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nusky & vaati – fantôme lyrics

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[intro]
oooh
vaati

[couplet 1]
hein, j’bouffe des chattes, j’bouffe de la md
soir-ce j’suis pété, j’ai de l’amour, j’ai de la fierté
j’voudrais la baiser tous les jours jusqu’au dernier
laissez-moi rêver, soit tu cours sans t’arrêter
soit c’est tres cinco siete (brrrr) dans ta gueule
j’fume de la zeb, des fois j’fume aussi d’la merde
j’en suis pas fier, mais c’est que de la drogue alors nique sa mère
je vous l’ai dit qu’un jour nos vies s’arrêteront
la mort dans le rétro
moi je veux quand même voir mon fiston à sa rentrée
je m’en tape que tu galères (pff), je m’en tape que tu kiffes (ah)
on veut du biff, j’y pense même quand j’suis aux toilettes
ecoute mes sons sur la toile
le verre dans ta main, bois-le (bois-le)
je vois plus les rageux depuis que je vis dans les étoiles (mmh)
et j’compte répondre si un pote m’appelle
pour me parler des go de la veille
han j’vois même plus trop laquelle c’est
je m’en tape que les autres la serrent
nique l’avenir dans les gros cl-sseurs (han)
j’paye mes dettes pas les pots c-ssés (han ah)
n’écoute pas les pique–ssiettes (ooh)
ils ne pensent qu’à te remplacer (aah)

[refrain]
tu voulais faire du piano
mais j’préfère les oiseaux
il nous reste pas grand chose à part des fantômes
justement j’les cherche et j’les cherche et j’les cherche et
j’les cherche et j’les cherche et j’les cherche et
j’les cherche et j’les cherche et
j’les cherche encore
j’les cherche encore

[couplet 2]
swuh
je porte mes frères, je porte mes vêtements (oah)
glisse dans le vice depuis que j’ai sept ans
regarde ce que la vie a fait de moi
on côtoyait le vide à seize ans
maintenant je prends que des grosses décisions (braah)
faites sauter les dom pérignon
la miff’ a la technique imparable
je compte les marteler un par un
souvent j’ai rêvé de vivre dans un monde meilleur
où me p-sserait l’envie de fumer toutes les heures
une pet-te voix me répète: “affronte tes peurs
essaye de ves-qui les faux départs”
j’allais pas lever mon rre-ve à ces fils de tchoin
on m’a dit que le bonheur il habite le coin
et si jamais tu le vises, vise-le bien
sinon quelqu’un le verra avant, il le prendra pour lui (eeeh)
envie d’recoller les morceaux quand on pense à nos vies
envie d’faire le tour du monde quand on pense à la suite (han ooh)
envie d’arranger les choses quand on pense à nos p’t-tes sœurs (oooooh)
han, mais je sens que ça empire (sens qu’ça empire)

[refrain]
tu voulais faire du piano
mais j’préfère les oiseaux
il nous reste pas grand chose à part des fantômes
justement j’les cherche et j’les cherche et j’les cherche et
j’les cherche et j’les cherche et j’les cherche et
j’les cherche et j’les cherche et
j’les cherche encore
j’les cherche encore



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