octobre rouge - violences lyrics
[couplet 1: abdou]
on voit l’mal une fois qu’il est fait, on agit sur un coup d’speed
xxx après les faits on s’rend compte que c’est stupide
j’constate qu’on s’tire dessus, à croire qu’y a plus d’issue
à chaque litige verbal s’ajoute une réplique physique
ne jamais s’faire de bile, jamais fuir en cas d’couille
si ça sent l’roussi j’m’en fous, j’laisse parler les douilles
la fuite est pire qu’un ouvrage, le bitume est la seule page
xxx la haine s’lit sur mon visage
gare gare ça craint
suffit d’un grain d’sable pour être pris par une tempête
on s’refuse d’obtempérer, même si autrefois peureux
devenu un vrai dur, inspire par la suite
crée l’respect qu’il espérait tant
la force est conquise par l’union
parano l’mal l’habite de façon paranormale
une preuve de force adverse, subst-tut d’antistress
le genre qui t’envoie devant l’bureau du proc en express
on voit l’mal une fois qu’il est fait, on agit sur un coup d’speed
xxx après les faits on s’rend compte que c’est stupide
j’constate qu’on s’tire dessus, à croire qu’y a plus d’issue
à chaque litige verbal s’ajoute une réplique physique
on voit l’mal une fois qu’il est fait
[couplet 2: logan]
par mort violente, les histoires se soldent, graves
sont les remords quand l’ennemi touche le sol, par-
tout à l’ombre du béton des corps tombent
paris intra-muros détonations décor sombre
baisse ta tête, rase les murs, protège ton dos
en cas d’malentendu, pas d’abri pour balle perdue
les érudits m’ont dit d’la vie, sois jamais sûr d’elle
des yeux t’guettent et y a pas qu’les condés qui t’surveillent
tous en sursis, on s’en sort, on survit
aujourd’hui encore debout, demain p’t-être sur le parvis
mis à part mon trois quarts cuir noir, rien m’protège
ici ça tire une lame pour trois grammes de beige
ça surine, ça couine la nuit sur l’terre-plein
dans nos domaines les abdomens qui s’font té-plan ben j’les plains
y a trop d’traîtrise, trop d’ennemis nous entourent
des tueurs ont zans-douze, s’enfouraillent et vont en cours
y a plus d’ston-ba
les stos-ba remplacent les clés d’bras
c’est haut comme trois couilles à genoux et ça veut quer-bra ta rette-ba
climat d’crime s’exprime par une violence constante
on sort un schl-ss sans forcément s’rendre compte qu’on l’plante
un mot d’trop et c’est un mort d’plus dans nos rangs
j’t’apprends rien en disant qu’c’est pas les flics que ça dérange
au contraire, ça aurait même tendance à leur plaire
un frère a tué un frère, c’est ça d’moins à faire
à feu et à sang c’est trop souvent qu’la rue blesse
c’est là où seul t’apprends, où t’oublies tes faiblesses
par mort violente, les histoires se soldent, graves
sont les remords quand l’ennemi touche le sol, par-
tout à l’ombre du béton des corps tombent
paris intra-muros détonations décor sombre
[couplet 3: grain]
actes sanglants, avec pour bande-son des sanglots
l’abandon on s’vide sous perfu, nos bancs sont couverts d’superglu
les yeux n’sont plus étanches
l’encre rouge coagule sur les lignes blanches
les larmes, l’hémoglobine s’combinent à merveille
quand coule le liquide vermeil, chaque nuit en pleurs une mère veille
les gars montent, descendent avec une bosse sous l’polaire
mais là c’est pas parce qu’ils bandent, vas-y rentre dans mon xxx
xxx jusqu’au parquet
pour prouver qu’c’est pas une tess de pédales ou d’débarqués
pris en tenaille, joue pas l’vaillant, pectoraux saillants
y a des barres de fer, pompes et grenaille
les ados adorent l’action, peu aiment les parcs
tu tires c— sans savoir quelle est l’embrouille du départ
y a qu’cent mètres qui nous séparent
cent mecs prêts à faire l’irréparable
les mères s’déchirent les cordes vocales, on vit dans un bocal
on s’embrouille entre xxx, ça reste local
c’est couvre-feu, tout l’monde rentre vite
les clebs fuient les promenades sauf les pits
car en-bas ça sait plus s’tenir
n’est-ce pas, y a des mômes qui t’allument de l’arrière d’une vespa
cessez d’respirer, c’est de-spee
en un éclair, c’est par terre que tu t’fais ta morale
vingt secondes avant qu’s’vide l’artère fémorale
ça sert à rien d’dire maintenant on s’explique
faire un texte de plus sur les histoires de tess qui s’compliquent
faut qu’on s’complète, plus qu’on complote
t’as compris, vas-y explique-le à tes cons d’potes
ça sert à rien d’dire maintenant on s’explique
faire un texte de plus sur les histoires de tess qui s’compliquent
faut qu’on s’complète, plus qu’on complote
t’as compris, vas-y explique-le à tes cons d’potes
[scratches]
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