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oslo17 - sirius 1.0 lyrics

[intro]
oslo, yeah

[couple 1]
la poto a mon œil, j’ai la larme
quand je vois une personne que j’aime aller mal
quand est+ce que ce bâtard crève â l’hôpital
on en a fait des matchs là, il y a plus d’amical
et pour la détente faut des calmants
calibre compressé, je roule un grand serpent
fonctionne à l’instinct animal
mes runs fusent comme une balle
c’est pour ça que je suis distant
oslo est fort et tu l’ignores encore
je différencie mon еsprit et mon corps
les dents dе scie font un boulot hardcore
c’est comme dans monstres & cie, des têtes d’alligators
je ramène la flamme au bec, mais pas l’olympique
qui sais un jour je remplirais l’olympia
la je me veux mon steak grillé et mes frites
me faire masser le dos a copacabana

[couplet 2]
mais j’ai pas l’seille+o et j’affute mon lexique
gros joint d’beugeuh à la fin du repas
les yeux pas gros et un peu léthargiques
dans ma bre+cham coffré pendant des mois
et si faut parler de moi je dirais que suis nostalgique
réecoute des sons que pour la mémoire
ça passe pas si c’est générique
il revendique le travail des mecs bizarres
[refrain]
j’ai visé les cranes et paw
devant la pluie je suis comme une épave
obligé de me répeter quand je parle a ces bouffons qui font que bave
j’ai visé les cranes et paw
devant la pluie je suis comme une épave
obligé de me répeter quand je parle a ces bouffons qui font que bave

[couplet 3]
solo dans la bre+cham c’est éphémère
le temps d’un court instant je les fais taire
oslo mais c’est choquant ta la deter
vu la mort dans les yeux de mon père
fais froid, sur la bué j’écrit un vers
faut assumer au lieu de jeter la pierre
ils sont bloqués dans leurs mondes imaginaires
et certains sont même plus trentenaire
et f+ck toi, ton cardio, ta science infuse
non c’est que t’abuse
oslo dans les coins n’a pas besoin de mus
je fly comme la buse
je regarde le soleil se levé il est 7 heures 36 du mat
et le grand machalant je l’éclate
je met mon œil dans le réticule noir mate
là je vais tirer faut que tu t’écarte
[refrain]
j’ai visé les cranes et paw
devant la pluie je suis comme une épave
obligé de me répeter quand je parle a ces bouffons qui font que bave
j’ai visé les cranes et paw
devant la pluie je suis comme une épave
obligé de me répeter quand je parle a ces bouffons qui font que bave

[couplet 4]
hein, oslo, yeah
moi je sais faire que ça parler de moi
mais c’est quand que les [?] ils vont tomber pour ça sa mère
dans le pera je suis comme voltaire
bon en philosophie quand j’ai la tête en l’air
je vois les oiseaux s’envoler
le ciel maturer, la lueur est belle mais ne va pas durer
des âmes ensevelies sous le seum ça va venir te parler de manque de maturité à la base
pas mauvais en classe, t’es pas mon dada
je préférais don dada, j’ai péra
jusqu’à m’en casser la voix
et j’ai écrit des sons à m’en tacher les doigts mais c’est ça
que j’aime dans la vie depuis tout p’tit
à mon premier disstrack j’avais 7 ans et demi
tu sais qu’on les épate et sans magie
quand je fais chauffer mes pâtes, je met du magie

- oslo17 lyrics

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