mendilabaz - terminal lyrics
[couplet]
pas de l’ancienne, pas d’la nouvelle, pas trop école
au loin patron rigole, mais j’vais bientôt record
ah oui !
j’vais partir apprendre l’anglais, j’en peux plus de leurs sous titres
j’déconne la vraie raison il me faut plusieurs outils
pour construire des ponts au+dessus des océans
t’as capté, j’veux qu’mes paroles s’éparpillent et qu’mon œil du front s’écarquille
namaste
bienvenue dans mes rêves qui se laissent bâtir, aller c’est parti
j’y crois depuis la terminale grâce à v’la les zincous, ils ont juste bougé le banc sur lequel j’étais assis
j’traverse le terminal avec mon aller simple j’pouvais toucher du bois là j’peux toucher la cible
faut qu’je globe trotte avant de finir f+ckedup… j’me suis trop fait attendre
j’suis né au bord de l’eau, j’finirai au bord de l’eau, la ville un glock trop… près d’la tempe
j’cherche le bonheur dans l’excès j’le perds dans l’inaction
bac + 0 va me donner faim si j’écris pas d’son
j’cherche le bonheur dans l’excès j’le perds dans l’inaction
bac + 0 va me donner faim si j’écris pas d’son
j’suis né loin du trom et du quai, j’reste enseignable mais ceux+là n’peuvent plus trop m’éduquer
et dans ma tête j’bombarde grâce à gros cachets, j’sais contrôler du pied, jamais de pots cassés
et j’blackjack sans l’avis des gens, j’braque la banque avec ma fidèle chance, dans l’4×4 si elles brillent les jantes, j’compte pas servir d’exemple, chaque jour est un jeu j’veux pas que ma vie elle change
21 ans premier projet sinon j’peux aller pointer 21 ans premier projet sinon j’peux aller pointer assez squatter chez mes zincous à m’esquinter
2020 j’suis dans ma chambre, dehors c’est gros bain de sang ou l’no man’s land
j’reste dans ma bulle j’attends pas l’prof absent, j’utilise la borne passante pour cross un sample
(blackjack) rien à jeter à part un gros tas d’cendres
toutes mes journées s’ressemblent, ça m’donne le tournis, plus la moindre idée d’tout c’que j’ai promis
vive les pucelles nique les puces électroniques, les pubs dans l’trom, les putes dans l’trône, plus le temps tourne plus la toux c’est chronique
réveillé par la caisse claire j’suis un peu aigri, j’en roule un et j’laisse faire, la beuh écrit
tes meilleures phases dans mes ratures, je les baise jusqu’à plus plaisir, j’viens prendre la température, dans l’cul c’est plus précis
là tu t’résignes, « pour le pouvoir ou pour l’argent ? » un seul suffit la thune préside
il a bien jauni l’plafond, j’soulève des rappeurs nique la fonte, là c’est mendi qui t’la vend pas de panique ça fonc’
tu sens que c’est chaud tu veux t’impliquer, un clic et j’vois ces tainp’ leaker, donc j’garde mon feu j’ai un briquet
ils veulent palper l’mirage, j’follow pas l’pèlerinage, t’as des connections, j’te débranche
j’lâche des phases terminales
la fin de mon début c’est le début de leur fin, terminal
la fin de mon début c’est le début de leur fin
la fin de mon début c’est le début de leur fin, terminal
la fin de mon début c’est le début de leur fin
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