temps de m’esquiver
en effet le mal j’en suis la cause
le temps va emporter c’qu’il n’a pas pu réparer
c’est arrivé le 3 septembre
j’ai aperçu la lumière blanche de l’univers
les yeux fermés je semble entendre voix des étranges
serais-ce un signe de mon père ?
donc pour aimer j’ouvre mon cœur la première fois
j’sens la douleur de l’atmosphère
du mal à respirer j’sentais couler sur moi
les larmes de ma mère
etant plus jeune j’voulais grandir
maintenant j’repense à cette époque
grâce aux valeurs que j’ai acquises
tu m’fais du bien, c’est réciproque
dis moi pourquoi sa t’gênes autant
quand dans mes sons j’suis philanthrope
j’ai ma manière de dire “je t’aime”
si il faut j’-ssume la faute
parfois j’me demande, comment tout embellir
alors qu’on p-sse notre vitre à essayer de la gagner
bien sûr rien n’est finis
de temps en temps j’écris, j’fait part du monde d’aujourdhui
mais en essayant d’sauver l’monde
bien sûr qu’on l’a détruit
la nuit, j’entend le ciel qui gronde
il cherche à nous punir
[refrain x2]
quand j’était dans la merde moi j’vivais toujours
mais mon sang était gelé
un peu rêveur les yeux rivés au ciel ou aux alentours
mais le temps m’a ratrappé
j’me voit face à la mer écrire mon parcours
pour un jour l’concrétiser
c’est vrai que j’manque pas d’air moi j’voulais toujours
vivre dans la voie lactée
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