ouragan livingston - espace lyrics
[intro]
les études ont prouvé que tout le monde avait le nez dans la farine
tout va super marcher dans la vie, les prix sont démentiels
des virgules, des comptes en banque, des piles alkalines
les versions heureuses de toi se cachent dans un monde parallèle
[chorus]
et je ne peux que scander mon propre prénom sans le retenir
sur lе fil du rasoir avec l’abîme en plan séquеnciel
et rappelle toi de notre album sur une colline
saveur mousseline à l’ancienne et les dimanches avec les collègues
en gros la vie c’est du virage
et ramasser sur la route des bouts de papier
sur lesquels j’écris des poèmes
et puis quand je look up to the sky c’est violacé
mon coeur une grenade déflagrée en amertume lacrymogène
et puis je sais que fumer tue mais fumer tue tout mes problèmes
et donc sans drogua dans la pub je vais capoter
et je veux pas que les choses se fendillent
surtout pas que les choses se cassent
comme un moucheron sur le pare+brise
qui ferait la guerre à l’essuie+glasse
avec des poèmes
le virage c’est pas le problème
(wah wow)
[refrain]
je comprend pas ce qu’il m’arrive
j’ai du laisser trainer des choses qui s’infiltrent sous ma prose foirée
dans mon cerveau y a ce grand parking
les mauvaises herbes me fascinent
et je rêve de briller comme du phosphore
les fleurs se fânent avant que je puisse les toucher avec mes narines
[chorus]
nous ne sommes que du sable et la vie vaut son prix
chaque jour est une farce une production de fascétie
on a du bien dans la poche
jamais ça diminue mais ça rétrécit
jamais s’arrête la vie de bordé le cul de nouille
je regarde à travers les encoches
et sur la courbure de ton dos je veux faire du jet+ski
tram direction taga, tram direction zebi
sur la route derrière la vitre j’envoie des zoubizous
trop tard pour l’infirmière, trop tard pour les rêveries
j’ai tout compris je peux juste m’en exclure
viens je visite les vestiges
je rame direction nowhere, perdu dans mon esprit
la dépression qui s’exprime, je crois que je ferait mieux de la vésqui
(wah wow)
[refrain]
je comprend pas ce qu’il m’arrive
j’ai du laisser trainer des choses qui s’infiltrent sous ma prose foirée
dans mon cerveau y a ce grand parking
les mauvaises herbes me fascinent
et je rêve de briller comme du phosphore
les fleurs se fânent avant que je puisse les toucher avec mes narines
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