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okis - vertigo lyrics

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[paroles de “vertigo”]

[intro]
c’est quand qu’la vie devient rentable ?
les bras m’en tombent et mes pieds glissent
j’ai le mental à moitié vide et v’là l’vertige
c’est quand qu’la vie devient rentable ?
les bras m’en tombent et mes pieds glissent
j’ai le mental à moitié vide, et v’là l’vertige

[couplet unique]
j’débarque averti
mais j’suis duper depuis dеs semaines
la vie c’еst l’vertige
ils étaient là quand j’avais sommeil
mais j’crois qu’en elle pour me raisonner
un verre triste manque, j’men sers 10, avant j’étais fier d’tise
frère désobéis, grimpe de vrais sommets
j’te+res hyper distant
il faut qu’mon vocer s’dise « celui+là j’vais pas l’allumer
il m’apporte pas la lumière, juste un éclairciss+m+nt »
j’sens que le teh disperse, le bail est persistant, j’suis dans l’interstice m’man
c’est moi qu’l’averse vise
faut qu’je l’évite tête haute
faut qu’je lévite ptet ?
visser à charles de gaulle, vise les rafales de fafs
con verified , j’suivais le phare, j’suivais le cash puis j’suis ti+par dis, j’ai suivi le flash
grave trikar, j’ai fumé un fardeau pardi
j’suis à l’écart tu captes
j’suis dans des bails de gone, pas dans le car d’icardi
j’suis là pour leur dire j’t’aime
j’trouve pas ça évident reuf que pour exister il faut arpenter l’système
t’es pas dans mes cordes, je l’saurais si t’existais
des bourrins des fours et des gones, des forêts de cônes
j’pourrais pas résister
couplet dépressif
haleine de raisin, boulettes de résine
faut souffler ces braises hein, cr c’est paisible
avec mes vrais zincs, coupet c’est l’brésil
a l’aise à la maiz comme à décines
enlève toi le masque, fait un dessin, fait dans le flou dans l’indécis
toujours intru dans la té+ci
bientôt on s’quitte on décale à ficelle
bientôt okis sera télévisé
j’ai perdu la recette
j’peux plus voir leurs visages, j’ai bien fait d’les viser
ca m’effraie les visa, les paiements refusés
mon padre, rien est grave dans la vie tu sais
arriver en rampant repartir en fusée
les problèmes je les crame les de+vi cul sec
dans la ville tu saignes
déçu du tam, j’ai qu’une vie qu’une secte mais ces chiens s’ramènent
les habitudes saines, ouais c’est chiant sa mère
j’fume, je baise, je bois, je graille, je chante, ça m’aide
j’vois la pente, la belle, le bois, le plan, et j’pense qu’à elle
sers un bon sky
elle s’taille et j’fais un bon d’4 mètres, lev style
un son d’calé, j’taffe mon best album c’t’année c’est en stand by
j’me sens grave camé, grave cramé, grave ramer
kaméhaméha
elle rêve d’un tas d’ramen
(c’est quand qu’la vie devient rentable ?)
j’ai un nouveau pochtar à éventrer
(j’attends qu’ça, j’le dégusterai comme un tacos sale
tu vis dans l’château d’sable, tu l’mérites
j’crée l’étincelle, j’attend ton heure comme la france attend celle du menhir
j’veux stopper l’ascenseur re+frè, j’ai pas ton time re+frè, j’ai pas ton seum
faudrait qu’j’me coupe un doigt ou deux, ou trois ou quatre, là j’me tend l’bâton seul
arbol d’araucanie sur le bras compte double
frère j’te raconte tout
ça m’fra du mal si l’un d’eux squatte ses draps
ces saletés d’ vermines
j’suis genre détaché d’eux, j’suis genre éclaté d’base
j’achète des sachets d’beuz sur une dalle tachée d’zermi)
silence de cathédrale quand j’termine



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