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orelsan - egotrips et freestyles lyrics

[intro]

c’est le combat de notre pet-t groupe
nous ne sommes pas de cl-ssiques super héros
nous ne sommes pas les favoris
nous sommes les autres gars, ceux sur lesquels on ne parie jamais

[couplet 1: orelsan]
tu l’sais pas encore mais t’es déjà mort
tu comprends pas les métaph0r-s que j’élabore
j’suis méga fort, ma mélodie t’-ssomme dès les premiers accords
j’contrôle la pluie parce que je maîtrise la force
déterminé, j’pars en californie exterminer terminator
j’atteins l’ultime cosmos, le septième sens
j’lutterai contre méphisto jusqu’à sa dernière danse
j’en ai rien à foutre d’être un enfant d’cette belle vieille france
j’en ai rien à foutre de c’que ta bande de lesbiennes pense
celui que t’agace, qui tab-sse, qui t’a pris ta place, qui
pratique l’acupuncture avec un pic à glace, moi
j’rappe seulement pour déranger vos parents
j’baise ta mère… oh non on a échangé nos mamans!
toc toc : on arrive avec nos rimes et les grosses prods
toc toc : le rap est bientôt mort j’ai sorti les électrochocs
orel, skread, gringe, et la 7th magnitude
sortez les personnes âgées, j’viens déclencher la canicule

(c’est juste un avertiss-m-nt…)
who’s bad

[couplet 2: orelsan]
j’aime quand y’a des putains d’chattes dans le club
qu’elles soient blacks, blanches, beurres
whisky coca dans le sang, et j’baise tout c’qui possède un battement de cœur
battle, quand il en reste un seul appelle moi “highlander”
c’est bruce harper face à mark landers
obsédé, habitué aux coups de cp depuis qu’j’suis au cp
t’a pas une tête vénère, c’est ta do-rag qu’est beaucoup trop serrée
donc arrête ton char, tu rappes trop mal et t’as pris la grosse tête
t’aurais dû faire du son au lieu d’faire les cros-ma sur ta pochette
on sort de l’ombre, cartonne avec des tonnes de on-s’
j’viens tout péter dans les bac j’crois qu’j’vais sortir mon album le 11
j’veux l’or, l’argent, l’bronze, je vous laisse le quatrième
c’est pour omar, farouk, guillaume et gabriel
prend chacun d’mes textes comme une insulte envers toute ta famille
et dis-toi bien qu’j’pense à ta femme pendant qu’j’fourre ta gamine
j’envoie ton groupe à l’asile, j’coupe ton sh-t à la parafine
nettoie mes coups durs à la tise guéris mes bitures à l’advil

(cet homme est le diable en personne !)

[couplet 3: orelsan]
alerte générale, j’débarque
tu vas enfin pouvoir arrêter l’rap
lachez les armes t’es dans les bacs la cp4
j’transforme ton trône en siège éjectable
j’viens piéger les cartes
j’finirais bien dans le rap
mais j’préférerais finir dans carmen electra
les pd parlent mais n’égalent pas la force de mes étoiles
mon flow beretta t’ramène à l’état végétal
j’mets des claques et tu
tends la deuxième joue comme jésus, continue d’rapper comme un dep
tu feras p’t’être la couverture de têtu
issu de la génération générations
les mcs restent cloués au fauteuil par l’accélération
pendant qu’tu taffes la f-ll-tion
j’suis dans la cl-sse révélation
j’crée l’action, t’es prêt à buter l’premier qui veut changer de station
légende en gestation, c’est bombattak
tu lâches ta flaque quand on inonde la fnac
si j’pars en contre-attaque, envoie la balle en avant
le rap et moi c’est juste un jeu d’enfant, comme papa dans maman
c’est o.r.e.l
prépare toi mentalement
les c-sseurs flowters débarquent donc tu finiras remplaçant (oh)
ta femelle p-sse le sang si j’la prends méchamment (oh)
la seule équipe de caen qui gagne en déplacement

(vos théories sont un amas de sottises du niveau de la pire des bd, vos méthodes sont brouillonnes et vos conclusions excessivement discutables, vous êtes un pauvre raté !)

[couplet 4: orelsan]
arrête un peu d’écouter les “on dit”
putain, on dirait qu’plus t’es conne, plus tu blondis
ma vie c’est thriller, j’traîne la nuit avec des zombies
quand un c-sseur flowters sort de l’ombre, c’est pour inonder les maisons d’disques
j’me couche comme j’fais mon lit, j’dors dans l’canapé
tu s’ras bientôt remplie de sperme à force d’en avaler
continue d’jac-sser, j’rigole quand j’vois tes potes s’encanailler
si ta pute sort sans cavalier, j’la fais rentrer en pas-ch-ssés
c’est d’mauvais augure, nos réseaux sur ta platine
quand palpatine libère le côté obscur d’anakin
t’es juste un sac à pines
arrête de croire les bruits d’couloir
c’est la vrai vie, c’est pas un film, c’est jamais tout blanc ni tout noir
j’-ss-ssine a chaque rime
autant qu’michael arrive à s’faire blanchir
on vit la tête sous l’eau j’vais m’acheter des branchies (oh)
j’suis p’têt nouveau mais tu vas t’faire plier
appelle moi netsuko quand j’trempe les mains dans l’verre pilé
authenticité certifiée
si t.p savait rapper j’aurais plusieurs t-tres nba
pendant qu’tu chantes “ymca” j’essaye de m’faire signer
maintenant, y a plein d’zéros sur les chèques mais rien devant
on veut voir les faces sur vos fils de putes
avec la sensibilité du scénario d’un film de uc’
ohoh, depuis qu’on a pris l’dessus
a chaque nouveau couplet tu tailles une pipe de plus

(il est inutile d’attendre la cavalerie parce que désormais, la cavalerie, c’est nous)

- orelsan lyrics

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