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mysa – les trottoirs de la liberté lyrics

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[couplet x2]
oui j’parle à blanc, use des cartouches à la pelle, le cœur grave
esquive les groupies du xxx, les démons, leurs drames
de tchern0byl à f-kushima, rien n’change, mène un train d’vie xxx
mais pour l’-ssumer on perd nos billes
la souplesse d’un playmobil, rouillé par un climat humide
la vie n’tient à rien et j’ai appris ma limite
f-ck la résistance, j’suis p-ssé à l’attaque il y a un bail
xxx à décontracter, on p-ssera tous à la barre
pas d’vida loca mon frère, vis d’amour et d’eau fraîche
loin des rêves de leurs citoyens, quitte à bouger nos fesses
oui ils veulent bouffer nos restes, quand seule la prière nous r-ssasie
j’ai rien à faire en vrai, j’attends qu’la bière vous -ss-ssine
ils t’croient macabre, quand tu dis qu’sur la mort tu mises
la dounia effrénée t’a changé en opportuniste
oui il y a des armes enterrées, on s’en est jamais servi
le sheïtan t’a fait percer tellement ton âme est servile
rempli ton cœur de foi avant qu’il soit blindé d’p-ssion
l’humain 2.0 est trop proche de l’aliénation
forage à l’américaine dans les cœurs du xxx
ça fait des bises entre gars, tu trébuches quand on te regarde
doha avant d’sortir, prières à jour car tu risques gros
esquivant les halls mal fréquentés, les piliers d’bistrots
si tu connais ta ville, tu connais la mienne
uniformisées depuis l’époque du bonnet lanière
ils font les beaux, des manières
moi j’ai un voile devant la rétine
aveugle de vos conneries, j’relègue pas dieu derrière la médecine
j’vais marteler, harceler pour faire un contrepoids
j’ai les médias aux trousses, donc oui j’ai le monde contre moi
pendant qu’le rap refait les hommes, j’fais du rap c’est tout
car les artistes deviennent plus ambitieux que mao tse tong
la vérité tu l’entendras pas sur radio fm
les rappeurs sont dans leurs clichés, ils en ont marre du fn
bien souvent la chance a camouflé un drame
la réussite est belle de loin, comme un guadeloupéen trav’
ouais t’as pas bougé un bras, tu veux l’soleil et la lune de miel
sur les trottoirs de la liberté, mate c’que les putes deviennent
la paix dans l’monde ? trouve-la déjà dans ton cœur frère
il y a des âmes perdues et des hommes fissurés qu’on n’peut refaire
j’parachève mon paragraphe, eux, ils m’préparent la chaise
j’veux pas finir enfourné dans les flammes du père-lachaise
les éclairés sont pas illuminés pour autant
loin d’signer chez satan, soldat universel pour l’otan
parait qu’l’humain n’comprend rien à part les douilles
depuis qu’la poudre est née, même entraîné on canerait tous
vivent une guerre sans fin, tenus en laisse, en chien
il y a plus d’respect pour les anciens
jusqu’à ce qu’ils blessent enfin un gamin
terminé la g-funk dans les cabriolets
vous me dites peu brillant, mais j’vois bien votre etat m’rit au nez
non j’frais pas le million, mes h-ssanates sont pas à vendre
l’homme s’croit éternel, envoie des sms en parapente
il fait le trottoir pour un bout de liberté chez le diable
infiltre l’univers des médias, il en perd les pédales
ils voudraient faire du monde un bois de boulogne
pour les animaux il y a des cages et il y a des boîtes pour l’homme
aucun principe, que des intérêts disent-ils
suffit d’voir le rythme auquel leur alcool se distille
la rue est sans cerveau, ne crée qu’des grosses brutes
des dépravés qui font pleurer leur femme et claquent le bénéfice arrose brut
ils cherchent des principes dans les livres humanistes
se disent intègre, à part quand on leur livre une valise
ils combattent pour la vie, comme les casques bleus, les forces licornes
à force d’être trahi par la france ils en attrapent 10 cornes
il s’en est p-ssé depuis la rap att-tude
la mama vit dure, -ssume les enfants quand papa t-tube
c’est ça la maladie du 21ème century
l’incohérence prend du rythme, ça peut finir en tuerie
plus de bravoure à la barre, ni au poste
ya qu’des celards-vi aux poches cousues
t’en as même peur de raconter ta vie aux proches
on p-sse le week-end dans les vosges, j’pense à changer d’air
il faut qu’on gère entre les factures et le compteur geyger
avant combien c’est cher, le travail a pris ta foi
toi et ta famille à poil, s’il te plait rhabille-toi voir
j’demande de la patience à mon créateur
vas bien dire à ton fiston, qu’il faut rentrer à l’heure
on vit une époque noire et glauque où l’homme n’est pas réglo
trouve le temps pour parler trop, on s’fait une ampoule par métro
frérot, t’es pas dans ton -ssiette alors tu bois un verre
s’faire buter par le sheïtan, c’est s’faire caner par un faible
ils veulent qu’on rentre dans leur clivage de singes
addict des tribal, perdu dans la bicrave de seringues
on part à vingt, on arrive seul
parce qu’auparavant on t’a mis l’seum
trop ambitieux, tu finis corrompu, c’est l’tarif jeune
les égarés veulent se const-tuer soldat
ils seront jamais plus libres qu’une prost-tuée moldave

[outro x4]
on s’répète, mais oui j’ai plus l’temps pour vos conneries
au début ça allait, aujourd’hui ça fait plus gole-ri
l’iblissien te dira qu’t’es au paradis mais t’es
sur les routes de l’enfer, trottoirs de la liberté



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